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Les élections européennes donnent lieu à des débats de plus en plus hors sol. Comment parler ou plutôt s’insulter pour ne rien dire. Quand la planète entière sait que le gouvernement français fait déjà la guerre pour le plus grand profit du système militaro-industriel financiarisé des USA (et quelques retombées pour les français) en prétendant que c’est pour la souveraineté de l’UE qu’il installe la guerre contre la Russie au cœur du continent européen et qu’il lui sacrifie la souveraineté nucléaire française, pour qui le citoyen français est-il pris ?
Un char M1 Abrams de fabrication américaine détruit, saisi aux troupes ukrainiennes, exposé à Moscou, en Russie, le 1er mai 2024.
Les capacités des États-Unis à mener une guerre conventionnelle ont été érodées par des « guerres de guérilla sans fin », estime Stanislav Krapivnik. Si des troupes américaines sont déployées en Ukraine pour soutenir Kiev dans son conflit avec la Russie, elles finiraient par être « anéanties », a déclaré jeudi à RT l’ancien officier de l’armée américaine Stanislav Krapivnik.
L’armée américaine, dans son état actuel, n’est pas apte à affronter la Russie dans une guerre conventionnelle, a soutenu Krapivnik. Même à l’époque de la Guerre froide, l’ensemble de l’OTAN n’aurait pu que ralentir une éventuelle avancée du bloc soviétique plutôt que de lancer une attaque terrestre généralisée contre lui, a-t-il déclaré.
En ce 9 mai, il n’y a pas que des chars, blindés et véhicules des Forces armées russes qui s’exposent à Moscou. Il y a aussi quelques matériels occidentaux/OTAN : ceux capturés/détruits sur le champ de bataille ukrainien. L’exposition s’appelle « Les trophées de l’armée russe » : trente-deux véhicules blindés fournis par les Occidentaux à l’Ukraine et saisis sur le champ de bataille. Trente-deux prises de guerre, alignées en plein air, sur la vaste esplanade du « parc de la Victoire » à Moscou. Ouverte le 1er mai, l’exposition s’y tient jusqu’à la fin du mois. Et elle bat des records de fréquentation (plus que les obsèques de Navalny, en tout cas). La foule s’y presse, souvent en famille
Selon Stephen Bryen, qui a été directeur du personnel de la sous-commission pour le Proche-Orient de la commission sénatoriale des relations étrangères et sous-secrétaire adjoint à la défense pour la politique, l'OTAN commence à déployer des troupes de combat en Ukraine. Des soldats de Pologne, de France, du Royaume-Uni, de Finlande et d’autres membres de l’OTAN arrivent en plus grand nombre.
Même si la Russie affirme qu’il y a plus de 3.100 mercenaires en Ukraine, ces troupes nouvellement arrivées ne sont pas, selon Stephen Bryen, des mercenaires. Ces soldats sont en uniforme du pays d'origine. Ils sont pour la plupart concentrés dans la partie occidentale en Ukraine, même si, dans certains cas, ils sont proches des combats qui ont lieu dans l'est.
8 mai 2024 (18H00) – ll me faut revenir, peut-être un peu piteusement, – non, plutôt humblement et de bonne foi, – sur la journée du 7 mai, c’est-à-dire sur la conclusion publiée ce jour-là à partir des éléments recueillis le 6 mai. Je dis bien volontiers que je m’appuie pour ce faire essentiellement sur les excellentes chroniques de mes excellentissimes compagnons Christoforou et Mercouris, notamment leur rubrique spéciale (hier soir) « Russia’s final warning to Macron and Camerin » ; ce duo me donne, avec une constante justesse, les premières interprétations de diverses nouvelles que je serais bien incapables de suivre, et ainsi m’offrant le moyen de faire avancer mon analyse générale.
Dans ce cas très particulier, il se trouve qu’entre le 6 et le 7, tout a basculé d’une façon extrêmement révélatrice. Le 6 mai, on faisait le constat de diverses mesures, folles comme d’habitude, prises ou envisagées par les américanistes-occidentalistes. Le 7 mai, Christoforou-Mercouris ont détaillé ce qui est apparu comme une riposte extrêmement dure des Russes qui a provoqué chez leurs adversaires une panique à peine dissimulée.
Militant libéral impénitent, champion de la dérégulation dans son pays, le truculent président argentin Javier Milei, élu en en 2023, vient de recevoir les encouragements du milliardaire américain Elon Musk, le patron de Tesla, comme lui libéral en économie. « Je recommande d’investir en Argentine », a écrit Musk, sur X, après une rencontre, ce 6 mai, avec Milei.
La plupart des experts militaires mettent en garde contre un effondrement imminent de l’armée ukrainienne. Les Occidentaux espèrent que l’arrivée, le mois prochain, d’armes états-uniennes la rassérénera. C’est peu probable, car leur problème n’est pas un manque d’armes, mais le taux extrêmement élevé de pertes et l’absence de perspective.
Dans ces conditions, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a ouvert sur son site officiel une pétition pour demander à l’OTAN d’envoyer des soldats sur le champ de bataille.
Selon une enquête du Zeit Online, plusieurs milliers de liens vers des réunions vidéo discutant d’informations internes à la Bundeswehr, l’armée allemande, étaient accessibles sur Internet jusqu’à vendredi dernier. Beaucoup de sujets étaient pourtant classés confidentiels !
Dès que l’armée a été informée du problème, le bug a été corrigé dans les 24 heures.
Mais, pendant des mois, des intrus ont pu consulter des métadonnées comprenant les horaires, les noms des participants et les sujets des conférences de la Bundeswehr organisées à l’aide du système Cisco Webex.
Accusée de fascisme, voire de nazisme larvé, par les belles âmes de ce côté-ci de la Méditerranée, la Tunisie, économiquement mal en point, tente de résister aux vagues de migrants subsahariens qui déferlent sur Sfax et sa région. Incapables d’enrayer le flot, confrontées à une situation de plus en plus tendue entre les populations locales et les migrants, les autorités du pays envoient l’armée.
Interrogé par Sputnik Afrique, le reporter de guerre français Laurent Brayard ne croit pas en la possibilité d’envoyer des troupes françaises sur le sol ukrainien, comme cela a indiqué le Président français à des reprises.
Les soldats français "n'ont jamais connu de guerre d'une intensité comme on en connaît maintenant en Ukraine depuis 1945", a déclaré à Sputnik Afrique Laurent Brayard, reporter de guerre français, commentant la récente déclaration de Moscou.