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élections - Page 88

  • Sur France 2, Ruquier supplie la gauche de s’unir face au variant Z : mais que fait le CSA ?

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    L’émission « On est en direct », sur France 2, animée par Laurent Ruquier et Léa Salamé, est de retour. Selon le site de la télé de service public, l’émission entend mettre en scène « les retrouvailles de l’artiste qui aime bousculer les politiques et la journaliste  qui aime le travail des artistes pour un show exigeant et populaire, décontracté et tendu, rythmé et festif ». Les deux compères qui invitent des « artistes, personnalités du monde de la politique, du sport ou de la  civile [qui] se succèdent sur le plateau pour évoquer leur actualité, dans une ambiance feutrée et bienveillante », viennent de lancer la deuxième saison… qui ressemble fort à l’ouverture de la saison de la chasse.

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  • Un référendum pour réformer la droit de la nationalité et la politique d’immigration

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    Marine Le Pen a dévoilé les grandes lignes de sa politique migratoire. Un projet de loi devra être adopté par les Français par référendum. Elle explique dans Valeurs Actuelles :

    Ce référendum sera organisé le plus rapidement possible après mon élection. Une fois la séquence électorale des présidentielles et des législatives terminée, ce sera l’une des premières mesures mises en place. On ne peut pas organiser un référendum sans débat, je veux que les Français se saisissent de ce sujet et qu’ils votent en toute connaissance de cause, en ayant étudié mon projet de loi.

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  • Présidentielle ? Et si on passait à autre chose ?

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    Depuis quelques jours et quelques sondages, l’élection présidentielle apparaît plus ouverte qu’annoncée auparavant : durant quatre ans, les médias ont entretenu l’idée que le second tour ne serait rien d’autre que la répétition (à défaut d’être la revanche) de celui de la précédente élection de 2017, condamnant ainsi l’électorat à un choix peu motivant entre Mme Le Pen et M. Macron : il n’est pas certain que le choix final qui pourrait sortir de la joute du printemps prochain soit forcément plus heureux !

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  • Sortie prochaine du livre "Pourquoi Eric Zemmour ? La droite nationale à l'heure du choix" (Synthèse nationale)

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    À la mi-octobre sortira un nouveau livre intitulé "Pourquoi Eric Zemmour ? La droite nationale à l'heure du choix". Cet ouvrage collectif, réalisé sous la direction de Franck Buleux, rassemble une quinzaine de contributions de responsables et de personnalités de notre famille d'idées qui s'engagent dans la campagne en faveur de la candidature d'Eric Zemmour. Nous vous proposons en avant-première celle de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale :

    Il n'y a pas de fatalité du déclin, il n'y a que la volonté des hommes...

    Avant toute chose, j’irai droit au but.

    Lorsque le Front national a été créé, en 1972, son premier slogan était : « Avec nous avant qu'il ne soit trop tard ». Depuis, près de cinquante ans se sont écoulés et le slogan semble presque dépassé. Je dis "presque" parce que je n’oublie pas, comme nous l'a enseigné Charles Maurras, que « le désespoir en politique est une sottise absolue ».

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  • Présidentielle : la machine médiatique en marche

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    Il y a cinq ans, Polémia, sous la plume de Jean-Henri d’Avirac était le premier média à envisager la victoire d’Emmanuel Macron à la présidentielle de 2017. Voici un article de Jean-Henri d’Avirac qui décrit froidement et cliniquement le cynisme du monde politico médiatique.
    Des médias gouvernés par l’argent plus encore que par l’idéologie (ce qui explique le phénomène Zemmour : il fait de l’audience !)
    Un président Macron dont la politique sanitaire est moins dictée par les exigences du « grand reset » que par le calendrier de sa réélection !
    Reste le fait que le mot COVID n’a pas été prononcé lors du débat Zemmour/Mélenchon qui a explosé toutes les audiences (4 millions de spectateurs) : sans doute un indice du retour au premier plan des préoccupations politiques des questions identitaires et régaliennes ainsi que sociales.
    En tout cas voilà un article qui décoiffe.
    Polémia

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  • Emmanuel Macron envoie Véran et Castaner combattre un « nouveau virus » : Éric Zemmour…

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    Où est donc passé le Covid ? Loin, très loin. Et très loin derrière Zemmour. Et ça tombe bien, car Emmanuel  a ainsi pu envoyer un Olivier Véran désœuvré pour le combattre. Et, d’ailleurs, lors des journées de rentrée LREM à Avignon, Éric Zemmour a été explicitement qualifié de « virus ». C’est le délégué général adjoint de LREM, un certain Jean-Marc Borello, qui s’est chargé de déverser cette argumentation “médicale” que l’on croyait enfermée dans les congélateurs des dictatures : il s’est emporté contre ce « virus nouveau » qui représenterait « 15 % du corps électoral » et qui « se traduit par des désordres mentaux, un peu de machisme, un peu d’homophobie ». Médicalisation et psychiatrisation de l’adversaire politique : le parti d’Emmanuel  en est là…

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  • Présidentielle : Jean-Marie le Pen se dit prêt à soutenir Éric Zemmour s’il est « mieux placé » que Marine Le Pen

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    Valeurs actuelles cliquez ici

    Jean-Marie Le Pen n’a pas dit non plus son dernier mot ! Dans un entretien exclusif au Monde jeudi 30 septembre, le patriarche de l’extrême droite française affirme qu’il s’exprimera jusqu’au moment où il finira dans la « caisse en bois ». Il évoque sans fard le sujet Zemmour, très sensible au sein du Rassemblement national (RN). Et annonce, l’air de rien : « Si Eric est le candidat du camp national le mieux placé, bien sûr, je le soutiendrai. » Cette déclaration peut avoir l’effet d’une bombe, alors que l’essayiste n’est plus qu’à un point de Marine Le Pen dans un sondage Ipsos pour Le Parisien.

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  • Zemmour-Trump contre Macron-Biden : l’élection volée, épisode 2

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    Du Philosopheur :

    Eric Zemmour a laissé entendre que s’il devait être candidat, il ferait un “remake” français de Trump 2016. Une information qui n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd, si l’on compare les manœuvres en cours autour de Macron avec celle des soutiens “démocrates” de Biden.

    En 2016 Trump a utilisé les médias à contre-pied en les faisant hurler à l’unisson contre lui, ce qui, en plus de lui permettre de substantielles économies de frais publicitaires, a rallié la population à sa cause sur le thème « les ennemis de mes ennemis sont mes amis ». Et Zemmour de jouer brillamment une adaptation de ce classique de la politique, les peuples, comme les journalistes, ne pouvant rien apprendre, puisque, par bonheur, la génération montante ne peut pas télécharger les souvenirs des anciens.

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  • Elections municipales en Italie : Giorgia Meloni, «la néofasciste qui veut s’emparer de Rome»

    La présidente du parti Fratelli d’Italia, Giorgia Meloni, qui est la grande rivale du dirigeant de la Ligue Matteo Salvini, devrait voir sa formation arriver en tête au premier tour des municipales d’aujourd’hui et de lundi, et notamment à Rome. Au niveau national, Fratelli d’Italia devance la Ligue dans les sondages.

    L’égérie de la droite souverainiste italienne a adhéré à 15 ans aux jeunesses fascistes du Mouvement social italien, le parti héritier de Benito Mussolini. Élue députée à 29 ans, Giorgia Meloni préfère se présenter comme une “femme”, “mère” et “chrétienne” qui défend une vision “sociale, nationale et populaire”.

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  • LA FRANCE N’AURAIT-ELLE PAS DIT SON DERNIER MOT ?

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    La foule se presse à Lille pour la signature du livre de Zemmour. C’est une séance de dédicaces qui se fait habituellement dans une librairie. Mais c’est au Grand Palais, la salle est immense et bondée, et pour reprendre une publicité qui fut célèbre, cela a l’ambiance d’un meeting électoral, l’ardeur d’une campagne qui commence, mais ce n’est ni un meeting, ni une campagne. C’est beaucoup mieux, c’est la preuve du désir populaire que cette campagne ait lieu, la démonstration que le besoin existe avant même que son objet soit disponible. Pour l’instant, c’est un auteur et un livre. Et le titre de ce livre ressemble à un slogan : “la France n’a pas dit son dernier mot”.

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