Par Antoine de Lacoste
Après des années d’une guerre meurtrière et une victoire chèrement acquise, il n’a fallu que quelques jours aux islamistes précédemment vaincus pour balayer l’armée syrienne.
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Par Antoine de Lacoste
Après des années d’une guerre meurtrière et une victoire chèrement acquise, il n’a fallu que quelques jours aux islamistes précédemment vaincus pour balayer l’armée syrienne.
par Elena Fritz
La mer Baltique reste un point névralgique de tensions géopolitiques, où l’OTAN comme la Russie poursuivent leurs intérêts stratégiques.
par Modeste Dossou
Alors que la guerre se poursuit en Ukraine et que les forces russes font de grandes avancées à l’intérieur de l’Ukraine, le chef des renseignements extérieurs de Russie (SVR), Sergueï Narychkine, a indiqué que plusieurs partenaires des États-Unis en Asie, en Afrique et en Amérique latine demandent à la Russie de «ne pas s’arrêter à mi-chemin» en Ukraine.
Damas est tombée aux mains des islamistes et c’est cela dont se félicitent les Macron, Barrot, Von-der-Leyen et consorts… on peut se poser des questions sur leurs visions des choses. Certains noms des hommes forts du nouveau régime ne sont pas inconnus des cellules anti terroristes, en particulier pour leur implication dans les attentats du Bataclan. Détail qui n’a visiblement plus son importance, notamment parce que derrière cette victoire dont l’Occident s’attribue la paternité, il y a une défaite de la Russie. Les prisons ont été ouvertes immédiatement libérant des milliers de personnes dont on peut se demander si elles resteront en Syrie ou auront vocation à migrer ailleurs. La chose qui devrait alerter, interroger, c’est la facilité avec laquelle cette opération s’est déroulée. En 48 heures l’affaire a été réglée et à part se faire des gorges chaudes de cet éclair, très peu se demandent comment ce fut possible. Les analystes tablent sur une carence du renseignement russe qui n’aurait rien vu venir et n’aurait eu d’autre choix que de fuir dans la précipitation.
par Thomas Oysmüller
L’OTAN construit actuellement en Roumanie la plus grande base militaire d’Europe, près de la frontière avec l’Ukraine et non loin de la mer Noire. Cette base vise à transformer considérablement l’infrastructure de l’OTAN.
La Roumanie, flanc sud-est de l’OTAN avec un accès à la mer Noire, revêt une importance stratégique particulière pour l’Alliance. D’importants investissements ont été réalisés : la plus grande base de l’OTAN en Europe y est actuellement en construction. Avec un président qui s’écarterait d’un alignement inconditionnel avec l’Occident, ce projet pourrait être compromis.
La grandeur perdue de la France, conjurée le temps d’un week-end par la renaissance de Notre-Dame de Paris, fait apparaître Emmanuel Macron dans sa petitesse. Il faut certes reconnaître au chef de l’Etat d’avoir tenu sa promesse de faire reconstruire en cinq ans la cathédrale incendiée. Lui-même n’aura pas manqué de rappeler ses propres mérites, le 29 novembre puis le 7 décembre, en prenant la parole par deux fois au cœur du joyau gothique légué par le pieux Moyen-Age, avant que l’église blessée ne soit à nouveau consacrée dimanche.
Pas content le journaliste de BFM TV : Trump a osé toucher à son petit Macron !
par Elsa Boilly
Zelensky est confronté à l’exigence des États-Unis de réduire l’âge de la conscription à 18 ans. De nombreux Ukrainiens s’y opposent. Le parlement ukrainien a proposé un compromis, à savoir la conscription à partir de 20 ans.
Pendant près de trois ans, l’Ukraine refusait absolument d’appeler au service militaire les hommes dès 18 ans, contrairement à d’autres armées en temps de guerre. Ce choix a déconcerté les alliés occidentaux de Kiev, mais en Ukraine même cette question est très sensible.
Selon le Financial Times, le nombre de déserteurs des forces otano-kiéviennes enregistré sur les dix premiers mois de 2024 est supérieur au total des deux années 2022 et 2023. Certaines sources ukrainiennes évoquent le nombre de 170 000 désertions. Et le rythme s’accélère …