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Europe et Union européenne - Page 304

  • Jean-Marie Le Pen : « Cette espèce de grève générale volontaire me paraît suicidaire »

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    Source Causeur  cliquez ici

    Il y a quelques jours, une méchante rumeur a couru au sujet de Jean-Marie Le Pen : il aurait été infecté par le Covid-19. Démentant ce bruit malveillant, le fondateur du Front national répond aux questions de Causeur. Confinement, causes de la pandémie, monde d’après : le Menhir, 92 ans, bon pied bon oeil, déplore notre impréparation et notre sujétion à la Chine mais récuse tout parallèle avec la guerre de 40. Entretien.

    Jean-Marie Le Pen bonjour. Je commencerai par une question des plus simples : comment allez-vous en ces temps de pandémie ?

    Jean-Marie Le Pen. Une fake news a annoncé que j’avais été touché par le coronavirus mais le cadavre bouge encore ! (rires) C’est inexact, je suis comme tout le monde obligé de rester chez moi mais cela ne me prive pas et me débarrasse d’un certain nombre de fâcheux.

    Enfant, vous avez vécu la débâcle de 1940. Comme Emmanuel Macron, dressez-vous un parallèle entre cette guerre bien réelle et la « guerre sanitaire » en cours ?

    Non, il n’y a rien de comparable. À part le terme de guerre, je ne vois aucune comparaison raisonnable entre la situation créée par la pandémie et un conflit de la dimension de la Seconde guerre mondiale ou peut-être de la future.

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  • Épargnants, sauvez votre argent !

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    Le mégakrach est là, et bien là, comme je l’avais annoncé dans une vidéo YouTube du 31 décembre dernier (Le mégakrach aura bien lieu). On me dira que l’on ne pouvait pas prévoir la pandémie qui l’a provoqué : mais la situation financière mondiale, le niveau record d’endettement, la spéculation frénétique, appuyée sur des produits dérivés hyper risqués, l’intervention massive des banques centrales, qui a conduit à cette incongruité totale des taux négatifs, tout donnait des signes d’une rupture imminente. Le monde de la finance cherchait un bouc émissaire pour endosser la catastrophe à sa place et pouvoir, ainsi, oser réclamer le soutien des États : le patron de Goldman Sachs avait expliqué au journal Les Échos que, si crise il devait y avoir, la guerre commerciale USA/Chine en serait la principale responsable.

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  • Le talon d'Achille de l'Allemagne

    Malgré Angéla, la géante, nos voisins d’outre-Rhin connaissent avec un peu de retard la même décomposition politique que nous, parce qu’en politique aussi, les mêmes causes produisent les mêmes effets.

    Annegret Kramp-Karrenbauer, familièrement surnommée « AKK », n'aura pas résisté - à la pression, ou à son propre sentiment d'incapacité. En jetant l'éponge, en renonçant à la présidence de la CDU et de ce fait à la succession, quasi automatique, d'Angela Merkel à la Chancellerie, le ministre de la Défense plonge l'Allemagne dans une crise politique, qui précipite le déclin annoncé de l'actuel chancelier. Mais cette crise allemande est aussi, et peut-être avant tout, une crise de l'Union européenne.

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  • Emmanuel Macron évoque la possibilité d’une fermeture des frontières de l’espace Schengen jusqu’au mois de septembre (Vidéo)

    Lors d’une visioconférence avec les partenaires sociaux qui se tenait vendredi matin, le président Emmanuel Macron a évoqué l’hypothèse d’une fermeture des frontières de l’espace Schengen jusqu’au mois de septembre, en raison de la pandémie de coronavirus.

    Les déplacements aux frontières de l’espace Schengen limités jusqu’en septembre ?

    L’un des partenaires sociaux a indiqué à BFMTV que le président français avait annoncé que les pays de la zone Schengen réfléchissaient à laisser les frontières de l’espace fermées au moins jusqu’en septembre. Il s’agit d’une réflexion réalisée sur la base de l’évolution de la pandémie dans le monde.

    Le président français a en tout cas souligné que les personnes qui pensaient pouvoir partir à l’étranger allaient être en difficulté. Un avis proche des recommandations du ministre de la Transition écologique Elisabeth Borne qui déclarait mercredi : « Aujourd’hui ce n’est pas le moment d’acheter un billet pour partir à l’autre bout de la planète avec toutes les incertitudes qu’on peut avoir sur ce que sera l’état de l’épidémie ».

    Regarder la video

    https://www.tvlibertes.com/actus/emmanuel-macron-evoque-la-possibilite-dune-fermeture-des-frontieres-de-lespace-schengen-jusquau-mois-de-septembre-video

  • Quand s'élève la parole royale...

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    En un soir de confinement, Elisabeth II, la reine d’Angleterre, souveraine du Royaume-Uni et du Commonwealth, a prononcé un discours qui, par sa simplicité et sa brièveté, a porté au-delà des frontières mêmes du pays sur lequel elle règne sans politiquement gouverner. Evidemment, certains n’ont pu s’empêcher de comparer sa courte intervention télévisée avec celles, plus longues, plus dramatisantes et moins consensuelles de l’actuel locataire du palais de l’Elysée ; les mêmes ont pu évoquer les différences de réactions à l’égard des deux chefs d’Etat, plus crispées et souvent agressives envers le président français quand elles semblaient pour la plupart plus bienveillantes, voire admiratives, envers la monarque d’un pays dont les Malouins chantent encore le rejet à la façon du mot de Cambronne…

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  • Après l’Eurogroupe, l’Union européenne est la nouvelle victime du coronavirus !

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    Bernard Monot

    En dépit de la gesticulation médiatique des dirigeants européens pour tenter de nous faire croire que l’Europe a toujours un bel avenir, la preuve est faite que leurs désaccords sont trop profonds, explique Bernard Monot, ancien député européen et stratégiste économique. Tribune.

    Tout comme le Conseil européen du 26 mars dernier, la réunion de la dernière chance entre les 27 ministres des Finances de l’Union européenne dite « Eurogroupe » pour préparer des solutions ambitieuses et communes, n’est parvenue à aucun accord sur les moyens de sortir des crises multiples : sanitaire, économique et de confiance. C’est une impasse totale. Pourtant depuis le début de la catastrophe sanitaire du Covid-19, les gesticulations médiatiques des dirigeants de l’UE, pour tenter de faire croire aux peuples européens qu’il existe une « souveraineté européenne », ne marchent plus.

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  • Crise économique et sanitaire : la France va offrir 1,2 milliard d’euros à l’Afrique, et l’UE 20 milliards à l’Afrique en particulier

    De nombreux Français, artisans, commerçants, indépendants, sans parler  des PME et TPE commencent à se retrouver dans une situation catastrophique. Mais leur argent, arraché abusivement par le fisc, va servir à autre chose.

    D’une part, la République va arroser un peu l’Afrique, comme d’habitude, alors que le sentiment antifrançais s’y développe continument.

    « La France va accorder une aide de «près de 1,2 milliard» d’euros pour la lutte contre la propagation du Covid-19 en Afrique, a annoncé mercredi le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian.
    «Les besoins sont immenses», a-t-il souligné, selon le texte de son intervention, en appelant à renforcer «les systèmes de soins» en Afrique ainsi que «les capacités de détection et de recherche scientifique en appuyant la recherche africaine». Il faut aussi «assurer une mobilisation financière considérable», a insisté le chef de la diplomatie française en invitant le G7 et le G20 à oeuvrer en ce sens. » (source Figaro)

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  • « L'Europe ne sera sauvée que par une remise en cause du dogme libre-échangiste »

    L'Europe ne sera sauvée que par une remise en cause du dogme libre-échangiste.jpegEntretien avec Jean-Luc Gréau

    Jean-Luc Gréau n est pas vraiment un agité altermondialiste. Cadre au CNPF puis au MEDEF pendant trente-cinq ans, c'est un économiste iconoclaste qui nourrit sa réflexion aux meilleures sources Smith, Schumpeter et Keynes. À la différence de bon nombre de ses pairs, il a vu venir la crise, comme il la voit aujourd'hui se poursuivre. Un économiste avisé. L’espèce est rare.

    Le Choc du mois : Quelles sont selon vous les nouveautés radicales qui caractérisent la globalisation économique mise en place dans les années 1980-1990, et dont vous dites qu'elles ont changé la nature même du libéralisme économique ?

    Jean-Luc  Gréau : Nous percevons maintenant avec netteté les deux orientations cruciales qui ont ouvert la voie à la transformation économique et financière de ces trente dernières années. Une première orientation est donnée par la subordination de l'entreprise aux volontés expresses de ces actionnaires puissants que sont les fonds de placement. La personne morale « entreprise » a été instrumentalisée et abaissée au rang de machine à faire du profit (money maker). Le phénomène est manifeste pour les sociétés cotées qui ne sont pas protégées par un capital familial ou par des actionnaires de référence, mais il affecte aussi beaucoup de sociétés non cotées, contrôlées par des fonds dits de « private equity » qui ont les mêmes exigences que les actionnaires boursiers.

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  • Dans Marianne, le coronavirus annonce "la fin du capitalisme néolibéral", selon le chef économiste de la banque Natixis.

    433097502.jpgLe temps du capitalisme néolibéral, qui a misé sur la globalisation, la réduction du rôle de l’Etat, les privatisations et la faiblesse de la protection sociale, est révolu selon Patrick Artus, chef économiste de la banque Natixis.

    Ce n’est pas un poisson d’avril. Très productif en analyses, le chef économiste de la banque Natixis Patrick Artus a publié le 30 mars une note où il prédit tout simplement "la fin du capitalisme néolibéral" à cause de la crise du coronavirus. Ces dernières années, cet économiste s’est habitué à sortir, une fois de temps en temps, des sentiers battus de la pensée dominante. Il avait notamment clamé haut et fort que "Marx avait raison" en février 2018.

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  • Union européenne Il y avait un grand risque «de voir exploser l’UE» ces derniers jours, assure Bruno Le Maire

    En pleine pandémie de Covid-19, l’impasse des discussions sur l’adoption d’un plan de relance face au coronavirus était considérée comme une menace pour la cohésion de l’Union européenne, a noté sur Europe 1 Bruno Le Maire, au lendemain de l’accord finalement conclu.

    Invité ce 10 avril sur Europe 1, le ministre de l’Économie a fait part de son soulagement au lendemain de l’accord conclu entre les ministres des Finances des 27 pays membres de l’UE sur une réponse économique commune à la crise engendrée par la pandémie de coronavirus.

    Sputnik France

    https://www.tvlibertes.com/actus/union-europeenne-il-y-avait-un-grand-risque-de-voir-exploser-lue-ces-derniers-jours-assure-bruno-le-maire