
Certains me reprochent de faire le jeu des otaniens intégristes en m’étonnant que les Russes n’aient rien vu venir le 6 août. Je maintiens ce que je dis dans mon dernier article. Les services de renseignements ne pouvaient pas ignorer une telle concentration de troupes et de matériels lourds. Par conséquent, il est permis de s’étonner que le commandement ait ignoré la menace. Combien de soldats russes vont payer de leur vie cette défaillance ? On peut s’étonner aussi de la lenteur de la réaction. Oui, la critique est facile, mais on a le droit de s’interroger.






