l'emploi - Page 21
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Communiqué de l'Action Sociale Corporative/Groupe d'Action Royaliste : après Bridgestone, Nokia... c'est Michelin !
Ne laissons pas crucifier les travailleurs français !!Après Bridgestone, Nokia... c'est Michelin qui, à son tour, s'apprête à supprimer 2.300 emplois en France, plus pour faire plaisir à ses actionnaires (majoritairement étrangers) que pour de bonnes raisons industrielles.Ainsi, la désindustrialisation de la France se poursuit et, même, s'accélère en ces temps de crise sanitaire : c'est un véritable scandale, et cela nous démontre aussi que la mondialisation n'est pas heureuse pour les ouvriers français, pas plus que pour les territoires abandonnés par ces grands groupes industriels plus intéressés par le profit de quelques uns que par le bien commun.Puisque la République s'avère incapable de réagir, il faudra bien se décider à poser la question des institutions politiques susceptibles de défendre les travailleurs français et d'imposer le bien commun aux multinationales vagabondes et prédatrices.Vite, une Monarchie royale et sociale, pour rompre avec les abus de la mondialisation et de la démesure spéculative !Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, l'emploi, social 0 commentaire -
chronique d'un manant : La micro-entreprise
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Riposter aux agissements chinois
La condamnation par un tribunal de Shanghai d'une ex-avocate de 37 ans à 4 ans de prison n'a pas vraiment bouleversé jusqu'ici les médias occidentaux. On peut le regretter. La courageuse Zhang Zhan, en effet, a été jugée coupable de "provocation aux troubles" pour avoir simplement relaté, en tant que "journaliste citoyenne", le confinement dans la bonne ville de Wuhan.
Elle a fait état en particulier de la pagaille dans les hôpitaux. Ceci ne surprendra que les gens qui ne connaissent pas la Chine : le totalitarisme politique communiste et la brutale répression policière n'y empêchent ni la négligence, ni l'incompétence, ni la saleté.
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Intérêts stratégiques : l'État met son veto au rachat de Photonis.
Le groupe américain Teledyne souhaitait acquérir la société française spécialisée dans les instruments de vision nocturne pour l'armée.
Le gouvernement a annoncé vendredi avoir bloqué l'offre de rachat de Photonis, une société spécialisée dans les instruments de vision nocturne pour l'armée, par le groupe américain Teledyne, au nom de la protection des intérêts stratégiques du pays. « L'État travaille avec des acteurs industriels et financiers français à une solution de reprise nationale permettant de préserver la souveraineté de Photonis, entreprise essentielle aux opérations militaires françaises », a expliqué la ministre des Armées, Florence Parly dans un communiqué.
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Philippe Murer : Projet Hercule, EDF en danger !
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Plus de 35.000 destructions de postes ont été annoncées depuis septembre en France
Selon les données compilées par Trendeo pour le journal « Le Monde », plus de 35 000 destructions de postes ont été annoncées depuis le mois de septembre en France, malgré les aides apportées par l’Etat. Les experts craignent une explosion des faillites en 2021 et s’accordent à dire que le pire est à venir.
(…) Fin novembre, la direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) décomptait 657 restructurations engagées, représentant 67 605 emplois depuis le 2 mars. Un chiffre bien supérieur à celui de 2019 (369 procédures pour 26 987 emplois sur cette période), mais en retrait par rapport à la crise de 2008-2009.
« Il y aura de la casse », Car si les défaillances d’entreprise n’ont pas encore explosé, c’est parce qu’elles sont toujours « sous perfusion », comme l’explique Me Nicolas Morelli, avocat associé du cabinet Bird & Bird, dont il a fondé le pôle « restructuring ».
(…) Le Monde
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BLACK FRIDAY : FAUT-IL BRÛLER AMAZON ?
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Blanche-Neige, Halluciné, Grincheux, Simplet
Tout a commencé le 24 novembre comme d’habitude, par une longue (vingt-sept minutes) exhibition de Blanche-Neige-Macron : une « adresse aux Français » comme il dit, encore à propos de la situation sanitaire et dans un décor quasi-virginal (photo publiée sur le site officiel de l’Elysée).
Tout a continué par diverses interventions des nains du gouvernement. Puis l’apothéose, un feu d’artifices (au sens propre), a été une conférence de presse par le chef du-dit gouvernement le 26 novembre (encore une heure quinze minutes). Ce qui démontre au moins qu’en ces temps de confinement, les spectacles du cirque ne sont pas totalement interrompus.
Vingt-sept minutes de Blance-Neige-Macron, et tout s’est déroulé comme à l’ordinaire :
- Il a parlé de stratégie, comme s’il s’agissait d’une guerre alors que ce n’est qu’une simple crise sanitaire, et alors que, de stratégie on n’en voit poindre nulle part depuis le début, mais un grand désordre ponctué de bouffées délirantes.
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Restauration et Covid-19 – Cauchemar en cuisine : Les filières d’excellence française « flinguées » par des mesures absurdes
Marseille, Perpignan, Nantes, Nîmes, Lyon, Toulouse ou encore Grenoble : ils ont été plusieurs milliers, dont une majorité écrasante de restaurateurs, à avoir répondu ces derniers jours aux appels à manifester lancés par l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie et autres organisations, pour crier leur colère et leur immense désespoir face aux nouvelles mesures imposées par le gouvernement en vue du prochain déconfinement. Des mesures le plus souvent sans queue ni tête, injustes, et dont l’absurdité pourrait prêter à sourire si elles ne risquaient pas, hélas, de couler (entre autres) ces deux filières d’excellence française que sont la restauration et le tourisme.
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La junte sanitaire à l’action pour les « petits commerces ». Assemblée nationale, le 17 novembre
Il faut savoir que le gouvernement Castex comporte un ministre délégué chargé des petites et moyennes entreprises, ayant lui-même une expérience d’entrepreneur. C’est formidable.
Il faut savoir que le 17 novembre était un mardi et donc jour de questions/réponses au gouvernement à l’Assemblée nationale.
Pour juger de l’audace et de la force avec lesquels la junte sanitaire traite le cas des commerces dits « petits », voilà la question posée par le député Mme Isabelle Valentin (LR) et la réponse de Monsieur le ministre :
Mme Isabelle Valentin. Monsieur le Premier ministre, lors de son discours du 28 octobre dernier, le Président Macron a dit : « Je ne crois pas à l’opposition entre santé et économie. »… Si vous ne réagissez pas rapidement, vous pourrez investir des millions d’euros dans des programmes de revitalisation et faire tous les grands discours que vous voulez sur la cohésion des territoires, quand vous aurez tué la plupart de nos commerces, vous aurez tué l’âme et la dynamique de tous nos territoires. Monsieur le Premier ministre, avez-vous décidé de rouvrir les commerces le 26 novembre ?