« L’ambassadeur de la République islamique d’Iran et représentant permanent de son pays aux Nations unies, Ali Bahreini, a été désigné en mai dernier pour présider le Forum social du Conseil des Droits de l’Homme de l’Onu pour l’année 2023, qui doit se tenir à Genève les 2 et 3 novembre. »
géopolitique - Page 163
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La vertigineuse dérive des Nations-Unies
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Selon un ex-conseiller du Pentagone : Les forces spéciales étatsuniennes et israéliennes ont tenté d’entrer dans la bande de Gaza, mais elles ont été «mises en pièces»
L’ancien conseiller du Pentagone, Douglas MacGregor, a déclaré qu’une force spéciale étatsunienne, accompagnée d’une force spéciale israélienne, a été tragiquement décimée lorsqu’elle a tenté d’enquêter sur la localisation des otages israéliens à Gaza et qu’elle a ensuite essuyé des tirs.
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La présence secrète de l’armée étatsunienne au Yémen donne un tour nouveau à l’attaque des Houthis contre Israël
par Ken Klippenstein
Si la guerre entre Israël et le Hamas s’étend au Yémen, les troupes d’opérations spéciales étatsuniennes stationnées dans ce pays pourraient créer des complications géopolitiques.
Alors que la guerre entre Israël et le Hamas menace de s’étendre au Yémen, la présence peu remarquée de l’armée étatsunienne sur le terrain dans ce pays déchiré par la guerre soulève le spectre d’une aggravation de l’implication étatsunienne dans le conflit.
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Otages israéliens : mais que font donc les ONG ?
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Andreï Martianov : La Russie et l’Iran conservent un solide avantage technologique en matière d’armes sur les États-Unis et Israël
Un missile russe R-37
Andrei Martyanov, un expert des questions militaires et navales russes, a déclaré à Mike Adams lors d’un récent épisode du « Health Ranger Report » que la Russie et l’Iran disposent de meilleurs systèmes d’armes militaires qu’Israël et les États-Unis.
Martyanov, qui a servi comme officier sur les navires dans un poste d’état-major des garde-côtes soviétiques jusqu’en 1990, a souligné à quel point l’Occident avait grossièrement mal calculé sa force militaire en Ukraine par rapport aux capacités techniques de l’armée russe. Il était d’accord avec Adams sur le fait que l’Occident est en train de commettre la même erreur dans sa guerre par procuration menée par les États-Unis à Gaza. « Ils ont mal calculé l’efficacité de leurs frappes de missiles ou de roquettes contre le Hamas, si vous préférez. Ils ont surestimé leurs capacités », a déclaré l’auteur né à Bakou. -
Les sanctions antirusses ont coûté 1 500 milliards de dollars à l’UE selon Grouchko
Article publié le 04.11.2023
«Les pertes de l'Union européenne dues aux sanctions et aux décisions économiques visant à réduire la coopération avec la Russie s'élèvent à environ 1 500 milliards de dollars», a déclaré ce 3 novembre le vice-ministre russe des Affaires étrangères Alexandre Grouchko.
«Et ce sont des estimations a minima», a insisté le responsable russe, en marge du 16e Forum économique de Vérone, qui se tenait à Samarcande, en Ouzbékistan.
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Medvedev impitoyable avec l’Union européenne, cette «prostituée vieillissante»
par Tyler
Ce texte a été écrit par le député et patron du Conseil de sécurité russe Dmitri Medvedev.
Il a été publié en russe sur son compte Vkontakte, repris par des comptes Telegram.
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L’Union européenne est aujourd’hui de facto incapable d’agir de manière indépendante non seulement sur la scène internationale, mais aussi sur la scène européenne.
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La stratégie du chaos
Roger Brands, entrepreneur et ancien diplomate, est interrogé dans L’Homme nouveau sur le conflit israélo-palestinien. Extrait :
[…] Quel pouvait être l’intérêt du Hamas à lancer une offensive d’une telle brutalité ?
Les deux questions qui devraient retenir notre attention sont : pourquoi une telle ampleur (en comparaison avec les pratiques terroristes du Hamas observées depuis le départ de Tsahal de la bande de Gaza en 2005) ? Et pourquoi à ce moment-ci ? Outre l’horreur, l’ampleur dit quelque chose de l’intention.
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Meloni a été contrainte de dire la vérité
Le Premier ministre italien a involontairement accordé une interview à des trolls, ses déclarations diffèrent des déclarations publiques.
Épuisé par les sanctions et les migrants, Giorgia Meloni a perdu sa vigilance et a raconté de nombreuses choses gênantes aux farceurs russes. La Première ministre italienne s’est plainte de l’immigration clandestine, de la situation des céréales et de l’énergie, de l’inflation et… de l’Ukraine.
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La reconfiguration du monde en « grands espaces »
Parodiant après tant d’autres Karl Marx et l’exorde célèbre du Manifeste communiste de 1848, on est tenté de dire qu’en cette fin du XXe siècle, « un spectre hante la géopolitique, le spectre du grand espace ». Le concept de « grand espace » (Großraum) est relativement récent. Ses principaux théoriciens, le géopoliticien Karl Haushofer et le juriste Carl Schmitt, sont allemands, ce qui explique sans doute la confusion fréquente entretenue par l’opinion entre le « grand espace » et le Lebensraum (espace vital impérialiste). Il est vrai que le concept fut d’abord compris comme une théorie justifiant l’expansionnisme colonial des puissances européennes. La meilleure définition du « grand espace » revient à Julien Freund dans Nouvelle École n° 44. Le grand espace, écrit-il, « constitue, pour employer un mot entré en usage après Yalta, un bloc, c’est-à-dire une grandeur politique dont l’influence s’étend au-delà des limites d’un État, plus particulièrement sur les pays environnants. Il s’agit donc d’une puissance politique qui déborde les limites de tous les États qu’elle contrôle directement ou indirectement, et qui introduit de ce fait une autre conception des relations internationales. Suivant l’expression de Schmitt, elle est une puissance “hégémonique”, et à ce titre considère sa zone d’influence comme une chasse gardée, à l’abri de toute ingérence des États qui demeurent à l’extérieur de cette zone et de tout autre éventuel Großraum dans le monde » (1).