En tant que vice-président de Barack Obama, Joe Biden s’était rendu pas moins de six fois en Ukraine. Il y était allé autant pour créer une nouvelle crise avec la Russie que pour ses intérêts personnels. À Kiev, Biden est chez lui. Il s’y est illustré en faisant virer un procureur qui ne lui revenait pas et en plaçant son fils, Hunter, au conseil d’administration du plus grand producteur de gaz naturel du pays, Burisma Holdings, où il gagnait 50.000 dollars par mois. De nouveau à la Maison-Blanche, en tant que président cette-fois, Biden a indiqué que l’Ukraine était une « préoccupation vitale » des États-Unis et son nouveau secrétaire d’État, Antony Blinken, a déjà promis de livrer des armes létales à Kiev et de former l’armée ukrainienne.
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Joe Biden souffle déjà sur les braises de la guerre en Europe
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Syrie: au moins 21 djihadistes de l’État islamique ont péri dans plusieurs raids russes, selon l’OSDH
Au moins 21 jihadistes du groupe État islamique (EI) ont péri dans plusieurs raids menés par l’aviation russe dans le nord de la Syrie, a indiqué samedi l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
«Au moins 130 frappes aériennes ont été menées au cours des dernières 24 heures par l’aviation russe, ciblant l’organisation État islamique dans une zone à la lisière des provinces d’Alep, Hama et Raqa» dans le nord de la Syrie, a indiqué l’OSDH faisant état d’au moins 21 jihadistes tués.
(…) Le Figaro
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Panorama d’un effondrement annoncé par Bastien VALORGUES
Voilà un titre bien alléchant ! Dommage que l’auteur, Michel Vial, déplore cet effondrement inéluctable. Cela ne l’empêche pas d’inviter « tous les Français, mais aussi tous les Européens à se mobiliser, à résister à l’entreprise de démolition de notre identité, à rejeter le consumérisme et le mondialisme, à combattre l’écologie politique, le multiculturalisme et l’islamisation, à affirmer leur fierté, à retrouver leur combativité et à réagir pour enrayer le déclin de notre civilisation ». Suite à la crise du coronavirus, il souligne qu’« une société orwellienne s’est installée insidieusement sans qu’on puisse imaginer de retour en arrière à moyen terme ». De célèbres médecins sont poursuivis pour leur scepticisme envers la covid-19 et les remèdes à appliquer. La vaccination deviendra à moyen terme obligatoire sous peine de discrimination autorisée par la loi à l’égard de tous les réfractaires au Diktat du Big Pharma, grand pourvoyeur de fric aux politiciens en place.
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Ceux qui accusent l'Armée française
Un an après le sommet de Pau de janvier 2020, les chefs d’Etat de Mauritanie, Mali, Niger, Tchad et Burkina Faso se concerteront les 15 et 16 février lors d’un sommet à N’Djaména, avec le président français Macron. Celui-ci a annoncée 19 janvier, que la France s’apprêtait à ajuster son effort au Sahel.
La période est donc cruciale.
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L’Europe et les Nouveaux Équilibres
Le centre du monde s’est depuis un certain temps déplacé vers l’Indo-Pacifique. Cela a transformé l’Europe et ses nations en sujets voués à la subordination.
Le capitalisme européen, surtout allemand, mais aussi français, a pourtant accepté le défi asiatique des Chinois et des Américains.
Le destin politique et économique des Européens est largement lié aux résultats politiques, et pas seulement économiques, que le Vieux Continent rapportera. On parle ici de relations privilégiées avec les pays d’Amérique Latine bordant le Pacifique, mais aussi et surtout de l’influence que l’on parviendra à maintenir dans l’Indo-Pacifique où, avec une grande partie de l’establishment japonais et indien, les européens travaillent déjà pour faire sauter le mur contre le mur voulu par Washington et son alliance « QUAD » dans l’esprit de l’Alliance atlantique.
Voyons ce qu’on en dit.
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Pourquoi cette gouvernance par la peur ?
L’oligarchie mondiale aux prises avec une profonde crise de surproduction, d’augmentation de la dette publique et de baisse des taux d intérêts prépare un nouvel ordre mondial (NOM) incluant le grand reset financier. Il lui faut obtenir notamment la baisse des salaires et des retraites et attaquer les économies des épargnants.
Ne pouvant obtenir le consentement que d’une minorité non ou peu concernée par la baisse prévisible du pouvoir d’achat des masses, elle a mis en place une gouvernance basée sur une propagande orchestrée par des medias, propriétés d’une poignée de multimilliardaires, fondée sur la peur.
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La mondialisation a enlevé toute valeur réelle à la monnaie, par Olivier Pichon.
Mais peut-on vivre à perpétuité dans un monde magique ?
Depuis le lendemain de la Première Guerre mondiale, le monde a abandonné progressivement la référence à l’or comme fondement des monnaies. Celles-ci sont devenues discrétionnaires, à la disposition des États qui, par les banques centrales et les banques commerciales, ont eu la tentation forte d’en augmenter le volume, sans rapport avec la réalité de l’activité économique.
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AVEC LA RUSSIE, PLACE AU RÉALISME !
L’Union Européenne comprend la majorité des pays à l’Ouest de la Russie en Europe. Nombre de ces Etats sont également membres de l’OTAN, organisation dirigée prioritairement contre le bloc soviétique et qui demeure hostile à la Russie comme si cette dernière en était la continuation. La volonté de poursuivre l’élargissement vers l’Est de l’UE et de l’OTAN notamment en englobant les anciennes républiques soviétiques telle l’Ukraine est ressentie comme une menace par Moscou, échaudé par la promesse non tenue de ne pas intégrer les républiques baltes. Il y a deux manières d’envisager la tension à nouveau créée autour de l’opposant russe Alexeï Navalny.
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La menace turque
Jean-François Colosimo, qui vient de publier Le Sabre et le turban. Jusqu’où ira la Turquie ?, a été interrogé dans L’Incorrect du mois de février. Extrait :
Vous pouvez commander ou vous abonner à L’Incorrect ici ou le retrouver chaque mois sur Le Club de la Presse.
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Impérialisme US as usual.
L'avis de Jean-François TouzéL'arrivée à la Maison Blanche de Joe Biden a un mérite : celui de mettre fin à l'illusion qu'entretenaient certains nationaux à l'égard de l'administration précédente.A l'occasion de son premier discours de politique étrangère, ce jeudi, le nouveau Président a, quant à lui, mis les points sur les "i". Son mandat sera celui du retour de l'activisme diplomatique et militaire, de la guerre froide, de la pression sur les nations et les peuples, et d'un redémarrage du leadership yankee de droit biblique.Trump voulait une Amérique forte mais eut le bon goût de ne pas - sauf sur les questions commerciales où il fut un adversaire redoutable de l'Europe - cultiver l'interventionnisme. Avec Biden la foutue mâchoire américaine sur le monde va se resserrer. Wilson et Roosevelt sont de retour. l'Empire entend bien retrouver l'entièreté de ce qu'il considère comme ses droits sur la planète.