Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

insécurité - Page 1045

  • Obertone sur France 3 : « 2/3 des crimes et délits sont commis par des gens issus de l’immigration » (+audio conf. Marseille)

    France 3 Provence-Alpes, 13/03/13

     

    « On ne peut pas enfermer les gens qui croquent les policiers au pays des Droits de l’Homme mais on euthanasie bien les chiens qui mordent les gens. Et encore, les chiens ont-ils des circonstances atténuantes ? »

    Laurent Obertone hier en dédicace au Virgin Megastore de Marseille.

     

    EXCLUSIF Fdesouche.com : Laurent Obertone était aussi l’invité des « Mardis Littéraires » le mardi 12 mars au restaurant Don Corleone, à Marseille, à propos de son premier livre « La France Orange Mécanique ». Audio :

    http://www.fdesouche.com/

  • Dealers délogés, dealers arrêtés, mais dealers libérés…

    Dealers délogés, dealers arrêtés, mais dealers libérés… Il y a comme cela des juxtapositions d’événements qui donnent à réfléchir. Si le hasard existait, cela simplifierait tout… mais le hasard n’existant pas, il faut bien dire que deux articles parus dans Le Figaro de ce jour sont particulièrement significatifs de l’état de la sécurité en France.

    Le premier est titré « Nanterre : ils délogent des dealers de leur immeuble »… soit l’action menée par des locataires d’une résidence des Hauts-de-Seine : lassés d’assister au trafic qui avait lieu dans le hall de leur immeuble, ils s’y sont regroupés tous les jours aux « heures de bureau » des délinquants qui ont préférés, depuis, aller « trimer » ailleurs.

    « L’ancien président de l’amicale des locataires a eu l’idée de cette occupation après avoir vu un reportage sur une initiative similaire à Lille. En janvier dernier, une cinquantaine d’habitants d’une tour HLM du quartier de Wazemmes s’étaient en effet relayés pendant plusieurs jours pour empêcher des dealers d’envahir leurs couloirs pendant la nuit. »

    Le maire communiste de Nanterre a bien été forcé de saluer l’initiative – électoralement parlant, il aurait sans doute été désastreux de la condamner –, mais en espérant bien sûr que – idéologiquement parlant, ça « craint » – les « habitants ne s’organisent pas en milice et ne se substituent pas à la police. »

    L’autre article, dans Le Figaro du même jour est titré, lui : « Dix dealers présumés libérés par erreur : la police s’indigne. »

    Autre page, autre réalité de la « douce France. »

    « L’erreur de calendrier d’un juge a conduit à relâcher les membres présumés d’un important réseau de drogue du Val-de-Marne. La police s’indigne. »

    C’est ballot, tout de même, cette rigueur de la Justice qui permet ainsi à « une fratrie de Champigny-sur-Marne, qui avait mis en coupe réglée la cité des Boullereaux, considérée alors comme la deuxième plaque tournante du trafic de cannabis dans la région parisienne » de retrouver l’air libre de « Shitland », joli nom dont ils avaient eux-mêmes rebaptisé leur cité où ils rackettaient les riverains, « leur faisant payer parfois 10 euros pour emprunter l’ascenseur des HLM, leur prélevant même, de temps en temps, une partie de leurs courses quand ils rentraient du marché. »

    La police, paraît-il, est écœurée : « Le pire, c’est que ces trafiquants vont revenir parader au nez et à la barbe des témoins, qu’ils pourront les menacer, faire des pressions de toute sorte sur de braves gens et que rien garantit désormais qu’ils se présenteront tous à leur procès prévu en avril. »

    Écœurée ? On se demande bien pourquoi… Sauf si certains pandores craignent de les voir également reçus en grandes pompes à l’Élysée… telle Florence Cassez qui fut, rappelons-le, elle aussi extraite des geôles mexicaines pour un vice de procédure…

    En tout cas, les rackettés de Shitland peuvent au moins être assurés que leur ascenseur ne tombera jamais en panne. À 10 euros le passage, la joyeuse bande de Justiciables de retour à l’air libre y veillera sûrement avec une attention scrupuleuse.

    Philippe Randa http://www.voxnr.com

    notes :

    (1) www.lefigaro.fr, 5 mars 2013.

  • Le personnel des hôpitaux en danger

    Petits, "ils" insultaient, menaçaient, agressaient leurs profs. "Ils" ont grandi: c'est maintenant au personnel des hôpitaux qu'"ils" s'en prennent, tandis qu'à l'école, une nouvelle génération a pris la relève pour mordre la main qui la nourrit. La réponse, ce sera sûrement plus de subventions et d'allocations.

    Lu sur TF1 News:

    La direction de l'hôpital Nord de Marseille a porté plainte après des actes de violences survenus dimanche et lundi dans le service des urgences de cet établissement.

    Basta. Après des actes de violences survenus dimanche et lundi aux urgences de l'hôpital Nord de Marseille, la direction de l'établissement a porté plainte. Mardi, l'ensemble du personnel a exprimé son ras-le-bol face à la multiplication de ces actes. "Nous enregistrons malheureusement un accident par mois de cette gravité", a déploré le directeur de l'hôpital, Gilles Halimi.

Dimanche, un homme mécontent d'un certificat médical a menacé de mort et de représailles "avec une kalachnikov" le médecin qui l'avait reçu. Lundi, vers 5 heures un homme blessé avec son frère dans un accident de circulation, qui ne supportait pas d'attendre, a cassé une porte à coups de poing. La direction de l'hôpital et deux vigiles, qui ont été blessés dans l'altercation de lundi, ont porté plainte pour violences et dégradations.
 
"Ce sont des faits de plus en plus fréquents", a indiqué à l'AFP le Dr Philippe Jean, responsable du service accueil des urgences adultes. Le chef de service souligne que "la violence urbaine est désormais importée à l'hôpital. Il n'y a plus de respect de l'institution", a-t-il conclu. Dans les couloirs des urgences de l'établissement, situé dans les Quartiers nord, dans une zone parmi les plus défavorisées de Marseille, beaucoup de professionnels de santé confient avoir subi des violences verbales ou physiques. "Il y a quelques semaines, un patient n'était pas satisfait de son certificat médical, alors il m'a craché dessus. Il voulait une semaine de plus et a essayé de me frapper", raconte Maéva Delaveau, médecin urgentiste depuis 10 ans à Marseille, dénonçant des comportements "complètement délirants".

    Malheureusement, le cas de l'hôpital nord de Marseille n'est pas isolé. A l'échelle nationale,  5 760 faits de violence ont été signalés en 2011, selon les derniers chiffres de l'Observatoire national des violences en milieu de santé. Dans 51% des cas il s'agit de violences physiques, soit une hausse de 4% par rapport à 2010.

    http://rivarol.over-blog.com

  • Récidive : les fauves sont relâchés

    Assassin d'Anne-Lorraine Schmitt, Thierry Devé-Oglou aurait dû se trouver en prison à l'heure où il a tué la jeune fille. Cette affaire emblématique repose le problème de la récidive et des réductions de peine.

    Le 15 décembre dernier, Thierry Devé-Oglou a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une peine de sûreté de 22 ans. Le 25 novembre 2007, dans une rame de RER, cet homme de 44 ans avait assassiné de 34 coups de couteau, faute de parvenir à la violer, Anne-Lorraine Schmitt, une étudiante de 23 ans. Le meurtrier avait été appréhendé d'autant plus rapidement que cette jeune femme courageuse l'avait blessé en se défendant. Devé-Oglou est un récidiviste : en janvier 1995, toujours dans une rame de RER, il avait déjà violé une autre jeune femme après l'avoir blessée d'un coup de couteau à la main. « Il n'avait aucune pitié. J'avais une bombe en face de moi », témoignera celle-ci au procès de l'assassin d'Anne-Lorraine. Pour ce premier crime, l'homme fut condamné à cinq ans de prison, dont deux avec sursis. Par le jeu de remises de peine, il n'en fit que deux ...

    Après la condamnation du meurtrier de sa fille, le père d'Anne-Lorraine, le général Philippe Schmitt, a déclaré : « C'est une piètre victoire, mais il y aura désormais une personne dangereuse de moins dans les rames du RER D. » Pour combien de temps ? Vingt-deux ans, au moins, puisque telle est la durée de la peine de sûreté, réputée incompressible ? Ce n'est même pas sûr. Dans un livre intitulé « Plaidoyer pour les victimes », réalisé en collaboration avec Alain Bisbau, Me Marcel Normand, avocat honoraire qui fit une brillante carrière au barreau de Paris, écrit : « les peines de sûreté sont réputées, elles, incompressibles, irréductibles. Or, il suffit de lire attentivement les textes en cette matière pour constater que ces fameuses peines de sûreté sont elles-mêmes réductibles. Ce qui signifie que finalement, lorsque les jurés d'une cour d'assises prononcent une peine dite de perpétuité ou de sûreté, ils ignorent quelle sera finalement la durée réelle d'exécution de ces condamnations. »

    Le mécanisme des peines plancher, introduit en 2007 par le législateur en raison notamment de la multiplication des crimes perpétrés par des récidivistes, n'y change rien et souligne au contraire l'ambiguïté de la situation actuelle : le juge se voit imposer, pour certains délits, une peine minimale, sous laquelle il ne peut pas descendre (15 ans pour les crimes passibles de la perpétuité). Mais la « peine plancher » elle même fait systématiquement l'objet d' aménagements et de réductions de peine...

    Combien de victimes seraient encore vivantes ?

    Ainsi Pierre Bodein, multirécidiviste condamné en première instance, en 1994, à 30 ans de prison avec une période de sûreté de 18 ans pour avoir violé une jeune femme et grièvement blessé un policier, peine réduite à 28 ans par la cour d'appel puis à 20 ans par la Cour de Cassation, fut libéré le 14 mars 2004 par le jeu des remises de peine automatiques et placé en liberté conditionnelle. Ce qui lui permit, entre les mois de juin et de juillet de la même année, de violer et de tuer dans des conditions atroces une jeune femme, Hedwige Vallée, une petite fille de 10 ans, Jeanne-Marie Kegelin, et une adolescente de 14 ans, Julie Scharsch.

    Ainsi aussi, Michel Fourniret incarcéré en mars 1984 et condamné en juin 1987 à 5 ans de prison pour une dizaine de viols et d'agressions sur mineurs, fut relâché en octobre de la même année en raison des trois ans de préventive effectués et par le jeu des remises de peine, et put commettre deux mois plus tard, sur une lycéenne, Isabelle Laville, le premier d'une longue série de meurtres.

    Ainsi encore, Manuel Da Cruz, récidiviste condamné à 11 ans de prison en 2002 pour le viol d'une fillette de 13 ans, libéré en 2007 sous condition, ayant fini de purger sa peine en 2008 par le jeu des réductions de peine, est présumé avoir enlevé, violé et tué, près de Milly-la-Forêt, en septembre, Marie-Christine Hodeau.
    Les exemples abondent, hélas. Combien de victimes seraient-elles encore vivantes, si les criminels avaient effectué l'intégralité de la peine à laquelle les avait condamné le tribunal ?

    À quel âge Devé-Oglou sera-t-il libéré ? Au reste, que faire de ces fauves, qui, derrière les barreaux, se conduisent en général en prisonniers modèles ?

    Le magistrat avait perdu son pari...

    Au lendemain du meurtre de Natacha Mougel, tuée en septembre 2010 par Alain Pénin, récidiviste condamné en 2006 à dix ans de prison pour un viol, Michelle Alliot-Marie, garde des Sceaux, avait suggéré, dans une tribune donné au Monde, une réforme de la libération conditionnelle prévoyant entre autres choses d'associer des jurés populaires aux décisions de liberté conditionnelle et de procéder à des périodes de libération probatoire avec placement sous bracelet électronique avant de décider d'une libération totale en cas de succès.

    Mais en cas d'insuccès ? Le projet de Michelle Alliot-Marie rappelle celui d'un représentant du parquet ayant consenti à la libération d'un criminel qui avait récidivé, et qui déclarait pour se justifier : « Libérer un condamné qui a déjà accompli une part essentielle de sa peine est un pari que nous devons faire dans l'intérêt de l'humanité. » Sur quoi Me Normand. qui rapporte le fait dans son livre « Plaidoyer pour les victimes », conclut : « Dans le cas d'espèce, le magistrat, lui, avait perdu son pari mais la nouvelle victime avait perdu la vie. »

    MAM n'avait pas osé ou voulu proposer d'en finir tout simplement avec les réductions de peine automatiques et les libérations conditionnelles des criminels sexuels. Un mois après le meurtre de Marie-Christine Hodeau, elle s'était déjà attirée les foudres des bien-pensants en proposant de faire de la castration chimique volontaire une condition de la libération. Elle a finalement quitté la place Vendôme, laissant sa place à Michel Mercier, sans que ces vertueux projets aient vu le jour.

    S'ils l'avaient vu, ils n'auraient par ailleurs constitué qu'un début de solution en aval ; en amont, la meilleure des préventions consisterait sans doute à éliminer les facteurs déclenchant du crime, que notre société - soit dit sans atténuer la responsabilité des criminels - encourage trop souvent. Peu avant de tuer Anne-Lorraine Schmitt, Thierry Devé-Oglou avait visionné un film pornographique.
    Hervé Bizien monde & vie 8 janvier 2011

  • L’extrême droite traque le violeur de Lyon 8e : la police ne veut pas de milice

    traque-contre-le-violeur.pngAlors que le GUD, syndicat étudiant, affirme organiser des patrouilles depuis mi-février afin d’interpeller le prédateur sexuel, la sûreté départementale précise que des rondes armées ou des contrôles d’identité sont illégaux. En revanche, l’interpellation d’un malfaiteur en flagrant délit relève du “comportement citoyen”.

    “Traque contre le violeur”. Le syndicat étudiant d’extrême droite, le GUD, se mobilise contre le prédateur sexuel du 8e arrondissement. Les opérations auraient commencé, à en croire les réseaux sociaux, à la mi-février. En plus d’improviser des patrouilles à la nuit tombée, le GUD Lyon a tracté dans le centre-ville afin de mettre en garde les Lyonnais.

    “Le GUD Lyon effectue des rondes afin de pouvoir s’assurer de la sérénité des quartiers où le fameux violeur du 8e agirait depuis le début du mois de février [la première agression remonte à octobre, ndlr], et tracte dans la ville afin d’alerter la population”, précise le document. S’en prenant aux associations de gauche qui se rassemblaient ce jeudi, le syndicat étudiant conclut en disant que “le GUD n’a jamais attendu et a toujours été en première ligne face à l’insécurité, quitte à utiliser la violence, une violence légitime”.

    Interrogé jeudi par nos confrères du Progrès, le directeur de la sûreté départementale n’a pas mâché ses mots, rappelant que “dans ce pays, les milices n’existent pas”. “Si certains de ces individus pensent se substituer aux policiers, ils en subiront les rigueurs de la loi”, a-t-il ajouté, affirmant qu’il n’a “pas besoin de guignols pour assurer la sécurité”.

    “Nous n’avons pas remarqué d’équipes constituées, mais on ne va pas non plus les traquer, nous a expliqué ce jeudi un responsable de la sûreté départementale. S’ils se baladent dans la rue et qu’ils interpellent le criminel en flagrant délit, c’est un comportement citoyen – un devoir pour les forces de police et un droit pour les citoyens. S’ils se baladent armés, ou s’ils procèdent à des contrôles d’identité dans la rue, là, ils vont avoir des ennuis.”

    http://fr.altermedia.info

    source Lyon Capitale

  • Méridien Zéro - Le 11 Septembre n'a pas eu lieu ...

  • Egypte : la crédulité des musulmans expose la population chrétienne à une rare violence !

    Le soir du jeudi 28 février dernier, en Égypte, une centaine de musulmans ont manifesté et tenté de s’introduire violemment dans une église copte à Kom Ombo. Le motif ? Une rumeur selon laquelle une femme musulmane, convertie au christianisme, se cachait à l’intérieur. Selon la rumeur, elle aurait été enlevée par les chrétiens, convertie de force et séquestrée dans l’église Mar Girgis (Saint-Georges), la plus grande de Kom Ombo. Ainsi, durant trois jours, l’église fut attaquée à coups de pierre et de cocktails Molotov, faisant près de deux douzaines de blessés parmi les chrétiens et les forces de police.

    Il a fallu que la police égyptienne fasse usage de gaz lacrymogène, le vendredi suivant 1er mars, afin de disperser les musulmans. pour disperser des musulmans qui manifestaient devant une église, après des. Mais ce qui mit fin définitivement à l’émeute fut la réapparition de la musulmane au sein de sa famille le samedi 2 mars : elle n’avait été ni enlevée, ni séquestrée et, et ne s’était pas davantage convertie au christianisme ! Elle s’était tout simplement absentée pour « des raisons familiales et sociales » selon la police.

    Comme quoi, tout est prétexte, pour les musulmans, à déverser leur haine sur le christianisme. Plutôt que de se réfugier dans la prière pour la conversion des âmes qu’ils croient perdues, ils font preuve d’une réaction violente et irrationnelle, quasi pavlovienne, et complètement dépourvue d’amour et de charité. Cela en dit long sur la nature de la religion qu’ils prétendent incarner et propager…

    http://www.contre-info.com/

  • « Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas » de Gérald Pichon

    Un livre présenté par Arnaud Grocellin.

    Longtemps dénoncée comme un fantasme, assimilée à un outil de propagande de l’extrême droite, la haine antiblanche était, jusqu’à récemment, déconsidérée par nos élites politiques et médiatiques. Pourtant, cette douloureuse réalité touche un nombre grandissant de Français. Agressions, insultes, viols… Cette forme particulière de haine raciale existe bel et bien. Mais, aux yeux de ses détracteurs, affirmer en être victime est une erreur : c’est refuser le sacro-saint vivre-ensemble, érigé en valeur suprême de la société multiculturelle. A l’heure où de grossières et opportunistes tentatives de récupération politicienne se font entendre, l’ouvrage Sale Blanc ! vient, témoignages et chiffres à l’appui, rendre compte d’une réalité méconnue et volontairement dissimulée par les gouvernements de droite comme de gauche. (4e de couverture)

    Après les propos du président de l’UMP, Jean-François Copé, en automne dernier et l’annonce d’une « nouvelle donne » dans l’idéologie antiraciste annoncée par la LICRA, le racisme antiblanc devient actuellement un vrai sujet de débats. Pourtant, aucune étude n’existait sur ce phénomène. C’est désormais chose faite, avec l’ouvrage de Gérald Pichon Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas . Chiffres, citations et témoignages à l’appui, il dévoile les caractéristiques de cette haine antiblanche et les causes.

    Les Blancs sont les premières victimes de la haine raciale

    Officiellement, la haine antiblanche n’existe pas en France. Sur les 800 actes racistes enregistrés en moyenne chaque année par la Commission nationale consultative des droits de l’homme, aucun ne concerne un acte de haine antiblanche. Pourtant, selon un sondage du quotidien Le Monde, 57% des personnes interrogées pensent que « le racisme antiblanc est un phénomène assez répandu en France » ! Cette différence s’explique, selon l’auteur, par la volonté des gouvernements de droite comme de gauche de dissimuler ce phénomène et, par ailleurs, une population française de souche vivant au quotidien cette réalité. Pour comprendre l’ampleur de ce phénomène, il faut savoir que cette « haine du Gaulois » est présente partout en France, selon un rapport datant de 2004 de l’ex-Direction centrale des renseignements généraux (DCRG), et plus particulièrement dans 800 quartiers répartis sur tout le territoire (soit 1,8 million de personnes), où il existe au su et au vu de tous un « racisme antifrançais » ! Pour établir une cartographie précise, huit critères ont été retenus pour définir un quartier sensible, notamment les graffitis antioccidentaux et la difficulté à maintenir une présence de Français d’origine. Dans ces « quartiers ghettoïsés ou en voie de l’être », les RG notent une forte concentration de familles d’origine immigrée, « parfois majoritaires, cumulant les handicaps sociaux et culturels », qui peut entraîner des rapports antagonistes avec les Français d’origine. Car, victimes de leur couleur de peau, les personnes « d’origine européenne (…) déménagent massivement et (…) les commerces traditionnels ferment ».

    L’Europe ne se suicide pas, on l’empoisonne !

    La haine antiblanche qui gangrène désormais la société française est avant tout un problème idéologique, celui d’une élite politico-économique qui a fait de la haine de soi la pierre angulaire de sa politique éducative et culturelle à destination des peuples européens. Cette guerre culturelle prend la forme d’une culpabilisation permanente relayée par les médias et l’Education nationale. Sommés de faire quotidiennement leur devoir de mémoire à l’égard de tous les crimes dont se seraient rendus responsables TOUS les Blancs et ce de manière éternelle, les peuples européens sombrent dans une détestation de leur identité. Ce poison inoculé par les médias et l’Education nationale, que l’auteur appelle celui de la « mauvaise conscience occidentale », a pour but de paralyser les peuples européens afin de transformer le substrat identitaire des nations européennes par le Grand Remplacement de populations. A l’inverse, ce poison agit sur les communautés extra-européennes comme un puissant dopant haineux. Dans cette guerre culturelle, la propagande impose, d’un côté, le dressage à la haine de soi et de sa patrie d’origine pour les Européens et, de l’autre, l’apprentissage de la haine du pays d’accueil et de ses habitants pour les allochtones.

    « Sale Blanc ! Chronique d'une haine qui n'existe pas » de Gérald PichonPar ailleurs, ce poison de la « mauvaise conscience occidentale » inoculé dès le plus jeune âge par les médias et l’Education nationale explique l’absence de réaction des victimes. La pensée unique formate le plus grand nombre pour ne pas entendre les insultes et ne pas voir cette haine antiblanche. Toute pensée dissidente qui va à l’encontre du « racistement correct » est immédiatement suspectée de vouloir s’attaquer à cette fameuse notion du « vivre-ensemble ». A cause de ce poison paralysant, la plupart des victimes « gauloises » sont dans l’impossibilité de se rebeller ou d’avoir un vrai discours de vérité face aux violences antiblanches.

    Le Grand Remplacement appelle l’Europe au Grand Réveil

    Pour l’auteur, le Grand Réveil de l’Europe passe par une réappropriation identitaire de son histoire, de sa culture, de ses traditions et de sa terre. La « réidentitarisation » des peuples est le seul moyen, pour eux, de se purger du poison de la mauvaise conscience occidentale. Les réponses à apporter devront donc éviter de tomber dans les pièges tendus par le Système à tuer les peuples, comme celui de prendre pour modèle l’idéologie « white power » des « white trash » et de rejouer les « Blancs » contre les « Noirs » sur fond de sous-culture américaine. En outre, la figure de la victime ne faisant pas partie du Panthéon européen, il faut dès lors sortir du schéma victimaire, puiser dans les mythes des héros et des martyrs pour assurer la survie du Vieux Continent. Car face aux immenses défis que le futur réserve, « chacun de nous est porteur de la flamme de l’espoir européen ».

    Arnaud Grocellin
    5/03/2013

    Gérald Pichon, Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas, préface de Pierre Sautarel, février 2013, Editions Idées, 109 pages, 12 €

    contact@editions-idees.com
    http://www.editions-idees.com/sale-blanc/

    Correspondance Polémia – 10/03/2013

  • Soutien armé aux islamistes syriens : les Etats-Unis et l’Arabie Saoudite au cœur d’un vaste trafic

    Le journal croate Jutarnji (photo du site internet) vient de consacrer une enquête sur le financement des rebelles syriens. Selon notre confrère, Zagreb a été utilisée entre novembre et février comme « point de transit » pour le transport d’armes et de munitions destinées aux rebelles syriens, dans le cadre d’une opération organisée par les Etats-Unis. Ainsi, 75 avions de transports civils, turcs et jordaniens, ont décollé durant cette période de l’aéroport de la capitale croate. « On estime que quelque 3 000 tonnes d’armes et de munitions ont été transportées à bord de ces 75 vols », révèle le journal.

    Selon ce média, il s’agit d’armes vendues par la Croatie, mais aussi d’autres en provenance de plusieurs pays européens, dont la Grande-Bretagne, qui réclame une levée de l’embargo européen sur les armes à destinations des rebelles syriens. Jutarnji place l’administration Obama en chef d’orchestre de l’opération : « Des responsables américains ont engagé des partenaires – la Croatie, l’Arabie saoudite, la Jordanie et la Turquie dans cette opération d’armement des opposants du régime syrien », explique le journal. « Les Etats-Unis ont organisé la collecte des armes, l’Arabie saoudite les payait, alors que la Jordanie et la Turquie ont transporté ces armes, qui sont entrées en Syrie depuis le territoire jordanien », selon la même source.

    http://fr.novopress.info

  • Endiguer la délinquance serait pourtant très simple…

     

    Tribune libre de Paysan Savoyard

    Le livre de Laurent Obertone vient de mettre en avant l’ampleur du phénomène : la délinquance s’accroît continûment ; elle s’étend progressivement à tout le territoire ou presque ; elle devient de plus en plus spectaculaire et violente.

    Il existe pourtant des solutions très simples pour réduire fortement la délinquance, et ce en quelques mois.

     

    • Arrêter l’immigration et reconduire les clandestins et les délinquants

    Première chose à faire : arrêter l’immigration ; reconduire les clandestins ; expulser les étrangers condamnés (y compris les naturalisés, qu’il faut au préalable déchoir de la nationalité française).

    Les personnes d’origine immigrée sont responsables des trois-quarts de la délinquance. L’arrêt de l’immigration et le renvoi des délinquants auront donc un effet positif considérable sur le niveau de l’insécurité.

    A titre d’illustration, on peut consulter le site suivant :
    http://www.avisderecherches.interieur.gouv.fr/personnes1.asp?T=R&P=0 

    • Renforcer les forces de l’ordre et changer leurs consignes

    Deuxième chose à faire : renforcer significativement les effectifs de police. Et changer les consignes qui leur sont données.

    Aujourd’hui les instructions de la hiérarchie sont des consignes d’abstention : ne pas pénétrer dans les cités pour ne pas provoquer d’émeutes ; ne pas riposter même en cas d’agression, de guet-apens ou de tirs à balles.

    Dans ces conditions les forces de l’ordre sont aujourd’hui profondément démoralisées.

    Il faut changer cela. C’est simple: lorsque la police est agressée, elle doit recevoir la consigne de tirer. Il ne sera pas nécessaire de faire un carnage. Quelques victimes à deux ou trois reprises suffiront. Ensuite il n’y aura plus d’émeutes. 

    • Mettre à l’écart les récidivistes en changeant le code pénal

    Troisième chose à faire : il faut mettre à l’écart les récidivistes, et pour cela changer le code pénal.

    Résumons ce que nous avons détaillé dans une précédente tribune. La justice est actuellement spectaculairement laxiste :

    - Il y a officiellement 3,5 millions de délits et crimes par an. Selon les enquêtes de « victimation », le nombre réel est trois fois supérieur (en effet la plupart des victimes de faits de délinquance, tels que les petits vols et dégradations, les injures, les menaces et les coups, ne portent pas plainte).

    - Les deux-tiers des délits enregistrés ne sont pas élucidés (c’est-à-dire que le coupable n’est pas identifié). N’étant pas identifiés, les coupables par définition ne sont pas arrêtés et encore moins condamnés. Par exemple 90 % des cambriolages ne sont pas élucidés.

    - En dépit du faible taux d’élucidation, l’énormité de la délinquance fait que les délinquants identifiés sont tout de même très nombreux : 1 million de personnes sont mises en cause chaque année pour avoir commis un délit ou un crime (précisons qu’il s’agit bien d’1 million de personnes différentes ; et qu’une partie sont des récidivistes déjà mis en cause les années précédentes).

    - Parmi le million de délinquants identifiés chaque année, très peu sont condamnés à la prison. Certains ne sont jamais arrêtés. Pour d’autres, la justice décide de classer ou de ne pas engager de poursuites pénales. D’autres sont jugés non coupables ou relaxés au bénéfice du doute. Parmi les condamnés (376.000 par an), la plupart échappent à la prison et se voient infliger une peine alternative (amende, travaux d’intérêt général…).

    - Parmi les condamnés à la prison, beaucoup le sont avec sursis. Il y a chaque année environ 120.000 condamnations à de la prison ferme.

    - Lorsqu’ils sont condamnés à la prison ferme, ce n’est que pour une durée réduite (la durée moyenne des condamnations à la prison ferme est de 7 mois pour les délits et de 5 ans pour les crimes).

    - Parmi les condamnés à la prison ferme, une partie ne sont pas effectivement incarcérés. En effet lorsque la condamnation à la prison ferme n’excède pas deux ans, la loi permet au juge d’application des peines (JAP) de ne pas incarcérer le condamné et de transformer la peine de prison en une autre peine (port d’un bracelet électronique par exemple).

    La plupart des JAP profitent de cette possibilité et « aménagent » les peines inférieures à deux ans. Notons que c’est M. Sarkozy, le président de la fermeté verbale, qui a fait passer de un à deux ans la durée permettant la non incarcération, afin de réduire le nombre des détenus.

    Dans ces conditions, parmi les condamnés à la prison ferme, seuls 80.000 entrent en incarcération chaque année.

    - Les personnes incarcérées n’effectuent en pratique que les deux-tiers de leur peine (et même seulement la moitié pour certains), grâce à divers mécanismes d’amnistie, de libération conditionnelle et de remises de peine automatiques. De ce fait le séjour effectif en prison est en moyenne de 5 mois pour un délit (la faible durée du séjour effectif en prison explique que le nombre de détenus, environ 65 000, soit inférieur au nombre annuel des personnes entrant en incarcération).

    - Résumons. Il y a officiellement 3,5 millions de crimes et délits par an (en réalité trois fois plus). Aux termes du code pénal, les délits et crimes sont punissables de prison. Or seulement 80.000 délinquants sont incarcérés. Et ils n’effectuent en prison qu’un séjour de quelques mois. Disons les choses autrement : la quasi-totalité des délinquants sont… en liberté.

    Pour mettre fin à ce laxisme la solution est très simple : il faut changer le code pénal pour mettre à l’écart les récidivistes.

    Pour les récidivistes (et pour eux seulement), le code doit être substantiellement durci, sur deux plans :

    - Les règles de procédure pénales doivent être fortement allégées, afin d’empêcher les avocats de jouer sur les erreurs administratives (qui sont souvent liées à l’extrême complexité de la procédure, destinée à protéger les droits des mis en cause).

    - Les peines infligées aux récidivistes condamnés doivent être lourdes : elles doivent consister en une incarcération effective de longue durée. Et elles doivent être automatiques : les juges doivent être obligés par la loi de les appliquer.

    Tout cela est simple. Et d’exécution aisée. Faisons-le. En quelques mois la délinquance sera revenue à des niveaux tout à fait supportables.

    http://www.fdesouche.com