Yonathan Malet lance une application de commande et #livraison de repas à domicile pour aider les #restaurateurs. Misant sur le #local et la simplicité, Resto du Coin joue des coudes face aux géants du domaine, comme Uber Eats et #Deliveroo.
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Yonathan Malet lance une application de commande et #livraison de repas à domicile pour aider les #restaurateurs. Misant sur le #local et la simplicité, Resto du Coin joue des coudes face aux géants du domaine, comme Uber Eats et #Deliveroo.
Marion Maréchal, directrice de l’ISSEP, propose une réflexion sur le télétravail et ses conséquences sur nos relations sociales :
Nous sommes en train de vivre une mutation accélérée, pour ne pas dire forcée, de l’organisation sociale. Au prétexte de la crise sanitaire, et plus largement dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, les pouvoirs publics incitent très fortement, voire contraignent, à la généralisation du télétravail et du télé-enseignement. On nous promet des lendemains qui chantent : cette numérisation des rapports sociaux et professionnels permettrait de réduire l’impact carbone, de rendre le salarié plus autonome, de faire des économies, de réduire les inégalités, de redynamiser la « France périphérique ». L’enthousiasme paraît unanime.
Une note envoyée le 17 février par le ministre délégué à la Citoyenneté, demandant aux préfets d’intensifier les opérations facilitant l’intégration des « étrangers primo-arrivants » et de réfugiés, suscite depuis le 26 février de nombreuses réactions parmi ses adversaires politiques.
Les comptes de l’assurance-chômage accusent de façon vertigineuse le coup de la récession qui frappe le pays depuis le début de l’épidémie de Covid-19. Fin 2020, son déficit a plongé à – 17,4 milliards d’euros, selon les chiffres adoptés, mercredi 24 février, par le bureau de l’Unédic, l’association copilotée par les partenaires sociaux qui gèrent le dispositif.
À l’inverse du capitaine du Titanic et de son équipage qui ne disposaient, évidemment, d’aucun radar (inventé en 1935) et naviguaient tout simplement à vue, avec de bêtes jumelles comme seul instrument d’observation, le capitaine Macron, son second Castex, le lieutenant Borne et le quartier-maître Le Maire disposent, à bord du France, d’une nuée de capteurs à faire pâlir Neil Armstrong.
Le problème, c’est que l’adage bien connu « trop d’info tue l’info » ne souffre pas d’exception.
Et les capitaines Macron et Castex ne voient pas plus loin que le bout de leur navire, alors qu’ils ont le nez quasiment collé à l’iceberg Chômage, l’un des plus gros jamais croisés par notre pays dans toute son histoire moderne.
Selon Fleur Pellerin, ancienne ministre de la Culture, présidente et fondatrice du fonds Korelya, la politique européenne en matière de concurrence est trop stricte face à “d’autres régions du monde” beaucoup plus protectionnistes.
“Quand d’autres grandes régions du monde sont en réalité extrêmement protectionnistes, la politique de concurrence européenne qui rend très compliquées les fusions, les rapprochements, etc. est une politique qui nous a conduits à nous tirer une balle dans le pied“, a expliqué Fleur Pellerin.
Et l’ancienne ministre de la Culture d’illustrer ses propos: “Il y a une quinzaine d’années, l’Europe avait plus de 50% de parts de marché sur les équipementiers de télécoms. On avait Alcatel, Sagem, Nokia, Eriksson. Aujourd’hui, on a quasiment plus rien et c’est lié au fait que des rapprochements entre grandes entreprises n’ont pas été possibles“.
Selon elle, les règles européennes “qui finalement obligent à prendre certaines mesures pour favoriser la concurrence” ne sont pas adaptées alors que “d’autres régions du monde sont plus protectionnistes et beaucoup moins frileuses pour favoriser leurs propres acteurs économiques”, ce qui “cause un préjudice monstrueux aux Européens“.
Il était temps ! Les politiques s’emparent, enfin, du profond malaise de la jeunesse française. Ils ont, enfin, levé le nez des courbes d’admissions hospitalières, des études sur les variants, des rythmes de fabrication des vaccins, des sondages… et, enfin, commencent à s’alerter : 30 % de la population étudiante a des troubles dépressifs et anxieux quand, selon The Lancet, 37 % des 16-24 ans ont atteint un seuil critique d’inquiétude et de stress.
Laurent Izard, normalien, est agrégé de l’université en économie et gestion et diplômé en droit à l’Université de Paris I. Son premier livre, La France vendue à la découpe, fortement documenté, a suscité l’intérêt de beaucoup d’hommes politiques à droite comme à gauche, car il décrit un phénomène sans étiquette politique : l’appauvrissement de la France. »
Propos recueillis par G. de Tanoüarn
Laurent Izard, votre livre a intéressé toute la classe politique, de droite à gauche. Vous parlez de la France vendue à la découpe...
Vous savez, nous n’avons encore rien, vu. Depuis le début de l’année je parle et je développe une thématique centrale qui va être celle de la rigueur, de l’austérité et de la fin du « quoi qu’il en coûte ».
Pourquoi ?
Parce que finalement quand on y pense bien, les choses, dans la vie sont souvent simples, ou plus précisément on peut les simplifier.
Nous pouvons donc résumer notre situation de la manière suivante.
A/ Soit la crise sanitaire dure peu longtemps.
B/ Soit la crise sanitaire dure très longtemps.