insécurité - Page 378
-
Hommage à Mauranne et Laura assassinées par Ahmed Hanachi le 01/10/2017
-
Suède : plus de 200 explosions et 316 fusillades ont frappé le pays en 2020, la police impute cette violence à des « gangs criminels qui ont une culture complètement différente » (MàJ)
01/10/2021
Plus de 200 explosions et 360 fusillades ont frappé la Suède en 2020.
Les chefs de la police imputent la violence à des “gangs criminels qui ont une culture complètement différente” et à “un système de protection sociale généreux et une société tolérante qui peuvent être exploités par les réseaux criminels”.
L’année dernière, le pays a connu son plus haut niveau de meurtres et d’homicides involontaires depuis au moins 18 ans, avec 124 personnes tuées dans des attaques violentes. Quatre-vingt pour cent de ces crimes étaient liées à des gangs.
-
Son fils est mort au Bataclan – « Plus que dans la colère, je suis dans l’obligation d’agir et de participer à l’endiguement de cette idéologie mortifère »
Jean-Pierre Albertini a perdu son fils, Stéphane, alors âgé de 39 ans, assassiné au Bataclan, le 13 novembre 2015. En 2020, Jean-Pierre Albertini a écrit un livre, Mourir au Bataclan, livre qu’il a dédié à son petit-fils, fils de Stéphane.
-
Scoop du CER : les limites de l’intolérable sont atteintes.
Hier, mercredi 29 septembre, un jeune étudiant de l’Ecole d’ingénieurs aéronautique et spatiale de Paris (IPSA) a été poignardé devant son établissement et frappé d’une quinzaine de coups de couteau, sans motif apparent. Il a été rapidement hospitalisé mais son pronostic vital est aujourd’hui engagé.
-
Le mur de Pantin signe l’échec sécuritaire, par Ivan Rioufol
Un mur sépare, depuis vendredi, Paris du département de la Seine-Saint-Denis. La symbolique de cette coupure géographique et sociale, censée isoler des consommateurs de cracks, dit tout de l’impuissance de l’Etat à imposer une sécurité élémentaire. Certes, il ne s’agit pas, comme en Israël il y a vingt ans, de protéger la ville d’assauts venus de terroristes islamistes. Mais c’est bien une barrière de séparation, une clôture de sécurité, qui a été érigée en urgence par la préfecture de police de Paris.
-
La situation du Kosovo, un avenir possible de la France ? Jean-Frédéric Poisson répond « Oui »
De retour des Balkans, Jean-Frédéric Poisson compare la situation du Kosovo à certains quartiers français et dénonce la domination territoriale de l’islam conquérant.
-
Salles de shoot : si ce n’est pas là, ce sera juste à côté !, par Marie Delarue.
Pour décrire ce qui se passe dans Paris, notre belle capitale défigurée depuis plus de vingt ans par la chienlit socialo-bobo-écolo, on pourrait paraphraser la chanson Les Loups de Reggiani, un chanteur que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître :
« Les hommes avaient perdu le goût/ De vivre, et se foutaient de tout/ Leurs mères, leurs frangins, leurs nanas/ Pour eux c’était qu’du cinéma/ Le ciel redevenait sauvage/ Le béton bouffait l’paysage, alors…/ Alors…/ Les camés, eh-eh, eh-eheh/ Les camés sont entrés dans Paris…/ Pas par Issy, pas par Ivry… »
-
Le silence éloquent de Salah Abdeslam
Jean-Frédéric Poisson sur le procès des attentats du 13 novembre 2015.
Depuis le 8 septembre se tient le procès des attentats terroristes du 13 novembre 2015. Un événement douloureux pour les familles de victimes dont la douleur est cruellement ravivée. Si certains n’attendent rien de particulier de cet événement médiatique, d’autres au contraire souhaitent obtenir justice pour leurs disparus. D’autres encore déclarent qu’ils ne souhaitent pas de récupération politique autour de ce procès. Pourtant, et malgré tout le respect que nous devons à ces victimes, il n’est pas question d’éviter ce sujet. En effet, l’enjeu de cet événement va bien au-delà d’un simple procès. Il met en lumière la lutte qui s’est amorcée entre deux civilisations incompatibles. Une lutte dont beaucoup de Français semblent ne pas avoir conscience, sans doute par méconnaissance de nos adversaires.
-
Marseille, symbole de la disparition du courage politique, par Gérard Durrmann.
OPINION. Cela n’aura trompé personne : la visite d’Emmanuel Macron à Marseille ressemblait davantage à une opération médiatique. Mais pour notre lecteur, créateur du blog La plume du citoyen, cette séquence a au moins eu le mérite de montrer que la principale chose qui manque à Marseille comme à d’autres villes est le courage politique.
Un président de la République en visite de 3 jours pour des actions normalement dévolues aux ministres de l’Intérieur, de la Justice et de l’Éducation nationale. Sans négliger l’entame d’une campagne électorale présidentielle en distribuant des millions d’euros puisés sur les impôts de l’ensemble des contribuables français. Personne n’aura été dupe de ce petit jeu !
-
Crack à Paris : une gestion « emblématique » de la politique d’Anne Hidalgo ?
Près des Jardins d’Éole, dans les XVIIIe et XIXe arrondissements de Paris, la tension est à son comble. Exaspérés par un regroupement de centaines de toxicomanes depuis plusieurs mois, les riverains se mobilisent chaque semaine afin d’interpeller les pouvoirs publics.
Le 21 septembre, Anne Hidalgo, maire de Paris et candidate à la présidentielle, s’est rendue sur place. Une visite qui n’a pas apporté de réponses concrètes.