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Europe et Union européenne - Page 304

  • Émeutes à l’italienne contre les restrictions anti-pandémie

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    À Mestre, ville située à l’entrée de la lagune de Venise, s’est jouée une scène étrange. À l’Osteria Plip, une soixantaine de convives sont attablés, dont le maire de Venise Luigi Brugnaro, et le conseiller municipal (vert) d’opposition Gianfranco Bettin : il est cinq heures du matin et c’est autour d’un bon repas que les élus entendent protester contre le nouveau DPCM, le décret de la présidence du Conseil des ministres qui impose un couvre-feu à 18 heures aux restaurants et aux bars, tandis que les cinémas, théâtres, salles de sport et piscines doivent fermer, ainsi que la plupart des collèges et lycées.

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  • Une proposition formidable !

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    Pieter Kerstens

    La crise sanitaire du Covid 19 touche toute l'Europe et les dirigeants ne savent plus à quel saint se vouer. Chaque Chef d'Etat ou de Gouvernement y va de ses propositions qui, mois après mois, se contredisent souvent.
    Dans le concours des propositions imbéciles, un pas vient d'être franchi par une experte en Belgique.
    Interrogée sur la RTBF, Frédérique JACOBS, infectiologue à l'hôpital Erasme à Bruxelles, propose le report des fêtes de Noël en Juillet/Août "quand il fera beau".
    Et pourquoi pas non plus reporter la Saint Valentin au 12 août ? Et les défilés du 1er Mai au 1er Novembre? Ou alors, regrouper l'ensemble des fêtes et des jours fériés durant la même semaine en été, "quand il fait beau" ?
    A entendre de telles inepties, on peut se demander si le virus atteint non seulement les voies respiratoires, mais aussi les facultés mentales de certains spécialistes, médicaux ou politiques.
    D'ores et déjà, la Belgique a pris une grande avance dans le domaine de la connerie !
  • Dernières nouvelles d’Allemagne (et de Finlande) : « la terreur islamiste est une menace permanente »

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    Il semblerait qu’un frémissement de courant d’air idéologique se fasse jour dans l’entre-soi médiatico-politico-journalistique parisien. Après les crimes de guerre (puisque « nous sommes en guerre » et que nous parlons de crimes) du Bataclan, et Nice il y aura cinq ans bientôt, je ne suis pas vraiment étonné que les colossales forces inertielles idéologiques à l’œuvre en France et en Europe aient permis une nouvelle et énième boucherie islamiste dont la victime est un enseignant cette fois. L’on nous épargna, du moins, les précédents océans de « bisounourseries » à base d’allumettes et de cire, de sucreries émotionnelles ou autres actes de résistance héroïque devant une bonne bière en terrasse.

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  • La Suède refuse d’imposer des mesures de confinement, affirmant que les gens ont assez souffert

    La solitude, l’impact du confinement sur la santé mentale sont mis en balance avec la menace du COVID.

    Les autorités sanitaires suédoises ont refusé de suivre le reste de l’Europe en imposant à leur population de nouvelles mesures de confinement visant à lutter contre le coronavirus, arguant que ceux qui sont assaillis par la solitude et la misère de l’isolement ont suffisamment souffert.

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  • Octobre1956/ octobre 2020. D'une chappe de plomb, l'autre.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    23 octobre 1956, Budapest... Début de l'insurrection contre le régime communiste supervisé d'une main de fer par l'URSS.
    Douze jours plus tard les chars soviétiques viendront noyer la révolte dans le sang. Tous les mouvements nationalistes d'Europe marqueront alors activement leur solidarité militante avec les patriotes Hongrois. L'attaque du siège du PCF, carrefour de Châteaudun à Paris,  le 7 novembre à l'issue d'une manifestation qui regroupait sur les Champs Elysées plus de 40 000 personnes habitées par la haine de la folie marxiste-léniniste, attaque menée par les militants de Jeune Nation, les étudiants nationalistes et les anciens d'Indochine reste dans toutes les mémoires de notre camp et fut à l'origine, comme la chute de Dien Bien Phu, de l'engagement national de toute un génération de coeurs purs.
    La Hongrie, hélas, restera soumise pour plus de trente ans encore au joug communiste, mais son honneur était sauf.
    Pour leurs libertés, leur indépendance, leur identité et contre la servitude et la domination étrangère, les grands peuples un jour ou l'autre se réveillent et descendent dans la rue. 
    Les Français furent un grand peuple. Le sont-ils encore? Il ne reste plus beaucoup de temps pour le savoir et en faire la  démonstration. 
    La Chappe de plomb du totalitarisme progressiste, financier, immigrationniste et globaliste d'aujourd'hui est pourtant aussi pesante que celle du communiste d'hier.
    NDLR SN : sur l'insurrection de Budapest, lire les deux volumes de David Irving publiés aux Bouquins de Synthèse nationale

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    Pour les commander cliquez ici
  • La Grèce décide de construire un mur de 26km le long de sa frontière nord-est avec la Turquie pour faire face à l’afflux massif de migrants

    Afin d’empêcher le passage massif de migrants dans l’Union européenne, la Grèce a décidé de construire un mur de 26km le long de sa frontière nord-est avec la Turquie, a annoncé lundi Athènes. Le projet, estimé à 63 millions d’euros, devrait être achevé fin avril. Le gouvernement grec a également annoncé l’embauche 400 gardes-frontières supplémentaires pour surveiller cette zone située au nord-est de l’Evros. Athènes envisage en outre d’utiliser des canons à son (LRAD) près d’Alexandroupoli (Dedeağaç), en face de la province d’Edirne, dans le nord-ouest de la Turquie, le long de la rivière Maritsa (Meriç) pour dissuader les migrants de traverser la frontière grecque à pied ou en bateau.
    Courrier des Balkans / Illustration: DR
  • La contribution de la France au budget de l’Union européenne pour 2021 progresse de 25%

    La contribution de la France au budget de l’Union européenne pour 2021 progresse de 25%

    L’Assemblée nationale a adopté lundi soir la contribution de la France au budget de l’Union européenne pour 2021, d’un montant record de 26,864 milliards d’euros, une progression de 25% par rapport à 2020, notamment à cause du Brexit et de la crise du coronavirus.

    Ce montant fait de la France l’un des principaux contributeurs nets au budget européen : l’an dernier, en 2019, nous étions déjà le troisième contributeur net, derrière l’Allemagne et le Royaume-Uni ; nous passons maintenant à la deuxième place.

    Le solde net – c’est-à-dire la différence entre ce que nous versons et ce que nous recevons de l’Union européenne – s’établit à -7 milliards d’euros par an en moyenne pour la période 2014-2019.

    Pendant le débat parlementaire, Marine Le Pen a souligné :

    Cette institution, totalement inefficace sur les grands enjeux actuels – je pense bien sûr à la crise sanitaire, à la crise de la mondialisation, à la crise migratoire, mais aussi au terrorisme –, vous proposez de lui donner encore plus de moyens. Avec cette augmentation spectaculaire, c’est quasiment une prime à la médiocrité !

    https://www.lesalonbeige.fr/la-contribution-de-la-france-au-budget-de-lunion-europeenne-pour-2021-progresse-de-25/

  • Les frontières, seule solution à l’immigration-invasion, par Clément Martin (Les Identitaires)

    Par le Guatemala transitent les immigrés clandestins venus du Honduras et d’autres pays d’Amérique latine. Tous savent qu’une dernière étape les sépare de la Terre promise à la bannière étoilée : le Mexique. Celui-ci, gouverné par le démagogue Andrés López Manuel Obrador (« Amlo »), refuse d’accueillir les voyageurs longue durée. AMLO s’était signalé par un courrier adressé au roi d’Espagne et au pape François afin d’obtenir des excuses pour la conquista, la colonisation de l’Amérique au temps des Grandes découvertes. Son discours progressiste a donc cédé devant l’impératif de sauvegarder un pays, le Mexique, déjà traumatisé par l’explosion des violences dues au narcotrafic. Or, le commerce de la drogue est lié aux vagues migratoires, que les trafiquants encouragent pour y lever une main d’œuvre bon marché de « mules », c’est-à-dire de transporteurs.

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  • Petite généalogie du Pacte budgétaire européen (fin)

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    Marché commun, marché unique : les deux termes sont souvent confondus alors qu'ils désignent deux étapes très différentes dans l'histoire de la construction européenne. Le marché commun est l'objectif assigné par le Traité de Rome (1957), et consiste principalement à supprimer les droits de douanes entre les États membres, afin de favoriser la prospérité économique qui doit résulter de la libéralisation des échanges. Le marché commun reste cependant un marché international ou, plutôt, inter-étatique, respectueux de la souveraineté des États. Cette étape est atteinte dès 1968, avec une avance d'un an sur l'objectif initial. Au début des années 1970, les gouvernants de l'Europe décident d'aller plus loin dans la constitution d'un marché intégré, entamant la souveraineté des États et des peuples. Ils décident de créer un marché unique ou intérieur.

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  • Petite généalogie du Pacte budgétaire européen

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    L'objet du présent article est de repérer la filiation néo-libérale dans l'histoire de la construction européenne* et de montrer en quoi le Pacte budgétaire, innovant par certains aspects, s'inscrit cependant pleinement en continuité avec des choix fondamentaux exprimés dès les années 1980, au moment de la diffusion des idées néo-libérales en Europe** et de l'adoption de l'Acte unique européen (1986), qui traduit en langage juridique les principes du néo-libéralisme

    « Dans le contexte de la montée générale du néo-libéralisme, écrit Perry Anderson, l'autosatisfaction des élites européennes et de leurs porte-parole accompagne le mépris des populations »(1).

    Ce mépris des populations n'est cependant pas de la condescendance, mais un projet politique, qui transparaît très clairement dans un rapport de la Commission Trilatérale, en 1975, intitulé The Crisis of Democracy(2). Invités à formuler un diagnostic, les experts, Michel Çrozier, Samuel Huntington et Joji Watanuki, constataient que les gouvernants étaient devenus incapables de gouverner du fait de la trop grande implication des gouvernés dans la vie politique et sociale et se lamentaient de l'excès de démocratie. Le développement de l'Union européenne est depuis venu compenser cet excès démocratique par un déficit qui n'est donc pas un défaut, mais un projet. Que le fonctionnement de l'Union ne doive pas être trop démocratique, c'est aussi ce que s'est attaché à démontrer et à justifier l'historien américain Andrew Moravcsik dans un ouvrage qui est aujourd'hui un classique de l'histoire de la construction européenne, The Choice for Europe(3). Nul doute que le Pacte budgétaire européen - un « pacte contre la démocratie »(4) - qui doit entrer bientôt en application illustre cette tendance.

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