Peu à peu, une certitude se dégage : Ursula von der Leyen, présidente de la Commission, a gravement porté atteinte aux intérêts financiers de l'Union, en procédant à un achat massif, dans des conditions objectivement douteuses, de vaccins Pfizer à concurrence de plus de 2,4 milliards de doses... Nous récapitulons ici la présomption de faits sourcés et documentés de manière publique et indiscutable, qui permettent d'étayer cette suspicion, qui n'est pas loin d'être une accusation.

Le dossier s’étoffe et montre de manière de plus en plus indubitable qu’Ursula von der Leyen a gravement porté atteinte aux intérêts financiers de l’Union Européenne, et tout spécialement de ses contribuables, en dépensant plus de 70 milliards € pour acheter notamment des vaccins Pfizer en dehors des procédures transparentes que ce type de marché exige. Je précise d’emblée que le reproche ne porte pas sur l’urgence avec laquelle la passation des contrats a été menée (car, s’agissant d’une pandémie, on peut admettre que des procédures accélérées soient mises en oeuvre), mais sur l’opacité suspecte de la procédure elle-même.







