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international - Page 47

  • Emmenés par les militaires de Kiev en Ukraine, 33 civils russes sont enfin rentrés chez eux

    Soudja, région russe de Koursk - Sputnik Afrique, 1920, 03.03.2025

    "Ils sont sur leur terre natale", a annoncé ce 3 mars, sur Telegram la Commissaire russe aux droits de l'homme, Tatiana Moskalkova.

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  • Le patriotisme fiscal des socialistes ? Vous voler au nom de la guerre en Ukraine !

    Compte tenu de la pression fiscale exercée dans notre pays, qui est devenu une véritable violence fiscale d’Etat,

    Compte tenu des services rendus par rapport à la pression fiscale qui n’est plus en relation avec la qualité de nos services publics qui s’effondrent.

    Compte tenu de la médiocrité crasse de la classe politique actuelle qui ne sait qu’augmenter les impôts,

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  • L'arrêt de l'aide militaire américaine à l'Ukraine pourrait pousser Kiev vers le processus de paix

    Le char américain M1 Abrams sur le mont Poklonnaïa - Sputnik Afrique, 1920, 04.03.2025

    Le volume principal des livraisons militaires a été fourni par Washington, a rappelé ve 4 mars le porte-parole de la présidence russe. Retrouvez ci-dessous les autres points clés du discours de Dmitri Peskov.

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  • Les Européens après le passage à tabac de Washington : «ça fait tout drôle d’être à poil»

    par Régis de Castelnau

    Au-delà de la schadenfreude qu’il a procuré à ceux qui essaient de résister depuis trois ans à l’inepte propagande russophobe et aux conséquences de l’aveuglement des élites à la réalité du monde, le traquenard tendu à Zelensky dans le bureau ovale appelle quelques observations.

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  • Le choc Bayrou-Le Pen à l’Assemblée : constat de noyade du rêve mondialiste

    Capture écran Le Figaro sur YouTube
    Capture écran Le Figaro sur YouTube
    En quelques minutes, on a vu tomber l’épais manteau d’illusions dont s’étaient couverts nos eurobéats.

    Le Premier ministre François Bayrou a adressé, ce lundi après-midi, à une Assemblée nationale plutôt clairsemée, des mots révélateurs, des mots de rupture. En quelques minutes, on a vu tomber l’épais manteau d’illusions dont s’étaient couverts nos eurobéats, avant que Marine Le Pen ne rappelle utilement les bienfaits d’une nation qui s’assume. Scène centrale, qui restera sans doute dans les annales. Le président américain l’avait pourtant annoncé urbi et orbi : il forcerait les belligérants en Ukraine à signer la paix dans des délais record. Les Européens, toujours entre deux états gazeux, y voyaient un bluff, une parole en l’air. Les choix radicaux de Trump en faveur de ceux qui l’ont élu estomaquent toujours, en Europe, les politiciens qui ont pris l’habitude de trahir leurs électeurs, à peine élus. Les écailles tombent ainsi des yeux de François Bayrou tandis qu’il s’exprime au perchoir. Nous vivons la crise « la plus grave et la plus dangereuse que notre pays a connue depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale », constate avec raison le Premier ministre, sur le ton du « Que d’eau, que d’eau ! »

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  • L’Europe humiliée et déshonorée face à Trump et Poutine

    Nicolas Bonnal

    Il y a quelques mois Glenn Diesen parlait de cet occident qui vivait sans honte et sans humiliation. A ce jeu il ne reste que l’Europe : comme à l’époque nazie, mais toujours dirigée par des Allemands (Schwab, Leyen, BCE-Francfort, Scholz, en attendant Merz que Vance va essayer de briefer cette semaine), l’Europe se retrouve contre l’Amérique et la Russie, et dans une position matérielle et surtout morale toujours aussi inadmissible : elle est criminellement liée aux nazis de Kiev depuis son non-respect des accords de Minsk, et comme les nazis elle cherche à détruire ses propres populations avec une dictature bureaucratique abominable, des vers et des cafards dans les assiettes, une presse de propagande comme au temps de Goebbels (et ce dans tous les pays), des vaccins meurtriers obligatoires, un racisme à rebours pratiqué contre des populations blanches vieillies, avilies et avachies, et un pataquès de mesures wokistes qui évoquent les personnages nazis sexuellement détraqués des films de Luchino Visconti. Fermez le ban ou plutôt ne le fermez pas, car on n’est pas sortis de l’auberge.

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  • [ÉDITO] Sommet de Londres : des lapins pris dans les phares

    sommet londres
    Après l’entretien musclé dans le Bureau ovale entre Trump et Zelensky, les chefs d’État et de gouvernement européens ainsi que le Premier ministre canadien Trudeau, le Néerlandais Mark Rutte, secrétaire général de l’OTAN, et, bien évidemment, l’incontournable Ursula von der Leyen se sont tous retrouvés, toutes affaires cessantes, à Londres, en ce dimanche 2 mars, autour du président ukrainien. Ce dernier a même eu droit, en fin d’après-midi, à une réception par le roi Charles en son château de Sandringham. Après la dégelée chez le malappris à crinière jaune, une tasse de thé bien chaude dans de la belle porcelaine royale s’imposait. En vrac, pour rester dans l’esprit du moment, que retenir de ce sommet ?

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  • L’économie de guerre, puis la guerre : on y va tout droit, sauf sursaut des Français

    Si les Français ne veulent pas la guerre avec la Russie, leurs dirigeants la souhaitent, pour masquer leur échec dans tous les domaines. La Russie ne souhaite pas la guerre avec l’Europe. Elle entend récupérer les régions russophones de l’est de l’Ukraine. Elle n’a pas le désir ni les moyens de se lancer dans une opération de conquête du Vieux Continent. Après l’entrevue mouvementée entre Trump et Zelensky à la Maison-Blanche, la présidente du groupe Renew au Parlement européen, Valérie Hayer, appelle à une « économie de guerre » en surjouant du péril russe, avec « 250 milliards d’investissements annuels pour se réarmer et ne plus dépendre des États-Unis ». Le ministre de l’Économie Éric Lombard plaide également pour une économie de guerre. À la question de savoir si la situation était celle d’une «économie de guerre», il a répondu : « On n’y est pas mais il le faut. »

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  • Le show de la Maison Blanche

    You are currently viewing Le show de la Maison Blanche

    par Olivier Perceval

    Trump a humilié son vassal Zelensky en public dans un exercice télévisuel de pseudo-diplomatie où il essayait d’escroquer sa victime de 300 milliards (voire 500) sous forme de terres rares. Quand l’autre a regimbé, il a été tout simplement éconduit, non sans essuyer tous les reproches que peut produire l’arrogance états-unienne.

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