Un mur sépare, depuis vendredi, Paris du département de la Seine-Saint-Denis. La symbolique de cette coupure géographique et sociale, censée isoler des consommateurs de cracks, dit tout de l’impuissance de l’Etat à imposer une sécurité élémentaire. Certes, il ne s’agit pas, comme en Israël il y a vingt ans, de protéger la ville d’assauts venus de terroristes islamistes. Mais c’est bien une barrière de séparation, une clôture de sécurité, qui a été érigée en urgence par la préfecture de police de Paris.
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Le mur de Pantin signe l’échec sécuritaire, par Ivan Rioufol
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La situation du Kosovo, un avenir possible de la France ? Jean-Frédéric Poisson répond « Oui »
De retour des Balkans, Jean-Frédéric Poisson compare la situation du Kosovo à certains quartiers français et dénonce la domination territoriale de l’islam conquérant.
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Salles de shoot : si ce n’est pas là, ce sera juste à côté !, par Marie Delarue.
Pour décrire ce qui se passe dans Paris, notre belle capitale défigurée depuis plus de vingt ans par la chienlit socialo-bobo-écolo, on pourrait paraphraser la chanson Les Loups de Reggiani, un chanteur que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître :
« Les hommes avaient perdu le goût/ De vivre, et se foutaient de tout/ Leurs mères, leurs frangins, leurs nanas/ Pour eux c’était qu’du cinéma/ Le ciel redevenait sauvage/ Le béton bouffait l’paysage, alors…/ Alors…/ Les camés, eh-eh, eh-eheh/ Les camés sont entrés dans Paris…/ Pas par Issy, pas par Ivry… »
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Le silence éloquent de Salah Abdeslam
Jean-Frédéric Poisson sur le procès des attentats du 13 novembre 2015.
Depuis le 8 septembre se tient le procès des attentats terroristes du 13 novembre 2015. Un événement douloureux pour les familles de victimes dont la douleur est cruellement ravivée. Si certains n’attendent rien de particulier de cet événement médiatique, d’autres au contraire souhaitent obtenir justice pour leurs disparus. D’autres encore déclarent qu’ils ne souhaitent pas de récupération politique autour de ce procès. Pourtant, et malgré tout le respect que nous devons à ces victimes, il n’est pas question d’éviter ce sujet. En effet, l’enjeu de cet événement va bien au-delà d’un simple procès. Il met en lumière la lutte qui s’est amorcée entre deux civilisations incompatibles. Une lutte dont beaucoup de Français semblent ne pas avoir conscience, sans doute par méconnaissance de nos adversaires.
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Marseille, symbole de la disparition du courage politique, par Gérard Durrmann.
OPINION. Cela n’aura trompé personne : la visite d’Emmanuel Macron à Marseille ressemblait davantage à une opération médiatique. Mais pour notre lecteur, créateur du blog La plume du citoyen, cette séquence a au moins eu le mérite de montrer que la principale chose qui manque à Marseille comme à d’autres villes est le courage politique.
Un président de la République en visite de 3 jours pour des actions normalement dévolues aux ministres de l’Intérieur, de la Justice et de l’Éducation nationale. Sans négliger l’entame d’une campagne électorale présidentielle en distribuant des millions d’euros puisés sur les impôts de l’ensemble des contribuables français. Personne n’aura été dupe de ce petit jeu !
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Crack à Paris : une gestion « emblématique » de la politique d’Anne Hidalgo ?
Près des Jardins d’Éole, dans les XVIIIe et XIXe arrondissements de Paris, la tension est à son comble. Exaspérés par un regroupement de centaines de toxicomanes depuis plusieurs mois, les riverains se mobilisent chaque semaine afin d’interpeller les pouvoirs publics.
Le 21 septembre, Anne Hidalgo, maire de Paris et candidate à la présidentielle, s’est rendue sur place. Une visite qui n’a pas apporté de réponses concrètes.
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Würzburg (All.) : 3 femmes tuées dans une attaque au couteau, l’auteur, Abdirahman, est un migrant somalien, le « motif islamiste » évoqué (MàJ : Il aurait menti sur son âge)
21/09/2021
En juin, le Somalien a attaqué le centre-ville de Würzburg avec un couteau volé, tuant trois femmes et blessant plusieurs personnes, dont certaines mortellement. De nouveaux détails sur le meurtrier au couteau ont été révélés : au lieu de 24 ans comme indiqué, le migrant, qui a été enregistré en Allemagne pour la première fois en 2015, aurait 32 ans.
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Zemmour sur la peine de mort : une rupture nécessaire avec l’idéologie dominante
Par Jean-Yves Le Gallou, président de la Fondation Polémia ♦ « Le débat sur la peine de mort est un débat d’avenir » écrivait Jean-Yves Le Gallou en 2006. Aujourd’hui, 15 ans plus tard, Éric Zemmour remet ce débat sur le devant de la scène politico-médiatique ! Pour bien saisir l’importance de ce débat et fournir des arguments clairs et concis à ceux qui douteraient de l’efficacité de la peine de mort, nous republions cet article paru il y a 15 ans dans nos colonnes.
PolémiaLa peine de mort frappe d’effroi par son caractère implacable et définitif. Son évocation prête aux emportements passionnels et émotionnels.
Et pourtant, ce sujet symbolique requiert d’être analysé, non à travers le prisme d’une sensiblerie déplacée mais à l’échelle des principes qui légitiment l’action politique et organisent la vie en société. Il mérite aussi d’être étudié d’un point de vue pratique, sans préjugés, au regard de l’observation froide des faits.
C’est l’objet de cette communication prononcée à la XXIIe université annuelle du Club de l’Horloge, le 30 septembre 2006, que Polémia met en ligne. -
Marseille : laboratoire ou poudrière ?, par Michel Corcelles.
Il y a loin de l’anisette de Pagnol à la kalach des quartiers nord. Lors d’une réunion d’élus il fut posé à une maire adjointe de Marseille la question de savoir si lors de la constitution des listes électorales municipales (dont on connaît la bigarrure ethnique) chaque parti choisissait parmi ses membres des candidats représentatifs des différentes communautés et susceptibles donc d’en obtenir le vote.
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Près de 9 Français sur 10 favorables à l’expulsion des étrangers condamnés, une fois leur peine purgée en France, selon un sondage
Un sondage CSA réalisé pour l’Institut pour la justice (IPJ) publié jeudi 16 septembre révèle que 88% des Français sont favorables à l’expulsion des étrangers condamnés, une fois leur peine purgée dans l’Hexagone.