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géopolitique - Page 360

  • Attali et l'Amérique ont promut l'euro qui nous ruine - Asselineau

  • Les Nouveaux talents – Théo : Colombie, CIA, Escobar, le trafic se poursuit !

    Ils se veulent indépendants et libérés du politiquement correct. Ils font un tabac sur les plateformes vidéos. Ils représentent un ton nouveau. Avec sa rubrique « Les nouveaux talents », TV Libertés donne « carte blanche » aux nouvelles générations et tout particulièrement au jeune « youtubeur » Théo.
    Après la fin de la « French Connection », le gros du trafic de drogues s’exporte en Colombie. Là-bas, c’est de la cocaïne qui est fabriquée et devinez par qui ?
    Par nos chimistes français issus de l’ancien trafic défait. Rapidement, ils s’allient à Pablo Escobar et parviennent à recréer un marché mondial autour d’une petite ville : Medellín.
    Souvent pointés du doigt comme des malfaiteurs indépendants, se jouant des lois et des États, capables de corrompre des gouvernements entiers, les cartels, à l’image de celui de Medellín, sont parfois les outils d’organisations encore plus puissantes. A qui profite le crime ?
    C’est ce que nous allons tenter de découvrir dans cette courte vidéo écrite et réalisée par Théo .

    https://www.tvlibertes.com/les-nouveaux-talents-theo-colombie-cia-escobar-le-trafic-se-poursuit

  • Ce sera 1929, puis l’hyperinflation et l’effondrement du Système

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    Marc Rousset

    La remontée passagère des Bourses est due uniquement à l’intervention immédiate, et beaucoup plus rapide qu’en 2008, des banques centrales et des gouvernements, celle de la Fed pour les achats de bons du Trésor et les titres hypothécaires n’ayant plus de limites, avec des innovations telle que le rachat de créances privées (obligations gagées sur des prêts à la consommation). La Fed ouvre les vannes monétaires et fait tapis face à la crise du coronavirus. C’est ce que fait, également, la BCE lorsqu’elle rachète les dettes publiques irremboursables de la France et de l’Italie. La BCE, avec son nouveau bazooka de 750 milliards d’euros, porte son effort de rachat de titres, pour 2020, à 1.000 milliards d’euros. Quant aux règles comptables pour les banques, elles disparaissent ou sont assouplies.

    L’ensemble des mesures gouvernementales des pays du G20 représente 5.000 milliards de dollars. Les mesures du gouvernement américain s’élèveront à 2.000 milliards de dollars et, si l’on additionne l’ensemble des mesures des États européens, dont 1.100 milliards d’euros pour l’Allemagne, un plan sans précédent depuis la Deuxième Guerre mondiale, on se rapproche du chiffre américain. Les États-Unis, qui n’ont pas les lois sociales du chômage partiel, ont décidé de se rallier à la politique de « l’argent par hélicoptère, » avec un chèque du gouvernement fédéral d’environ 3.000 dollars pour une famille avec deux enfants.

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  • Ça n'arrive qu'aux autres

    6a00d8341c715453ef025d9b404357200c-320wiDifficile, entendant le discours de Mulhouse de ce 25 mars, de demeurer stoïque, figé au garde à vous, le petit doigt sur la couture du pantalon, un moment interminable. On restera sans doute civique, le temps de la crise. On accepte la discipline car, dans une pareille période, on doit suivre les consignes des autorités. Cela fonctionnera pour peut-être 90 % d'entre nous, car au moins 10 % des habitants de l'Hexagone s'y refusent déjà. Les princes qui nous gouvernent craignent, ou plutôt savent, que notre obéissance ne durera pas bien longtemps.

    Si l'on en croit le quotidien Le Monde "le sommet de l’État redoute de devoir rendre des comptes".[1]

    À Beyrouth, ce 19 mars dans un pays déchiré à la fois par un affrontement culturel séculaire et par une crise financière majeure, le pouvoir était "accusé de tirer profit du coronavirus pour intimider les protestataires".[2]

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  • La Syrie et Erdogan : « Grâce à Soros, les mensonges vont bon train »

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    Le financier George Soros a récemment publié une tribune dans le Financial Times qui critique le rôle de la Russie en Syrie et défend le Président turc Erdogan.

    Comment s’inscrit-elle dans la communication occidentale sur ce conflit ?

    Décryptage du colonel Alain Corvez, ancien conseiller auprès des Nations unies, sur Sputnik France.

    https://fr.novopress.info/

  • L’effondrement d’un monde, par Charlotte d’Ornellas

    Les frontières se ferment, les nations devancent l’Union européenne, la souveraineté est louée, les services publics sont encensés, la libre circulation des personnes est contestée, la famille plébiscitée… Le coronavirus impose une remise en cause.

    «Hormis un conflit planétaire majeur, que nous jugeons improbable, une pandémie serait l’autre évènement de grande échelle qui, selon nous, pourrait stopper ce processus». En 2005, l’expert en politique internationale Alexandre Adler signait un livre à partir d’un rapport de la CIA. Un paragraphe intitulé « Qu’est-ce qui pourrait faire dérailler la mondialisation ? » donnait cette réponse. Nous y sommes. Quinze ans plus tard, Emmanuel Macron donne raison à la prévision alors que frappe le coronavirus : « Déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner, notre cadre de vie au fond, à d’autres est une folie. Nous devons en reprendre le contrôle. » Finie la mondialisation heureuse, place à l’éloge de la souveraineté et du protectionnisme ! La remise en cause est brutale.

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  • Crise du covid-19 : quels impacts potentiels sur le système économique mondial ?, par le Cercle Jean Bodin (Lyon).

    La crise sanitaire internationale induite par la pandémie du covid-19 donnera lieu à une crise économique et financière majeure. Cette analyse n’aura pas pour objectif de faire l’inventaire statistique de la récession économique internationale ; sur ce point, chacun pourra se documenter en sources de presse diverses sur l’état des économies nationales impactées par le covid-19. La chute constante des cours boursiers mondiaux en est l’un des témoins immédiats.
    L’objectif de cette analyse sera de se projeter sous un angle « méta-économique » et de réfléchir aux conséquences de fond que pourrait – devrait-on plutôt dire « devrait » - engendrer la crise du coronavirus sur la logique du système économique mondial, de son architecture. Comme toute crise, celle du covid-19 se traduira par des continuités. Cependant, elle pourra aussi donner aussi lieu à des ruptures majeures dans la manière de considérer la logique fondamentale du système économique international.

    ÉLÉMENTS PRÉLIMINAIRES - Quelle est l’architecture actuelle du système économique international ?

    Le système économique mondial repose sur plusieurs paramètres structurants, dont certains seront énumérés ci-après.
    1. Un étalon monétaire qui est lui-même une monnaie, à savoir le dollar ; ce dernier repose à son tour sur au moins deux piliers que sont, d’une part, la puissance militaire américaine comme garantie financière du référentiel états-unien, ainsi que le cours du baril de pétrole (qui, quant à lui, engage une multitude d’Etats exportateurs et importateurs de pétrole) ;
    2. Un système d’économie intégré à l’échelle mondiale, répondant du principe de la division internationale du travail (DIT), ainsi que de la libre circulation (bien que relative) des marchandises et des hommes ; ce dernier, d’inspiration économique libérale, pose que chacune des puissances économiques du monde se positionne sur le marché économique international en fonction de ses avantages comparatifs optimaux. C’est ce qui conduit certains pays, voire certaines régions, à se positionner comme les « usines du monde » - en proposant une main d’œuvre à bas coût et des standards sociaux et environnementaux très réduits – et d’autres à se structurer autour de l’économie de service, dont la valeur ajoutée intellectuelle et innovante justifie des coûts de vente plus élevés (c’est le cas des pays très développés) ;

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  • Actualité d’Alexandre Douguine par Georges FELTIN-TRACOL

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    Chers Amis de TV Libertés,

    Cela fait bientôt quatre ans que le philosophe russe Alexandre Douguine est interdit de séjour dans l’ensemble de l’Union dite européenne en raison de ses prises de position interventionnistes contre l’Ukraine. Cette interdiction n’empêche heureusement pas les vaillantes éditions Ars Magna de Nantes de poursuivre et d’amplifier la parution en français des ouvrages du penseur de la « quatrième théorie politique ». Il y en aurait plus de soixante-dix disponibles en russe…

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  • Symboliquement et courageusement, le Parti de la France a manifesté sa solidarité avec la Grèce vendredi soir devant l'ambassade de Turquie

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    Vendredi soir, dans le XVIe arrondissement de Paris, les militants franciliens du Parti de la France se sont rassemblés aux abords de l'ambassade de Turquie afin de marquer symboliquement leur solidarité avec la Grèce envahie par des multitudes de prétendus réfugiés envoyés par Erdogan. 

    Préparé en seulement quelques jours, ce rassemblement visait à rappeler aux Français que, face à l'expansionnisme islamique, une riposte européenne est indispensable.

    Erdogan, en bon mahométan qu'il est, sait que sa mission est de contribuer à l'implantation de l'islam sur toute la planète. Quant à l'Europe, bercée depuis des décennies dans les illusions mondialistes, elle préfère fermer les yeux. Et c'est le peuple helénnique qui paye lourdement ce dénie de réalité.

    C'est afin de montrer aux Grecs que les Français lucides sont à leurs côtés face à l'invasion de leur pays que les nationalistes du Parti de la France ont organisé cette manifestation.

    Synthèse nationale

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  • Dans Politique Magazine : Moscou et Ankara face à face en Syrie et en Libye, par Antoine de Lacoste.

    Kurdes, Turcs, Russes, Syriens, islamistes, Libyens, Américains… L'Orient compliqué est un maelström d'influences, de manœuvres politiques et d'ambitions économiques où tout est possible. Une chose est certaine : l'Europe n'est plus rien en Méditerranée.

    Depuis que les États-Unis renoncent progressivement à être les gendarmes du monde et que l’Europe ne sert plus à rien, la Turquie et la Russie sont les deux nouveaux acteurs majeurs du monde méditerranéen. Ces deux pays sont donc condamnés à s’entendre afin d’éviter d’excessives tensions mais l’exercice relève parfois de l’équilibrisme. C’est notamment le cas dans le nord-ouest de la Syrie, dans la province d’Idleb, et en Libye où chacun soutient un camp opposé.

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