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Europe et Union européenne - Page 302

  • La vérité sur la dictature juridique de l’Union européenne

    La vérité sur la dictature juridique de l’Union européenne

    Thilo Sarrazin, dans la Weltwoche, revient sur les difficultés qu’il a eues, comme jeune fonctionnaire responsable des finances des services publics de la République fédérale d’Allemagne, pour effectuer des réformes en faveur de la poste, des chemins de fer et des moyens de transport en général, tant les directives européennes rendaient impossibles toute modification de la juridiction allemande.

    https://www.weltwoche.ch/ausgaben/2020-29/ausland/die-europaische-methode-die-weltwoche-ausgabe-29-2020.html

    Traduction (C.H.) : Une fois introduites dans le droit national, on ne peut pratiquement plus modifier les directives de l’Union européenne. Je proposai de les ignorer ou de les appliquer différemment. Mes collaborateurs m’expliquèrent que cela n’était pas non plus possible, car la Commission porterait alors plainte auprès de la Cour de justice européenne. Là, la Commission obtenait de toute façon raison. Il ne servait à rien de porter plainte, car la Cour de justice européenne se tenait par principe toujours du côté de la Commission et confirmait toujours en cas de doute une extension du droit européen. C’est ainsi qu’il y a un peu moins de quarante ans eut lieu mon introduction dans le droit européen.

    C.H. 19.07.2020

    https://lesobservateurs.ch/2020/07/19/la-verite-sur-la-dictature-juridique-de-lunion-europeenne/

  • Charlemagne, Karl Marx et les eurocrates

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    Jean-Claude Juncker prononçant l’éloge de Karl Marx, Emmanuel Macron, à Aix-La-Chappelle, vantant le rêve européiste : le mois de mais a vu se dévoiler la face hideuse de Bruxelles, sans plus aucune des sirènes qui berçais, jusqu’à présent, les naïfs.

    C’est à Trêves, ville natale de Karl Marx, que le président de la Commission européenne s'en est allé, sans vergogne, vanter le père d'une des idéologies les plus mortifères, les plus sanglantes que le monde ait connues - tandis que la Chine offrait, pour la circonstance, une gigantesque statue du penseur du communisme.

    On pourrait croire que ce qui n'était qu'une manifestation logique de la part des dirigeants chinois relevait d'une incongruité pour Jean-Claude Juncker. Ce serait manifester une naïveté sans bornes. Car l'éloge n'est pas tout. Le président de la Commission européenne, qui se revendique de la démocratie chrétienne, s'est exprimé dans un temple protestant, au niveau de l'autel - ce qui est déjà monstrueux, si l'on veut bien penser qu'il s'agissait de faire le panégyrique du père d'une des idéologies les plus contraires au christianisme.

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  • Scandales politiques en Espagne

    Scandales politiques en Espagne

    D’Olivier Bault dans Présent :

    Jusqu’à nouvel ordre, le roi émérite Juan Carlos, parti pour l’étranger (voir Présent du 5 août), n’a pas été mis en examen et n’est même directement visé par aucune enquête. On ne peut pas en dire autant des proches de Pablo Iglesias, à la fois secrétaire général du parti d’extrême gauche Podemos (allié aux communistes d’Izquierda Unida – Gauche Unie – dans le cadre de la coalition électorale Unidas Podemos) et deuxième Vice-président du gouvernement espagnol, en plus de sa fonction de ministre des Droits sociaux. Sans son immunité parlementaire, Iglesias lui-même ne serait probablement pas épargné. Lui et son parti ne reconnaissaient pas la présomption d’innocence lorsque le scandale éclaboussait le Parti populaire (PP) de centre-droit ou le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) de gauche. Aujourd’hui, ils attaquent les médias quand la justice s’intéresse à des transactions financières suspectes dans le cadre des finances de campagne de 2019 et à l’existence d’une probable caisse noire du parti. Ce nouveau scandale fait suite à un autre, le « cas Dina », concernant une carte mémoire de téléphone mobile d’une proche conseillère d’Iglesias. Une carte contenant des images intimes de la conseillère et des captures d’écran de conversations gênantes pour Iglesias. Elle aurait été volée à la conseillère du chef de Podemos, ce que ce dernier imputait à l’existence d’un réseau de surveillance illégale de son parti par l’Etat, avant qu’il ne s’avère que c’était Iglesias lui-même qui avait eu entre les mains, plusieurs mois durant, la carte mémoire en question.

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  • Allemagne : des garçons des rues délibérément confiés par l’État à des pédophiles pour « les socialiser »

    12/08/2020

    08/03/2020

    Entre 1969 et 2003, ces garçons sans abri âgés de six à 14 ans ont été confiés à des pédos – car on pensait que les enfants vulnérables pourraient bénéficier de leur attention.

    La logique tordue derrière l’ « expérience Kentler » – du nom du sexologue Helmut Kentler qui en a été le fer de lance – était que la pédophilie pouvait avoir des « conséquences positives ».

    Étonnamment, à la fin des années 1960, Kentler a réussi à persuader le Sénat de Berlin-Ouest que les garçons sans-abri sauteraient sur l’occasion d’être élevés par des pères pédophiles.

    Il a fait valoir avec succès qu’ils seraient « follement amoureux » de leurs nouvelles figures paternelles.

    À cette époque, Kentler faisait publiquement pression pour la décriminalisation des relations sexuelles entre adultes et enfants en Allemagne de l’Ouest.

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  • «Les pays occidentaux doivent tenir tête à l’impérialisme d’Erdogan»

    «Les pays occidentaux doivent tenir tête à l’impérialisme d’Erdogan»

    La décision du président turc de transformer l’ancienne basilique Sainte-Sophie en mosquée confirme sa fuite en avant et son agressivité envers les pays occidentaux. Ceux-ci doivent en tirer, enfin, les conséquences et s’opposer à Erdogan sans faiblesse, argumentent Charles de Meyer et Benjamin Blanchard, dirigeants de SOS Chrétiens d’Orient, dans Le Figarovox.

    Les provocations se multiplient envers la Grèce, désormais en alerte complète après que la Turquie a envoyé un bateau d’assaut près de l’île grecque de Kastellorizo. Les sous-marins patrouillent pour contrer toute attaque. La Turquie a déployé un navire de recherche sismique, escorté par des bâtiments militaires, dans une zone riche en gaz et appartenant à la Grèce.

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  • Débarquements de migrants : des patrouilles de la Royal Navy dans la Manche ?

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    Le ministre de l’Intérieur (Home Secretary), Priti Patel, soutient la proposition d’envoyer la Royal Navy face à l’afflux de migrants dans la Manche, après un nombre record de 235 étrangers illégaux débarqués jeudi dernier.

    L’Union pour les frontières, l’ et les douanes (The Union for Borders), syndicat représentant les agents du service d’immigration britannique, a déclaré que les militaires devaient être mobilisés pour aider à faire face à la crise, notamment en raison de la menace de violence de la part des migrants, et pour les forcer à retourner en France par la mer.

    Le nombre de migrants a plus que doublé, au cours des huit premiers mois de 2020 (près de 3.950) par rapport à l’ensemble de 2019 (1.850). Migration Watch UK a averti que plus de 7.500 personnes pourraient arriver d’ici à Noël.

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  • Covid 19 – Des milliers d’Allemands manifestent à Dortmund contre la dictature sanitaire

    Allemagne – Dimanche, plus de 2.800 personnes – selon les chiffres de la police – ont manifesté à Dortmund contre la dictature sanitaire imposée sous prétexte de lutter contre le Covid 19.

  • Débarquements de migrants : des patrouilles de la Royal Navy dans la Manche ?

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    Le ministre de l’Intérieur (Home Secretary), Priti Patel, soutient la proposition d’envoyer la Royal Navy face à l’afflux de migrants dans la Manche, après un nombre record de 235 étrangers illégaux débarqués jeudi dernier.

    L’Union pour les frontières, l’ et les douanes (The Union for Borders), syndicat représentant les agents du service d’immigration britannique, a déclaré que les militaires devaient être mobilisés pour aider à faire face à la crise, notamment en raison de la menace de violence de la part des migrants, et pour les forcer à retourner en France par la mer.

    Le nombre de migrants a plus que doublé, au cours des huit premiers mois de 2020 (près de 3.950) par rapport à l’ensemble de 2019 (1.850). Migration Watch UK a averti que plus de 7.500 personnes pourraient arriver d’ici à Noël.

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  • Malgré la Covid-19, l’immigration clandestine repart de plus belle

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    La reprise des arrivées massives de clandestins en Europe était redoutée avec la fin du confinement. Elle se confirme depuis quelques semaines. Alors que le coronavirus poursuit sa propagation, alors que le chômage et la pauvreté explosent, l’Italie et l’Union européenne se montrent incapables d’apporter une réponse ferme à une immigration hors de contrôle.

    En cet été 2020, vous ne trouverez pas en France de touristes venant des États-Unis ou de Russie. En revanche, en dépit des restrictions de circulation, les clandestins sont de plus en plus nombreux à partir d’Afrique du Nord pour gagner l’Europe.

    Les mises en garde sur un regain possible de l’immigration clandestine à l’issue du confinement n’ont pourtant pas manqué (1). À voir l’accélération des arrivées illégales en Europe, celles-ci sont visiblement tolérées, alors que les arrivées de touristes de certains pays sont fermement refusées, ce qui affecte durement l’économie européenne. Cette immigration clandestine n’est pas le fruit du hasard. Elle résulte de décisions et de choix politiques assumés.

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  • Vive Juan Carlos !

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    Par Jarente de Senac

    L’ex-roi Juan Carlos ne pouvait pas tenir longtemps face à une presse démocratique qui cherche des poux dans la tonsure à tout ce qui sort des clous pseudo égalitaires, des fausses fraternités et d’une liberté surveillée par une doxa droit de l'hommiste.

    A la mort de Franco, le pays aurait pu sombrer dans une nouvelle guerre civile en raison d’un parti communiste qui avait relevé la tête et de socialistes qui nous la jouaient républicains dans sa version 1936. Franco passa le relai au jeune roi Juan Carlos, ce qui mit tout le monde d’accord. A la place d’un bouffon, il nomma un Premier ministre. On connaît la suite, les socialistes s’en sont mis plein les fouilles, la droite tomba dans un libéralisme idiot, mais le roi évitait toujours aux Espagnols de se foutrent sur la gueule. L’Eglise espagnole, n’en parlons pas, elle est toujours du côté d’un manche proche du bénitier. .

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