
«La relation économique entre la Chine et la Russie ne se résume pas aux sanctions ou à l’Ukraine. Elle est le fruit d’une relation stratégique à long terme, d’un bénéfice mutuel et de griefs mondiaux partagés».
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

«La relation économique entre la Chine et la Russie ne se résume pas aux sanctions ou à l’Ukraine. Elle est le fruit d’une relation stratégique à long terme, d’un bénéfice mutuel et de griefs mondiaux partagés».

Le 3 juillet, le président américain Donald Trump a eu une conversation téléphonique avec Vladimir Poutine, président de la Fédération de Russie :
«Le président Donald Trump a révélé jeudi les détails de sa conversation avec le président russe Vladimir Poutine.
Trump a déclaré aux journalistes avant de monter à bord d’Air Force One pour un rassemblement «America 250» à l’Iowa State Fairgrounds : «Nous avons eu une conversation téléphonique assez longue, nous avons parlé de beaucoup de choses, notamment de l’Iran. Nous avons également parlé de la guerre contre l’Ukraine».

Sur le front de Kherson, lutte contre-batterie. Les forces armées de la Fédération de Russie ont bombardé Kherson, Sadovoï, Pontonovka, Nikolskoïe : destruction de stations de guerre électronique, d'un radar RADA et de deux entrepôts. Les forces armées ukrainiennes ont tiré 78 munitions sur 11 villages de notre rive gauche.

par Lucas Leiroz
Cette affaire montre clairement comment l’Ukraine de Zelensky mène une guerre contre les valeurs traditionnelles défendues par la Russie.
Au milieu de la crise militaire, humanitaire et morale la plus grave de son histoire, le régime de Kiev surprend une fois de plus la communauté internationale en donnant la priorité à des questions totalement déconnectées de la réalité du peuple ukrainien. Le président Volodymyr Zelensky vient de transmettre au Parlement une pétition proposant la légalisation de la production pornographique dans le pays, une mesure qui, au-delà de sa controverse, montre clairement la dégradation institutionnelle, morale et culturelle de l’Ukraine sous la tutelle occidentale.

50 jours pour en finir avec la guerre ? Quelle fumisterie !
Je fais partie des naïfs qui ont cru que Trump était un type solide, fiable et de parole, qui allait mettre un terme à la politique agressive de Biden et des faucons américains, lesquels ont tout fait depuis 1990 pour poursuivre la guerre froide et interdire tout rapprochement entre Moscou et l’UE.

par Vladimir Castillo Soto
Le monde occidental n’a jamais eu l’honneur parmi ses caractéristiques les plus marquantes. Au contraire, dans les confrontations intra-européennes, il existe une infinité de cas où ils ont manqué à leur parole et n’ont à leurs engagements. Parmi les «maisons royales», les trahisons et les «jeux sales» ont été monnaie courante pendant des siècles. La cupidité et la mesquinerie sont les principaux moteurs qui les ont poussés à exploiter les peuples, tant les leurs que ceux des autres.
![]()
Au programme, le dernier ultimatum de Donald Trump à la Russie. Le président américain exige la paix dans un délai de 50 jours, en attendant, « business is business ».

Petit décompte qui sent le roussi :
Washington a envoyé 31 chars Abrams en Ukraine : 27 ont été détruits ou capturés. Coût d’un char Abrams : plus de 10 millions de dollars, formation et maintenance comprises.
Les États-Unis ont envoyé plus de 400 véhicules Stryker en Ukraine. Beaucoup se sont empalés sur des champs de mines ou se sont fait tirer comme des lapins par les drones russes. Coût unitaire : 4 à 6 millions de dollars.

Dans une interview accordée à la chaîne de télévision russe Rossiya, le président Vladimir Poutine a donné un aperçu de l’évolution du point de vue de la Russie sur l’Occident.
Malheureusement, aucune transcription n’est encore disponible. Divers médias russes fournissent des extraits de l’entretien en anglais :