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Au moment où en Europe, aux Etats-Unis, au Canada, en Nouvelle-Zélande et en Australie, en réalité dans tout le monde blanc « occidental », l’univers slave étant pour le moment épargné, les élites ont capitulé devant les délires et les diktats des afrocentristes, la résistance semble venir d’Egypte.
La France cherche coûte que coûte à préserver son influence au Niger pour garder sa place parmi les plus grandes puissances économiques. Elle manipule à cette fin la CEDEAO pour déclencher une intervention militaire au pays, a déclaré à Sputnik Elhadji Idi Abdou, vice-président de l’Alliance pour la Paix et la Sécurité au Niger.
Garder le Niger dans la sphère de son influence est une question vitale pour Paris. Le départ de la France du Niger la rejettera de la 7ème à la 30ème place mondiale parmi les plus grandes économies, a annoncé à Sputnik Elhadji Idi Abdou, vice-président de l’Organisation à but non lucratif Alliance pour la Paix et la Sécurité au Niger (APAISE–NIGER).
Selon la Défense russe, outre un soutien sans précédent accordé au régime de Kiev par l’Occident, près de 360 000 militaires, 8000 blindés, 6000 systèmes d’artillerie et de mortier, 650 avions et hélicoptères sont installés à proximité des frontières russes et biélorusses, incitant Moscou à réagir de manière rapide et adéquate.
Les menaces à la sécurité militaire de la Russie provenant de l’Occident ont augmenté de façon exponentielle, a déclaré le ministre russe de la Défense.
Suite au renversement, le 26 juillet dernier, du président de la République du Niger, Mohamed Bazoum, la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a adressé, quatre jours plus tard, un ultimatum aux putschistes militaires.
On pourrait croire que cette fermeté affichée, soutenue par le ministre des Affaires étrangères de la France, fera de ce putsch singulier le dernier d’une longue et ancienne série de renversements politiques au Niger. On peut en douter.
« Dieu a donné à la France l’empire des mers » : Richelieu fondait cette conviction la géographie et les hommes. En effet, le Royaume de France est ouvert sur trois mers, Manche, Méditerranée et mer du Nord, et un océan, l’Atlantique. De plus sa population comprend des peuples marins aussi audacieux qu’expérimentés — Bretons, Normands, Basques ou Provençaux.
Selon la diplomatie russe, Washington tente de mener au Niger la même politique qu’en Ukraine, avec le coup d’État de 2014, mais sans succès. Une référence faite par la porte-parole de la diplomatie russe alors que la visite de la sous-secrétaire d’État américaine à Niamey n’a visiblement pas apporté les résultats escomptés.
Mon père a combattu les nazis. En 1942, il a perdu ses deux meilleurs amis à cause d’un de leurs obus. Pour une raison mystérieuse, l’obus les a tués, mais ne l’a que blessé, même s’il a dû passer six semaines à l’hôpital. Soixante ans plus tard, alors qu’il se mourait de vieillesse, il se souvenait, les larmes aux yeux, de ses amis disparus, des hommes qui n’avaient pas vécu, tués alors qu’ils n’avaient qu’une vingtaine d’années.
Malheureusement, après 1945, les Américains, soi-disant antinazis, ont placé certains des «anciens» officiers nazis qui avaient tiré ces obus à des postes de commandement au sein de l’OTAN et ont formé l’establishment ouest-allemand. Il est étrange de constater que les mots «OTAN» (NATO) et «nazi» se ressemblent. Aujourd’hui, nos anciens alliés soutiennent, entraînent et arment ouvertement des nazis. Pas au nom de mon père. Et pas en mon nom.
L’expert en économie, l’inénarrable ministre français Bruno Le Maire, auteur à ses temps perdus, bien nombreux au regard de son expertise insondable, de romans X, l’avait annoncé : l’économie russe allait être mise à genoux par les sanctions de l’Union Européenne. Une annonce boomerang…
Des sanctions antirusses à l’effet boomerang sur l’économie européenne
Les sanctions contre la Russie fonctionnent si bien que les pertes pour les entreprises de l‘Union Européenne se montent à plus de 100 milliards d’euros. Les pertes directes des entreprises européennes sur le marché russe s’élèvent à au moins 100 milliards d’euros depuis le début de la guerre en Ukraine, selon les informations du Financial Times. « Une enquête sur les rapports annuels et les états financiers de 2023 de 600 groupes européens montre que 176 entreprises ont subi des dépréciations d’actifs, des charges liées au change et d’autres dépenses ponctuelles à la suite de la vente, de la fermeture ou de la réduction des opérations russes, », indique le journal économique et financier britannique.
Sous l’effet de la propagande, les fantasmes sans fin sur la faiblesse de la Russie rendent plus difficile la fin du conflit ukrainien.
Le discours occidental selon lequel la Russie est constamment au bord d’un effondrement imminent découle de la perception persistante que l’État est vulnérable à une combustion interne en raison de sa fragilité perçue, de son vaste territoire et de ses déséquilibres critiques.