Le changement climatique et la guerre en Ukraine servent de prétexte pour déclarer l'état d'urgence énergétique. L'Europe paie par l'inflation, la récession, la dépossession rampante et l'appauvrissement. Pourtant, les besoins énergétiques de la technostructure doivent être assurés afin que celle-ci puisse continuer à développer ses instruments de domination.
géopolitique - Page 323
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Crise énergétique : La Grande Bouffe (partie 1), par Ulrike Reisner
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Les Européens ne sont pas conscients de la dynamique en cours – Le prix à payer sera terrible
par Alastair Crooke
L’alliance Moscou-Berlin a dû être sabotée pour empêcher une intégration économique plus poussée qui aurait rapproché les continents pour former la plus grande zone de libre-échange du monde. Washington devait empêcher cela afin de préserver sa mainmise économique sur l’Europe et ce qui reste du « privilège » du dollar.
Selon Politico, alors que les Américains se rendent aux urnes dans un contexte de changements dynamiques dans la géopolitique, « autour du quartier européen de la capitale belge, les responsables sont plus enclins à hausser les épaules qu’à s’inquiéter de la possibilité que les républicains reprennent le contrôle du Congrès ».
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Après l'abandon du gaz russe, les pays industrialisés mettent en péril leurs objectifs climatiques en développant le GNL
Source: https://zuerst.de/2022/11/14/nach-abschied-vom-russengas-...
Charm el-Cheikh. Après avoir réussi à se détacher de l'approvisionnement en gaz russe, de nombreux pays occidentaux se précipitent pour utiliser le gaz de fracturation (GNL) comme substitut. Le principal exportateur de ce type de gaz serait actuellement les États-Unis, mais d'autres pays pourraient également en fournir aux Européens. Mais ces derniers sont loin de disposer de l'infrastructure nécessaire, soit pour transporter le gaz vers l'Europe avec leurs propres navires-citernes GNL, soit pour injecter les livraisons de gaz dans le réseau européen des gazoducs au départ de terminaux spéciaux. Le développement de l'infrastructure GNL doit maintenant être poursuivi à un rythme soutenu.
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L’énigme de Kherson n’en est pas une – par François Martin
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Provocation de Zelensky : L’OTAN se déballonne
par Boris Guennadevitch Karpov
Hier soir les media occidentaux se déchainent : La Russie, qui vient de lancer une bonne centaine de missiles de croisière sur les infrastructures énergétiques et militaires de l’Ukraine, aurait également tiré 2 missiles en Pologne. Malgré le communiqué de Moscou qui déclare n’avoir tiré aucun missile en Pologne, c’est le branle bas de combat à Varsovie, où le ministre de l’Intérieur affirme que le coupable est bien la Russie. Dans la foulée, les forces polonaises sont mises en état d’alerte et le président polonais Duda appelle Biden à son secours. Une réunion de l’OTAN est convoquée pour ce matin.
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La plaie de l'Otan
Ce 13 novembre, à Istanbul, sept années jour pour jour après l'abominable attaque islamo-terroriste de Paris, un attentat ensanglantait l'un des quartiers les plus fréquentés de l'ancienne capitale des sultans. Premier bilan : 6 morts et 81 blessés.
La réaction officielle du régime d'Erdogan n'a pas traîné, et la police stambouliote s'est montrée étonnamment efficace. Presque trop. On a rapidement trouvé, en effet, une femme qu'on accuse d'avoir posé la bombe. Et, d'après Reuters, au lendemain de cette explosion meurtrière, les enquêteurs ont déclaré, dès le 14 novembre, qu'ils détenaient désormais 46 personnes en lien avec cette attaque parmi lesquels une Syrienne, soupçonnée d'avoir posé la bombe. Lors d'un premier interrogatoire, Ahlam Albachir aurait déclaré qu'elle avait été entraînée par des militants kurdes dans son pays et qu'elle était entrée en Turquie par la région d'Afrin, dans le nord-ouest, qu'occupent les soldats d'Ankara.
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Pourquoi les Américains ont-ils reconnu aussi rapidement que les missiles tombé en Pologne étaient ukrainiens? – Entretien avec Alexandre N
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Les « analystes » escamotent le véritable but de la guerre décidée par la Russie
par Bruno Bertez.
Il me semble utile d’effectuer un retour aux sources de cette opération spéciale !
C’est une opération qui a été lancée après une sorte d’ultimatum. Elle a été lancée à la suite de la demande Russe de garanties sur sa sécurité.
Les Russes ont demandé clairement, sous forme écrite des engagements concernant leur sécurité, cela a été fait fin 2021.
Les engagements demandés ont été refusés.
Et tous les belligérants directs et indirects le savent puisque aussi bien Macron que Merkel ont dit, avant que l’UE ne se couche, qu’il faudrait un jour s’asseoir autour d’une table et discuter de la mise en place d’un accord de sécurité en Europe.
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Production supplémentaire de missiles anti-navires hypersoniques Zircon
par Bruno Bertez.
Un nouveau contrat pour la production supplémentaire de missiles anti-navires hypersoniques Zircon a été signé par le ministère de la Défense de la Fédération de Russie.
Désormais, les entreprises du complexe militaro-industriel du pays ont reçu la tâche de produire un lot supplémentaire de missiles anti-navires dans un court délai.
On sait que les missiles Zircon ont une vitesse de vol extrêmement élevée par rapport aux autres missiles anti-navires russes. Cela rend pratiquement impossible leur interception par les systèmes de défense anti-aériens et anti-missiles installés sur les navires ennemis.
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Xi met Biden en garde sur Taïwan et sur le reste