Cinq ans et demi après l’assassinat du père Jacques Hamel, massacré à coups de couteau par les djihadistes Adel Kermiche et Abdel-Malik Petitjean alors qu’il célébrait la messe dans l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray le 26 juillet 2016, le procès des quatre complices présumés des assassins s’est ouvert lundi devant la cour d’assises spéciale de Paris. Un procès dont certains grands médias, en soulignant que les deux meurtriers ont été tués par la police à leur sortie de l’église, tendent à minimiser l’importance. A tort. D’abord, bien sûr, parce que les quatre accusés doivent être punis de la manière la plus sévère pour le rôle qu’ils ont joué dans cette affaire. Ensuite parce que les débats donneront peut-être l’occasion de faire un peu la lumière sur l’incroyable ratage du renseignement et de la justice qui a permis aux islamo-terroristes de passer à l’acte.
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Procès des assassins du père Hamel : raté du renseignement et de la justice
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Dans la bande à Macron : Aurélien Taché
Nous avions le député (désormais ex-LREM) M’Jid El Guerrab qui avait asséné deux violents coups de casque Boris Faure.
Une enquête a été ouverte après une bagarre à Niort à la suite de laquelle le député du Val-d’Oise, également ancien LREM, Aurélien Taché a été accusé d’avoir insulté des policiers. Le parquet de la ville a ouvert une enquête, tout en précisant que la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP) n’avait «pas déposé plainte».
Elu député en juin 2017 sous l’étiquette La République en Marche, Aurélien Taché a démissionné du parti d’Emmanuel Macron trois ans plus tard, avant de fonder le parti «Nouveaux démocrates» avec d’autres ex-marcheurs.
https://www.lesalonbeige.fr/dans-la-bande-a-macron-aurelien-tache/
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Une femme taxi de Tours sauvée d’un enlèvement à Blois (MàJ : Avec 19 mentions à son casier judiciaire, l’auteur était sorti de prison depuis six mois et était suivi par un juge de l’application des peines dans le cadre d’un sursis probatoire)
15/02/22
(…)
Déféré dans l’après-midi ce mardi 15 février 2022, l’homme a donc été mis en examen et placé en détention provisoire. “Pour l’ensemble des faits ayant été commis, il est en état de récidive légale. La peine encourue pour ces faits criminels est la réclusion criminelle à perpétuité, détaille le procureur. La poursuite de l’information judiciaire permettra de préciser les conditions exactes de commission de ces faits et la motivation réelle qui animait leur auteur. Des expertises, notamment psychiatrique, permettront également d’éclairer la personnalité du mis en examen.”
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À Nancy, des antifas perturbent la dédicace de Stella Kamnga
Les antifas, premiers acteurs de la censure ? Samedi 12 février était organisée une dédicace du livre de Stella Kamnga, La France n’est plus la France. Dialogue non coupable (Verbe Haut), à la librairie des Deux Cités. Cette librairie est « le penchant provincial de la Nouvelle Librairie », comme l’explique le gérant, Alexis Forget. Le directeur de Valeurs actuelles, Geoffroy Lejeune, devait initialement être aux côtés de la jeune femme d’origine camerounaise pour signer son livre Zemmour Président (Ring) ; suite à un imprévu, le journaliste a annulé sa venue. Un duo qui n’était pas de gauche. C’est sûrement ce qui a poussé les militants d’extrême gauche à polluer l’événement.
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Nord Béarn : Invité à un anniversaire, un Tunisien agresse sexuellement la fille de ses hôtes, puis commet des attouchements sur une autre fille, âgée de 8 ans. Il est condamné à 1 an ferme
Un Tunisien de 53 ans a été condamné à un an de prison ferme pour une agression sexuelle sur une fillette de 8 ans et une tentative d’attouchements sur une fille de 14 ans.Il était invité à la soirée d’anniversaire, ce 31 août 2020, dans un village du Nord Béarn. Il est jugé ce lundi pour une tentative d’agression sexuelle sur la fille de 14 ans de ses hôtes mais également des attouchements sur une fillette de 8 ans, alors que ses parents le ramenaient chez lui, à Pau.« Je crois que c’est impossible. Je n’ai rien fait, Madame le juge, je le jure. » Ce seront pratiquement les seules déclarations de Karim Zouaoui, 53 ans, à la barre du tribunal. Il conteste face à la parole des deux fillettes… -
Toulon : Habib, 48 ans, déjà connu de la police, appelle les pompiers et affirme qu’il veut “faire sauter le commissariat pour mourir en martyr”
Le suspect est déjà connu des services de police.
Un homme âgé de 48 ans a été interpellé et placé en garde à vue dans la nuit de dimanche à lundi à Toulon (Var). Il est accusé d’avoir contacté les sapeurs-pompiers pour prévenir qu’il voulait “faire sauter le commissariat de Toulon pour mourir en martyr”. Les secouristes ont reçu un premier appel, puis un second peu avant 23 heures durant lequel un homme a tenu les mêmes propos inquiétants.
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Les accidents du travail sont une calamité, pas une fatalité.
Le thème de l’insécurité sociale est trop largement sous-estimé dans le débat présidentiel actuel, et il faut le regretter : non que l’on n’en parle pas, mais il n’est abordé, principalement, que sous l’angle de la poussée inflationniste et de la perte de pouvoir d’achat des consommateurs et, de façon trop discrète, sous celui, moins prégnant dans la campagne, de la désindustrialisation dévastatrice et de la nécessaire réindustrialisation, souvent promise et jamais vraiment engagée…
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Victime d’une agression sexuelle de la part d’une figure du comité Adama, elle témoigne des pressions subies
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Nantes. Les fusillades ne prennent pas de vacances…
BI – Dans la nuit du 9 au 10 février vers 4h45 un locataire, rue de Valenciennes, au Pin Sec – juste au nord du quartier dit « sensible » de la Bottière – a appelé la police pour signaler des tirs sur la porte de son logement. Celle-ci a été criblée de balles, les policiers ont compté 24 impacts et plusieurs étuis de 9 mm.
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Suède: une chercheuse découvre par hasard que la plupart des viols sont commis par des immigrés, une enquête préliminaire ouverte contre elle (MàJ)
12/02/2022
Le gouvernement a-t-il l’intention de prendre des mesures pour évaluer la Loi sur l’examen déontologique? Mats Persson (L) avait posé cette question au ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche le 3 novembre 2021.
Il estime qu’il s’agit d’une question de liberté académique car les chercheurs à l’origine de l’article sur les violeurs ont “mené des études sur la base d’une autorisation valable mais risquent d’être punis à posteriori”. Les chercheurs ont également reçu le soutien d’un professeur et d’un responsable de Göteborgs-Posten.