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géopolitique - Page 323

  • De quel général « Armageddon » est-il le nom ?

    Le général de l’armée russe Sergueï Sourovikine, qui est récemment devenu le commandant de l’opération militaire russe, a accordé une interview aux médias russes sur l’état actuel de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine.

    Le discours de Sourovikine mérite la plus grande attention, pour les principales raisons suivantes :

    Premièrement, le général (quatre étoiles) russe a montré sa capacité et sa claire intention de communiquer avec les citoyens russes directement, honnêtement et sans patriotisme morbide. Le ton et le contenu de son discours sont radicalement différents de celui du ministère russe de la Défense depuis le début de ce conflit. Ce qui confirme avec les limogeages récents que les russes ont décider de « commencer » comme dit Poutine … de faire la guerre que leur impose l’OTAN ; et de l’annoncer clairement, d’abord aux russes eux-mêmes.

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  • L’Iran se prépare à expédier le premier lot de missiles Fateh-110 et Zolfaghar pour la Russie

    L’industrie de l’armement iranienne prépare son premier lot de missiles Fateh-110 et Zolfaghar, deux missiles balistiques iraniens à courte portée bien connus, capables de frapper des cibles à des distances de 300 et 700 kilomètres.

  • Ukraine : À Lvov, les familles de soldats manifestent pour savoir où « disparaissent les membres de la 24e Brigade « royale »

    par Karine Bechet-Golovko.

    La 24e Brigade ukrainienne, bataillon punitif, est considérée comme étant composée de l’élite des combattants. Mais ces derniers temps, les autorités de la région de Lvov, où elle est basée, la remplissent à tour de bras. Les « disparitions » s’enchaînent et deviennent massives, à la mesure des pertes humaines astronomiques subies sur le front de Kherson par l’Ukraine – qui ne peut le reconnaître. Les familles sortent dans la rue et demandent des comptes. Les autorités ukraino-otaniennes n’ont pas de compte à rendre, sur la chair humaine utilisée pour la victoire du monde global sur la Russie. Qui s’inquiète des « dégâts collatéraux » ?

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  • Les Européens ont été bien joués par les Américains

    par M.K. Bhadrakumar.

    Deux frappes terroristes massives ont échoué de manière spectaculaire et une terrible beauté est née dans la guerre d’Ukraine. Ces deux attaques soigneusement planifiées se succédant rapidement – ​​sur les gazoducs Nord Stream et le pont de Crimée – étaient destinées à porter un coup fatal à la Russie. 

    Selon le président Vladimir Poutine, des personnes « qui veulent enfin rompre les liens entre la Russie et l’UE, affaiblir l’Europe » sont à l’origine des explosions du Nord Stream. Il a désigné les États-Unis, l’Ukraine et la Pologne comme « bénéficiaires ».

    L’Inde doit s’attendre à la défaite des États-Unis et de l’OTAN, ce qui achève la transition vers un ordre mondial multipolaire.

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  • Bistro Libertés - UE vs Russie : André Bercoff pulvérise la bien-pensance

    André Bercoff, Greg Tabibian (j'suis pas content), Remy Watremez (Juste Milieu), Didier Maïsto et Alexis Poulin : les grandes stars du stream sont sur le plateau de "Bistro Libertés". Eric Morillot a retenu deux sujets brûlants et sulfureux. 
    1) L'Union européenne au bord de l'implosion ? 
    Auto-sanctions, divergences politiques, crise énergétique : la guerre en Ukraine, crise terminale de l'Union et de l'idée européenne ou nouvelle étape d'une Europe n'avançant qu'en surmontant les crises ?
    2) Vladimir Poutine face aux valeurs de l'Occident ? 
    Un renversement total de perspective entre un Occident perçu comme décadent et qualifié d'Empire du mensonge et une Russie accusée d'être anti-libérale, conservatrice, voire réactionnaire.
    "Bistro Libertés" est soutenu par "Terre de France" qui reverse ses bénéfices à des agriculteurs en difficulté, des familles de militaires et des écoles rurales.


    https://tvl.fr/bistro-libertes-ue-vs-russie-andre-bercoff-pulverise-la-bien-pensance

  • Ukraine : Vers une nouvelle phase offensive russe ?

    par Sylvain Ferreira.

    Depuis le 15 octobre, plusieurs signaux forts laissent entendre qu’après une semaine de frappes sur l’Ukraine, la Russie et son alliée biélorusse pourraient lancer une nouvelle offensive aéroterrestre. 

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  • Guerre d’Ukraine – point au jour 236 – La Russie prépare-t-elle la conquête de Kiev ?

    Ce 17 octobre au matin, la Russie a frappé le siège d'Ukrenergo, principal pourvoyeur d'électricité du pays. La question se pose d'une intensification des opérations russes contre Kiev, dans l'objectif de renverser le gouvernement Zelenski. De nombreux signes convergent pour penser que la Russie pourrait exploiter le flottement des élections de mi-mandat américaines et la plongée de l'Europe dans la crise.

    A première vue, la bataille d’Ukraine poursuit son cours, avec une intensification progressive. 

    + Samedi 15 octobre, les troupes kiéviennes ont tenté un nouvel assaut, dans la région de Kherson. En fin  de journée, il avait été repoussé. 

    + L’armée ukrainienne à continuer ses tirs d’artillerie sur Donetsk et sur Belgorod. Dans la région de Belgorod, toujours, un commando aurait attaqué un camp d’entraînement russe; une organisation affirmant défendre les droits des Tatars de Crimée a revendiqué l’action. 

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  • Pourquoi l'Arabie saoudite a rejeté les demandes de M. Biden de faire baisser les prix du pétrole

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    Par Sylvia Westall et Fiona MacDonald

    Source : https://worldoil.com/news/2022/10/10/why-saudi-arabia-reb...

    (Bloomberg) - Les États-Unis ont accusé l'Arabie saoudite de se ranger du côté de la Russie après qu'elle ait amené l'OPEP+ à prendre la décision renversante de réduire la production de pétrole brut, maintenant ainsi les prix du pétrole à un niveau élevé à un moment où l'inflation inquiète le monde entier. Le plus grand exportateur de pétrole au monde insiste sur le fait que la décision est économique et non politique. 

    Cette décision marque un moment important dans l'alliance de plus de 70 ans entre l'Arabie saoudite et les États-Unis. La réduction de la production est intervenue moins de trois mois après que le président Joe Biden se soit rendu en Arabie Saoudite pour demander une augmentation de la production afin de faire baisser les prix.

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  • Tucker Carlson journaliste à Fox News réagit aux demandes financières de Zelensky : "Nous ne devons rien à ce type[…]. Il entraîne tout l'Occident vers une guerre nucléaire."

    Tucker Carlson journaliste à Fox News réagit aux demandes financières de Zelensky : "Nous ne devons rien à ce type[…]. Il entraîne tout l'Occident vers une guerre nucléaire."

    Vu sur TVL

    «Un étranger arrogant en t-shirt qui demande de l'argent pour ses "besoins économiques critiques" ? Nous avons aussi des besoins économiques critiques, mon gars. Qui es-tu, un troll ? Va-t'en», a entre autres lancé, le 13 octobre à l'antenne de Fox News, Tucker Carlson, journaliste vedette de la chaîne américaine conservatrice. 

     Il entraîne tout l'Occident vers une guerre nucléaire

    Le présentateur de sa propre émission réagissait ici à une intervention du président ukrainien qui, le 12 octobre, a sollicité auprès du FMI et de la Banque mondiale une aide de plusieurs dizaines de milliards de dollars, avec l'objectif affiché de reconstruire des infrastructures nationales détruites dans le cadre du conflit militaire.

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  • Guerre en Ukraine : l’avenir de l’Europe se décide à Washington

    C’était environ trois mois avant le déclenchement des hostilités. Le 3 décembre 2021, le Washington Post publiait des extraits d’un rapport des services de renseignement américain accompagnés de photos satellites révélant l’ampleur du déploiement des forces russes aux frontières de l’Ukraine. L’article, qui annonçait une invasion imminente, posait le cadre du désastre à venir.

    D’un côté, le gouvernement russe demandait aux États-Unis de stopper toute nouvelle extension de l'OTAN vers l'Est et de renoncer au déploiement de systèmes d'armes à proximité de son territoire. De l’autre, la Maison-Blanche, par la voix de son porte-parole Jen Psaki, indiquait rejeter d'emblée l'idée que Washington fournirait une garantie que l' n'entrerait pas dans l'OTAN. Une perspective d’intégration qui constituait pourtant une ligne rouge du Kremlin bien avant Vladimir Poutine.

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