Ah le MSI ! On peut dire qu’il nous a fait rêver, nous autres militants français, ce Mouvement Social Italien... En effet, à l’époque où les organisations nationalistes avaient beaucoup de mal à émerger en France, nous avions tous les yeux rivés sur ce qui se passait au-delà des Alpes. Le MSI, c’était un peu grand frère que nous espérions un jour pouvoir imiter...
Europe et Union européenne - Page 305
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A propos du Mouvement social italien : la préface de Roland Hélie du livre de Massimo Magliaro consacré à l'histoire du MSI paru en Italie en 2018
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#7 « Vu d'Europe » du 10 février 2021 avec Nicolas Bay et Virginie Joron
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L’Europe et les Nouveaux Équilibres
Le centre du monde s’est depuis un certain temps déplacé vers l’Indo-Pacifique. Cela a transformé l’Europe et ses nations en sujets voués à la subordination.
Le capitalisme européen, surtout allemand, mais aussi français, a pourtant accepté le défi asiatique des Chinois et des Américains.
Le destin politique et économique des Européens est largement lié aux résultats politiques, et pas seulement économiques, que le Vieux Continent rapportera. On parle ici de relations privilégiées avec les pays d’Amérique Latine bordant le Pacifique, mais aussi et surtout de l’influence que l’on parviendra à maintenir dans l’Indo-Pacifique où, avec une grande partie de l’establishment japonais et indien, les européens travaillent déjà pour faire sauter le mur contre le mur voulu par Washington et son alliance « QUAD » dans l’esprit de l’Alliance atlantique.
Voyons ce qu’on en dit.
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Après la catastrophe des deux grandes guerres mondiales, l'Europe est “entrée en dormition”
Fondateur et directeur de la Nouvelle Revue d'Histoire, Dominique Venner a écrit une cinquantaine d'ouvrages, dont une Histoire de l'armée rouge couronnée par l'Académie française. Tout au long de sa carrière, cet Européen de cœur et d'esprit n'aura jamais cessé de prôner la mémoire du passé comme recours contre le déclin, avec trois ouvrages majeurs : Histoire et tradition des Européens, 30000 ans d'identité, Le siècle de 1914 et Ernst Jünger, un autre destin européen.
• Éléments : Oswald Spengler publiait en 1918 le premier volume de son célèbre livre Le déclin de l'Occident. Il voulait en fait surtout parler de l'Europe. Près d'un siècle plus tard, ce mot d'« Occident » a-t-il encore un sens ? Quel est en tout cas celui que vous lui donnez ?
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Covid-19 et vaccins. Royaume-Uni : l’efficacité de la nation par rapport à l’Union européenne ?
Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ C’est un titre de la presse populaire anglaise du week-end : « Brexit 1 – UE 0 ». L’humour britannique résiste au confinement. Mais, derrière cette ironie mordante, il y a une réalité. La Grande-Bretagne du Brexit, seule contre tous et donc vouée à l’effondrement dans tous les domaines, a son vaccin et sa population en bénéficie en priorité. Nationalisme vaccinal peut-être, mais efficacité nationale sûrement. Et cela sans un excès d’égoïsme puisque la firme britannique va faire mieux et plus à la demande ou sous la pression des Européens. On notera au passage que ce sont les usines européennes du groupe qui ont des soucis de production, et pas celles installées outre-Manche.
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CES MINORITES ETHNIQUES QUI ENVAHISSENT LE PAYSAGE MEDIATIQUE
Pieter Kerstens
Les gourous droits-de-l’hommiste, les khmers verts écolos, leurs alliés du mondialisme effréné et les adeptes du « multiculturel » et du « pluriethnique » à tous les étages considèrent qu’ils détiennent la Vérité Révélée et ne tolèrent aucune contestation à cette Nouvelle Religion.
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COVID 19 : LES RAVAGES DU « SCIENTIFIQUEMENT CORRECT »
Un communiqué du MNR :
Depuis le début de cette pandémie de Covid-19, on ne peut qu'être perplexe devant la mise à l'écart de personnalités de haut niveau dans le domaine de la médecine ou de la biologie :
• Didier Raoult, spécialiste en microbiologie, maladies infectieuses, poursuivi par le Conseil de l'Ordre des médecins, et discrédité (voire ridiculisé) en permanence pour son protocole de traitement (qui est en vérité défendu par de nombreux médecins).
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Immigration : le président turc Erdogan infiltre la France
Lu dans le JDD :
Reçu en visite officielle à Paris, le 5 janvier 2018, le président Recep Tayyip Erdogan avait lancé aux dirigeants du Conseil français du culte musulman (CFCM) cette sentence provocatrice : « Les musulmans de France sont sous ma protection. Ceux qui vous touchent me touchent. » Trois ans plus tard, alors que les tensions se sont multipliées – jusqu’aux invectives publiques – entre le chef d’État ottoman et Emmanuel Macron autour de la politique française de lutte contre l’islamisme, les informations collectées par les services de renseignement attestent la réalité de l’activisme turc sur notre territoire.
Plusieurs rapports adressés à l’Élysée par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) et la Direction du renseignement de la Préfecture de police (DRPP) à la fin du mois d’octobre 2020 – et que le JDD a pu consulter – dévoilent l’ampleur, les formes et les objectifs d’une véritable stratégie d’infiltration impulsée depuis Ankara au moyen de réseaux animés par l’ambassade de Turquie et le MIT, le service d’espionnage turc. Ces « vecteurs d’influence » pointés par les experts français agissent principalement auprès de la population turque immigrée, mais aussi à travers les organisations musulmanes et même depuis peu dans la vie politique locale, par l’appui apporté à des élus inféodés.
https://www.lesalonbeige.fr/immigration-le-president-turc-erdogan-infiltre-la-france/
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Klaus Schwab et Davocratie, ou la 4ème Révolution industrielle avec André Gandillon
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Vaccin : Poutine 1, Macron 0. La France et l’Europe ridiculisées ! Merkel fait soudain les yeux doux au “tyran russe” !
Dans la course à la vaccination contre le Covid-19, la Russie est partie tôt. Elle a été le premier pays au monde à homologuer un vaccin contre le coronavirus Sars-CoV-2, dès août 2020 : le Spoutnik V, baptisé en hommage au premier satellite envoyé dans l’espace par l’URSS en 1957. A l’annonce de cette réussite russe, les anti-poutiniens de service, comme le chien de Pavlov, ont immédiatement aboyé en choeur sur cette “fake-news”.
Impossible qu’un dirigeant étiqueté tyran par la bien-pensance occidentale, politique et médias confondus – ce sont souvent les mêmes – puisse être à l’origine d’une telle “avancée” médicale !