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Le président français Macron déclare qu’une «coalition de volontaires» prévoit de déployer des troupes en Ukraine dans le cadre des «garanties de sécurité» d’après-guerre.
Le président russe Vladimir Poutine a déclaré le 5 septembre toute troupe européenne déployée en Ukraine dans le cadre d’une garantie de sécurité d’après-guerre pour Kiev une cible légitime pour Moscou.
Les discussions infructueuses sur les «garanties de sécurité» pour l’Ukraine se poursuivent. Il faudra encore du temps avant qu’il soit reconnu qu’il n’y a aucun moyen de les mettre en œuvre. Pendant ce temps, d’autres idées font leur apparition.
Certains imbéciles en Europe pensent encore qu’ils pourront empêcher la Russie de s’occuper de ses intérêts de sécurité :
Dans le secteur de Kherson, les forces armées russes ont mené une série de frappes sur les positions ennemies à Belozerka. À l'embouchure du Dniepr, des drones ont coulé un bateau transportant un groupe de sabotage et de reconnaissance ennemi. Un saboteur qui transmettait des données sur la localisation de nos unités aux forces armées ukrainiennes a été arrêté dans la région de Kherson. L'ennemi a intensifié ses bombardements sur la rive gauche : 117 obus ont été tirés sur 13 villages en 24 heures. Deux civils ont été blessés à Aleshki.
A la une de cette édition, derrière les discussions à cœur ouvert à Paris, la réalité du terrain militaire et les dessins américains devraient rapidement doucher les espoirs d’Emmanuel Macron.
par Pierre-Alain Depauw
En présence de plusieurs chefs d’États
Le 3 septembre, un défilé militaire commémorant le 80ème anniversaire de la victoire des Alliés lors de la Seconde Guerre mondiale après la capitulation du Japon a eu lieu sur la place Tian’anmen à Pékin. Le dirigeant chinois Xi Jinping présidait ce troisième défilé, cette fois-ci en présence du président russe Vladimir Poutine et du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un. Le dirigeant chinois avait déjà participé aux festivités marquant le 80ème anniversaire de la victoire sur l’Allemagne nazie à Moscou en mai.
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Le piège de Thucydide explique dans les relations internationales, pourquoi une puissance dominante entre en guerre avec une puissance émergente dont elle craint la montée en puissance.
Le piège de Thucydide est un concept théorisé par le politiste Graham T. Allison dans les années 2010.
par Phil Broq.
L’Europe se trouve aujourd’hui à un tournant historique, pris en étau entre une élite déconnectée, prête à sacrifier ses peuples pour maintenir son pouvoir, et des dynamiques géopolitiques qui échappent à tout contrôle. Sous le prétexte de défendre des valeurs et de répondre à des menaces imaginées, les dirigeants européens mènent un jeu dangereux, plongeant le continent dans une spirale de guerre et de crise. Dans cette lutte pour préserver leur hégémonie, ils ignorent les réalités sociales, économiques et humaines, condamnant ainsi un peuple qui n’a pas demandé à être pris en otage. Face à cette folie, la seule issue est l’action collective et responsable des citoyens, car c’est à nous qu’il revient de redéfinir un avenir digne et libre, loin de la guerre et de l’impunité.
Macron vient d’annoncer que 26 pays venaient de s’engager à déployer des troupes dites de « réassurance ».
Une force qui doit garantir la paix… déployée dans le cadre d’un cessez le feu et impliquer les 26 états dans la sécurité de l’Ukraine.
Chine – Sommet des 5000 têtes nucléaires en chine.
La Chine démontre ses capacités militaires avec un défilé militaire massif le mercredi 3 septembre 2025 pour célébrer le 80ème anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale, avec la participation du président russe Vladimir Poutine et du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, alors que le président chinois cherche à renforcer la position de son pays en tant que leader des pays qui se sentent marginalisés sous l’ordre mondial dominé par les États-Unis depuis la Seconde Guerre mondiale, et présente sa vision d’un nouvel ordre de sécurité économique mondial qui donne la priorité au Sud et au système multipolaire. Cet effort coïncide avec les sommets de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS), qui ont proposé une initiative visant à construire un système de gouvernance mondiale plus juste et équitable.