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entretiens et videos - Page 458

  • Pr Raoult / Confinement / Chloroquine / Krach Financier / Covid-19

  • Confinement : la vengeance de l’enfant-gâté

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    « Jusqu’où un gouvernement incompétent et déconsidéré peut-il aller ? »

    Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

    (Propos recueillis par Guirec Sèvres)

    Le confinement est prolongé pour (au moins) 15 jours ; c’était prévisible, non ?

    Oui, tout le monde l’annonçait pratiquement depuis le début de la première période. Comme le gouvernement et certains médecins ont fait ensuite de la surenchère alarmiste sur l’ampleur de la propagation de la maladie, expliquant qu’on n’est qu’au début de « l’épreuve », que « Les Français doivent se préparer à un effort long » (Edouard Philippe), on voit mal par quel coup de baguette magique tout aurait été si rapidement terminé.

    Vous ne vous prononcez pas sur l’utilité du confinement (entretien à Synthèse nationale du 20 mars dernier), mais vous semblez tout de même très sceptique à ce sujet…

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  • Philippe de Villiers : “Le nouveau monde est en train de mourir du coronavirus”

    Depuis son Aventin vendéen, où il se trouve confiné comme le reste du pays, Philippe de Villiers analyse la signification profonde de la crise du coronavirus. Pour le fondateur du Puy du Fou, cette épreuve sonne le glas du mythe de la “mondialisation heureuse” et du nouveau monde, et le retour du “carré magique de la survie”, frontière-souveraineté-localisme-famille.

    Lors de la campagne des élections européennes de 1994, vous évoquiez avec Jimmy Goldsmith la nécessité de la “démondialisation” et critiquiez le libre-échangisme mondial. L’actualité, avec la pandémie du coronavirus, vous donne-t-elle raison ?

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  • Paru sur le site Marcelle, entretien avec celui qui est au cœur des polémiques : Didier Raoult.

    https://marcelle.media/

    Le portait du Pr Didier Raoult paru dans Marcelle il y a une semaine a explosé tous nos compteurs (plus de 100 000 lecteurs). Plus surprenant encore, il n’a donné lieu à aucune polémique. Le chercheur est actuellement au cœur de tous les débats pour la solution thérapeutique qu’il préconise. Hier matin, le Canard Enchaîné titrait même sur les menaces de mort dont il a fait l’objet. D’où cet exercice de questions-réponses auquel le virologue aujourd’hui le plus célèbre de la planète a bien voulu se plier car il connaît bien et depuis longtemps les journalistes qui le questionnent.

    Vous avez fait savoir mardi que vous ne participeriez plus aux réunions du comité scientifique qui conseille nos autorités sur la conduite à tenir face à l’épidémie, pourquoi ?

    Je n’ai pas deux heures à perdre dans des discussions qui ne vont pas à l’essentiel. Ici, nous sommes submergés de travail, nous sommes submergés par les résultats des tests et les données de nos patients. Un tiers de nos 75 lits d’hospitalisation est renouvelé tous les jours, nos équipes sont mobilisées H24… C’est cela qui m’importe, pas les causeries où il ne faut surtout froisser personne.

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  • Entretien avec Romain Bertrand responsable des jeunes de l'Action française Lyon par le Cercle Richelieu.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/03/27/entretien-avec-romain-bertrand-responsable-des-jeunes-de-l-a-6224149.html

  • Marine Le Pen sur les masques et tests -“On a menti aux Français en disant que ça ne sert à rien !”

    Marine Le Pen était l’invité de Patrick Roger et Cécile de Ménibus dans le Grand Matin Sud Radio du 25 mars 2020.

    La présidente du Rassemblement national estime que “la politique du gouvernement de réserver les tests aux cas graves et hospitalisés ne semble pas la bonne pratique“. Selon Marine Le Pen, “la première des choses pour arrêter une épidémie est la connaissance des cas susceptibles de contaminer les autres pour qu’ils puissent eux-mêmes se confiner“.

    Dès le départ, chacun savait que 15 jours de confinement seraient insuffisants“, regrette la députée du Pas-de-Calais. “C’est la stratégie de la torture chinoise : toutes les 48 heures on annonce une nouvelle chose“, s’indigne-t-elle. “Pourquoi ne pas avoir annoncé 45 jours directement ?“. Car pour Marine Le Pen, “si par chance on régule l’épidémie et qu’on peut faire sortir les Français avant la fin des 45 jours, tout le monde aurait été ravi“.

    Pour la présidente du RN, “la parole du gouvernement a entamé la confiance que les Français leur portent, ils ont compris que quand on leur disait que les tests et les masques ne servaient à rien, en réalité c’est que nous en manquions“. Elle pointe du doigt “la cacophonie qui découle d’une erreur initiale : ne pas avoir mis en place dès janvier une cellule de crise et avoir minimiser la crise dès le départ“. Marine Le Pen rappelle que dans un premier temps, “le gouvernement a porté la parole qu’il s’agissait d’une grippe“. Alors, selon elle, “les Français n’ont pas compris ce changement de pied quand ils ont adopté les mesures de confinement. Beaucoup de Français sont aujourd’hui en colère et je peux les comprendre“.

  • Entretien avec Bruno Riondel sur le communisme (1)

    Entretien avec Bruno Riondel sur le communisme (1)

    Nous commençons la publication d’un entretien avec Bruno Riondel, professeur d’histoire à Louis-le-Grand et auteur d’une récente synthèse sur le bilan du communisme: “L’effroyable vérité” (L’Artilleur)

    1) Vous venez de publier une synthèse impressionnante sur un siècle de communisme. Quel est le bilan ?

    Le bilan est terrifiant.

    Sur le plan humain, 80 à 100 millions de personnes ont été tuées, de plus nombreuses encore ont eu leur vie brisée dans les milliers de camps de déportation mis en place par les communistes, partout où ils prirent le pouvoir. Et plusieurs millions de personnes parmi ces victimes du communisme ont été exterminées dans le cadre de deux génocides : l’Holodomor, le génocide ukrainien qui a fait quatre à cinq millions de victimes par la famine organisée, entre 1932 et 1933, et le génocide cambodgien, à la fin des années soixante-dix, qui causa la mort de deux à trois millions de personnes, souvent exécutées par balle où d’un coup de pelle sur la nuque. Dans les deux cas, le crime fut prémédité par les hauts responsables communistes qui, à l’instar du Cambodgien Pol Pot, ambitionnaient de créer un « nouveau peuple ». Le crime fut ensuite mis en œuvre par des exécutants totalement déshumanisés, tel le Soviétique Lazare Kaganovitch, fort justement surnommé le « Himmler soviétique ». Tout historien sérieux reconnait aujourd’hui la dimension génocidaire des crimes de masse ukrainien et cambodgien, Nicolas Werth, l’un des grands spécialistes du communisme, écrivant à propos du premier qu’il est « le seul événement européen du XXe siècle qui puisse être comparé aux deux autres génocides, le génocide arménien et la Shoah ». Même lorsqu’il n’y eut pas génocide (selon les critères stricts de définition), la préméditation des crimes de masse fut une constante dans les régimes communistes, car l’éradication nécessaire de la superstructure culturelle des sociétés, afin d’en créer une nouvelle, justifiait d’exterminer des classes sociales entières, à commencer par les paysans, souvent très attachés à leur petite exploitation et porteurs de valeurs traditionnelles. Félix Dzerjinski, le sinistre fondateur de la Tchéka, la police politique soviétique, justifiait les tueries massives en estimant qu’« il n’existe pas des individualités contre-révolutionnaires mais des classes entières contre-révolutionnaires ». Ainsi, aux millions de koulaks ukrainiens déportés et assassinés par Staline s’ajoutèrent les masses de paysans tués par Mao, Hô chi Minh et par beaucoup d’autres dirigeants criminels.

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