par Philippe Rosenthal
Les États-Unis et le Royaume-Uni ont annoncé une interdiction sur l’importation de nickel, de cuivre et d’aluminium russes. Le désir de l’Occident de priver la Russie de ses profits est compréhensible, mais les restrictions peuvent poser de gros problèmes aux initiateurs de ces sanctions.
Le 12 avril, l’Office of Foreign Assets Control (OFAC) du département du Trésor américain a publié une ordonnance interdisant l’importation aux États-Unis d’aluminium, de cuivre et de nickel d’origine russe «sauf si la loi l’exige ou sous licence».