
par Dominique Muselet
Selon l’Internaute l’expression, « les jeux sont faits », est récente (début du XXe siècle) et « elle puiserait ses origines dans les jeux de hasard et notamment dans le jeu de la roulette où le croupier indique que « les jeux sont faits » lorsqu’il n’est plus possible de miser. On peut la rapprocher du célèbre « Alea jacta est » ».
J’avais d’abord pensé mettre en titre le prestigieux « Alea jacta est » (le sort en est jeté), prononcé par César en franchissant d’un pas décidé le Rubicon, mais ce n’était pas possible car là, chez nous, en Occident, il n’y a pas de César décidé, il n’y a, aux manettes, que des psychopathes dominés par des passions tristes comme la haine, la cupidité, l’arrivisme, l’hubris.