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L'armée russe libère en 24h deux localités en RPD et détruit quatre bateaux sans pilote
Les forces russes ont libéré les localités de Serebrianka et de Nikolaïevka en RPD, détruit du matériel occidental et amélioré leur position sur le front, rapporte la Défense russe dans son bilan quotidien de l'opération spéciale.Points clés du bilan de la Défense :Le groupement Nord a frappé deux brigades ennemies. Les pertes ukrainiennes s'élèvent à 100 militaires.Le groupement Ouest a amélioré sa position tactique, frappé sept brigades ukrainiennes et repoussé six contre-attaques. L'ennemi a perdu 510 soldats, deux obusiers M198 américains, ainsi qu'un canon automoteur Braveheart et un obusier L-119, tous deux britanniques. -
L’OTAN, les migrants dans l’UE et la guerre à venir en Moldavie
par Thierry Meyssan
Si nous avons souvent montré que l’UE n’est qu’une chambre d’enregistrement de l’OTAN, c’est pour la première fois une décision de la Cour de justice du Luxembourg qui l’illustre. Selon elle, l’UE ne peut pas renvoyer de migrants en attente d’une décision d’asile vers des pays tiers dont les frontières légales ne correspondent pas à leurs frontières réelles. Il s’ensuit que l’Italie ne peut pas transférer de migrants égyptiens et bengalis dans des centres de rétention en Albanie. Tout cela en prévision d’un exode massif de Moldaves pour justifier d’une guerre en Transnistrie.
Le 18 octobre, un tribunal italien a invalidé la possibilité de faire transiter par un pays tiers, douze migrants bengalis et égyptiens qui avaient été sauvés en mer et réclamaient le droit d’asile. Politiquement, cette décision semble mettre à bas l’échafaudage imaginé par Boris Johnson de délocalisation des migrants. Les Britanniques voulaient les envoyer à des milliers de kilomètres, au Rwanda, les Italiens se «contentaient» de les acheminer à quelques dizaines de kilomètres, en Albanie.
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Aux portes de la guerre finale
Carlos X. Blanco
L'Europe se trouve au bord d'une guerre dévastatrice. Les voies menant à une solution négociée se ferment, les principaux acteurs sont roués et des scénarios irréversibles sont évoqués.
La situation en Europe occidentale est particulièrement tragique : la quasi-totalité de sa population vit sous un dôme de granit, comme dans la célèbre grotte de Platon. Soumis aux « ombres » projetées sur eux par les stratèges de la guerre psychologique et de la propagande officielle, les Européens ignorent les projets qui se forgent au moins depuis cinq ans.
Quels projets ? Une augmentation du recrutement obligatoire est attendue dans tous les pays, ainsi qu’une augmentation significative des armes de toutes sortes. Il est très possible que des investissements soient réalisés dans des camps de prisonniers pour héberger des « ennemis » (Russes et russophiles) et que des changements législatifs soient introduits visant à censurer les informations sur la guerre et la réalité concernant la Fédération de Russie.
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Guerre d'Ukraine. Pourquoi l’OTAN l'a perdue et la Russie l'a gagnée
Le fait que l’OTAN ait perdu et que la Russie ait gagné la guerre en Ukraine est décrit au public pour la première fois le 21 octobre, énoncé par le grand analyste géostratégique Alexander Mercouris, qui avait toujours prédit correctement non seulement que cela se produirait, mais comment et pourquoi cela se produirait, et il a également expliqué pourquoi pratiquement tous les médias américains et alliés ont prédit exactement le contraire.
Son rapport du 21 octobre est que cette défaite de l’OTAN américaine et la victoire de la Russie sont désormais un fait établi dans tous les domaines, sauf dans les formalités de son annonce au monde. Il s’agit de son commentaire sur un reportage du 20 octobre du Telegraph britannique, intitulé « Épuisés et pleins de regrets – même les soldats les plus féroces de l’Ukraine sont confrontés à la perspective d’une défaite », et le commentaire de Mercouris sur ce reportage peut être entendu via sa vidéo de 29 minutes :
https://theduran.com/zaluzhny-signals-war-is-lost/
En gros, il dit que les formalités de cette annonce seront retardées jusqu’à l’investiture du prochain président américain, le 20 janvier prochain.
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L'armée de Kiev perd plus de 2.000 hommes et un canon français en 24 heures
L'armée russe a détruit un canon Caesar français, libéré la localité de Novosadovoïe en République populaire de Donetsk et renforcé ses positions sur la ligne de front, selon le dernier bilan quotidien de la Défense russe pour l'opération spéciale.Points clés du bilan quotidien de la Défense :Le groupement Nord a frappé deux brigades ennemies. Les pertes ukrainiennes s'élèvent à 80 militaires. Un entrepôt de munitions a été détruit. -
Quand Trump se paye une frite sur le dos de Kamala
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Allemagne. Rapport de l’Institut de Kiel sur la fabrication de matériel de guerre pour la guerre en Ukraine
Le mois dernier, le think-tank « le plus influent d’Allemagne » a publié un rapport révélateur sur les perspectives de réarmement de l’Europe par rapport à l’industrialisation militaire rapide de la Russie observée au cours des deux dernières années. Le rapport a été rédigé par le prestigieux Institut de Kiel, qui est décrit comme suit :
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Ukraine : les Russes avancent lentement mais sûrement
Le point précis sur la situation militaire, de notre spécialiste Francis Goumain :
Aussi nécessaire et attendue que fût la chute d’Ugledar, il n’y a pas eu derrière d’effet domino, pas de percée, pas de débâcle, peu de prisonniers (une cinquantaine). Comme toujours et partout depuis le début de cette guerre, les Ukrainiens se défendent pied à pied et il faut en finir avec les titres sensationnels du style « effondrement imminent du front », qu’on nous sert depuis le début de l’année.
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BRICS : la fin du monde occidental ? - JT du lundi 21 octobre 2024
Au programme ce soir, le 16ème forum des Brics. Organisée à Kazan en Russie, cette nouvelle réunion devrait sceller dans le marbre la fin d’un monde sous domination américaine.
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Voici comment les néoconservateurs ont subverti la stabilisation financière de la Russie au début des années 1990
En 1989, j’ai été conseiller auprès du premier gouvernement post-communiste de Pologne et j’ai contribué à élaborer une stratégie de stabilisation financière et de transformation économique. Mes recommandations de 1989 appelaient à un soutien financier occidental à grande échelle pour l’économie polonaise afin d’empêcher une inflation galopante, de permettre une monnaie polonaise convertible à un taux de change stable et une ouverture du commerce et des investissements avec les pays de la Communauté européenne (aujourd’hui l’Union européenne). Ces recommandations ont été prises en compte par le gouvernement américain, le G7 et le Fonds monétaire international.