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l'emploi - Page 19

  • Nouvelle-Zélande : le gouvernement (socialiste) veut réduire drastiquement l’immigration et s’appuyer davantage sur la main d’œuvre néo-zélandaise

    Le lundi 17 mai, le gouvernement travailliste (de gauche) néo-zélandais a annoncé qu’il resserrerait l’accès à ceux qui espèrent émigrer ou travailler dans le pays, en particulier ceux qu’il qualifie de travailleurs « peu qualifiés » et à bas salaires. Il a annoncé simultanément de nouvelles mesures pour attirer les investisseurs riches.

    « Lorsque nos frontières rouvriront, nous ne pourrons pas nous permettre de simplement ouvrir le robinet de l’immigration en utilisant les critères précédents », a déclaré le ministre du Tourisme, Stuart Nash, dans un discours lundi soir.

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  • L’Union Européenne souhaite ouvrir davantage de voies légales pour accueillir plus de travailleurs migrants

    • Des voies migratoires légales contribueraient à réduire les flux de migration irréguliers et saperaient les passeurs et les trafiquants
    • Il faut s’attaquer aux pénuries sur le marché du travail européen et à la population vieillissante
    • Créer un réservoir de talents européens pour mettre en correspondance les employeurs et les potentiels travailleurs

    Un cadre de l’Union pour la migration légale encouragerait une migration plus ordonnée, attirerait les travailleurs nécessaires, saperait les passeurs et favoriserait l’intégration.

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  • « Travail détaché » au sein de l’UE, l’autre nom de la traite et de l’esclavage.

    Les Britanniques avaient raison lorsqu’ils affirmaient que les « travailleurs détachés« , notion inventée par l’Union européenne, n’étaient que le camouflage d’une immigration qui ne dit pas son nom. Et en voici la preuve.

    Après dix années d’enquête, une affaire inédite de fraude sociale est sur le point d’être jugée. Elle met en cause une entreprise de travail temporaire espagnole, Terra Fecundis. Trois de ses dirigeants devaient comparaître, à partir de lundi 17 mai, devant la 6e chambre correctionnelle du tribunal de Marseille, pour travail dissimulé en bande organisée et marchandage de main-d’œuvre.

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  • Près de 55% des étrangers âgés de 26 à 35 ans signataires d’un contrat d’intégration n’ont jamais exercé d’activité professionnelle dans leur pays d’origine.

    La nouvelle liste des emplois ouverts aux étrangers non ressortissants des Etats membres de l’Union européenne est parue. Depuis deux ans, l’Etat fait de l’intégration professionnelle l’un des piliers du contrat d’intégration républicaine…

    L’hôtellerie, la santé et le BTP risquent de manquer de bras lors de la reprise , ont fait savoir les entreprises du secteur ces dernières semaines. Recruteront-elles de la main-d’oeuvre étrangère ? De nouvelles dispositions dans ce sens sont en oeuvre depuis le mois dernier.

    L’administration vient de réactualiser la liste des emplois ouverts aux étrangers non ressortissants des Etats membres de l’Union européenne….

    Depuis 2019, l’intégration professionnelle est l’un des trois piliers du CIR, ce contrat d’intégration républicaine passé entre l’Etat et les étrangers qui souhaitent s’installer en France.

    Dans cette optique, la DGEF mène actuellement un important chantier sur la reconnaissance des compétences professionnelles des étrangers, sachant que plus de 45 % des signataires du CIR, âgés de 26 ans à 35 ans, ont exercé une activité professionnelle dans leur pays d’origine….

    Les Echos

    https://www.fdesouche.com/2021/05/17/pres-de-55-des-etrangers-ages-de-26-a-35-ans-signataires-dun-contrat-dintegration-nont-jamais-exerce-dactivite-professionnelle-dans-leur-pays-dorigine/

  • Un bienfait du Covid : l’UE va devoir redéfinir sa stratégie industrielle.

    Mais les enjeux et les pressions du mondialisme cosmopolite sont tels que l’on reste sceptiques.

    Il y a un peu plus d’un an, le 10 mars 2020, la veille du jour où l’OMS devait qualifier l’épidémie de Covid-19 de pandémie, la Commission européenne avait présenté sa stratégie industrielle, qui était plus un programme de travail pour les années à venir qu’une série de mesures concrètes. En quelques mots, il s’agissait de poser les jalons d’une Europe prétendument plus souveraine sans braquer les Etats membres les plus attachés à leur tradition libérale. Quelques jours plus tard, l’Europe se confinait, les frontières se fermaient, tandis que Bruxelles assistait, impuissant, à l’arrêt brutal des échanges intracommunautaires. Le tout démontrant le caractère utopique de cette institution.

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  • Comment réindustrialiser, quand on fait tout pour faire fuir les investisseurs ?, par Olivier Piacentini.

    Rappelez-vous, c’était il y a un an : face à la pénurie de masques, de , de pièces détachées et même de principes actifs du paracétamol, Macron et le pouvoir reprenaient à leur compte l’émotion de la population et promettaient de tout faire pour retrouver une  industrielle. 

    Car les risques de pénurie ont démontré que les dégâts de la désindustrialisation, largement minimisés par les suppôts du mondialisme, allaient bien au-delà des pertes d’emplois : ils remettaient en cause la survie même de nos économies. Or, que voit-on, depuis ? Des usines Peugeot ont dû fermer pour cause de pénurie de semi-conducteurs importés d’Asie. Les risques de pénurie se multiplient à tous les niveaux. Les relocalisations sont restées lettre morte, au stade de l’incantation.

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  • Les vraies causes de la délocalisation

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    Dans sa chronique du Monde, en date du 12 avril, Philippe Escande éditorialiste économique du journal se trompe.[1] Ce n'est pas un "signal destructeur", comme il le qualifie, mais au contraire une alerte parfaitement nécessaire et, à de nombreux égards, éclairante, quoique désagréable, que Stellantis adresse, sans doute sans le vouloir, au public français et à l'opinion européenne.

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  • Pénurie de semi-conducteurs fabriqués en Asie : l’usine Peugeot de Rennes obligée d’arrêter la production

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    Cela fait des semaines que l’on parle de pénurie de semi-conducteurs, presque exclusivement fabriquée en . Et voilà que les conséquences commencent à se faire sentir concrètement, en France et en Europe.

    Après l’usine Peugeot de Sochaux, fermée depuis trois semaines, voilà que c’est l’usine de Rennes qui a du stopper sa production. A Sochaux, ce sont plus de 6.000 véhicules de modèle 308 qui n’ont pu sortir des chaînes de production, avec en aval des retards de livraison pour les clients. Quel sera le coût final de ce nouvel arrêt forcé pour la marque au lion ?

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  • Masques sur les plages mais frontières ouvertes avec le Brésil [Add.]

    Masques sur les plages mais frontières ouvertes avec le Brésil [Add.]

    Plutôt que de critiquer l’entêtement de Jair Bolsonaro qui, contrairement à Emmanuel Macron, ne peut pas se permettre d’augmenter indéfiniment la dette du Brésil, le gouvernement français devrait se rendre compte de l’absurdité de son entêtement idéologique à propos des frontières. Dernier exemple en date : le Brésil.

    Alors qu’une certaine unanimité scientifique estime que le variant brésilien pourrait entraîner une relance de l’épidémie, la France continue à accueillir par milliers les voyageurs en provenance du Brésil (au moins 1 000 par semaine). Alors qu’il était facultatif jusqu’au 11 avril, le test PCR négatif devient obligatoire avec une attestation sur l’honneur d’absence de symptômes alors que la plupart des pays mettent en quarantaine ou ferment leurs frontières avec le Brésil !

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