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lobby - Page 1848

  • La ville de Nancy ne sait pas comment dépenser son argent

    La ville de Nancy va prochainement s’équiper d’une maison LGBT. André Rossinot, ancien maire (UDI) de Nancy a initié le projet.

    Addendum 

    Pourtant la ville de Nancy avait une dette de 109 millions au 31 décembre 2013, et la communauté urbaine du grand Nancy de 667 millions, soit une dette supérieure à 3 500 € par habitant...ce qui doit placer Nancy dans le peloton des villes les plus endettées.

    Michel Janva

  • La ville de Nancy ne sait pas comment dépenser son argent

    La ville de Nancy va prochainement s’équiper d’une maison LGBT. André Rossinot, ancien maire (UDI) de Nancy a initié le projet.

    Addendum 

    Pourtant la ville de Nancy avait une dette de 109 millions au 31 décembre 2013, et la communauté urbaine du grand Nancy de 667 millions, soit une dette supérieure à 3 500 € par habitant...ce qui doit placer Nancy dans le peloton des villes les plus endettées.

    Michel Janva

  • La peine capitale : un non-sens dans un monde sécularisé

    Gérard Guyon, professeur émérite de l'Université de Bordeaux (droit, sciences politiques), historien des institutions et des idées politiques, ayant travailléprincipalement sur le rôle du christianisme dans les fondations de l'Europe, a publié un ouvrage politiquement très incorrect dont l'intitulé donne le ton :Plaidoyer pour une peine capitale. Le crime d'homicide est inscrit dans le coeur des hommes avant d'être le produit de la société, et la peine capitale a pour but de mettre en évidence le caractère exceptionnel du droit de punir. Elle révèle, en outre, la plénitude sacrée du pouvoir des juges et leur écrasante responsabilité dans la protection de la vie. Un discours inaudible aujourd'hui. Extrait :

    C"[C]ela signifie-t-il que la peine capitale serait dépourvue de sens hors de tout univers religieux ? La réponse ne peut qu'être positive. On le constate, la désacralisation de la mort est presque achevée. Ses conséquences sont observables dans la disparition de la peine capitale. La justice a perdu depuis déjà longtemps ses symboles religieux. Ses nouveaux bâtiments le montrent d'un seul coup d'oeil. Et une distorsion qui n'est pas simplement d'ordre technique est de plus en plus visible entre ce qui reste de majesté dans l'apparat des juges et leur appareillage juridique ; dans l'atmosphère qui règne dans les tribunaux, l'attitude des justiciables, le mensonge permanent, le parjure, l'impossible réception, au mieux la difficulté ou même le refus d'acquiescer aux verdicts ; dans la recherche de voies d'appel et de recours sans fin qui signent, mieux que tout le reste, l'incapacité de juger et d'imposer une peine. Le sacerdoce ne préside plus les audiences tout comme il tend à déserter le choeur des autels. Dans l'un comme dans l'autre, le sacrifice n'est plus de mise. On l'a volontairement fait disparaître. Comment pourrait-on continuer à croire que les fautes des hommes puissent être encore punies par des peines, alors qu'il n'y a plus de coupable ni de victime, plus de sacrifice et plus de sacrificateur ? Donc plus de peine, plus de mort. Plus de prix de la vie."

    Michel Janva

  • Le gouvernement lance la mobilisation pour tuer

    Le nombre de chômeurs explose, la dette du pays augmente, la criminalité n'a jamais été aussi importante... mais la seule préoccupation de ce gouvernement est l'avorter.

    L’accès à l’avortement se complique pendant l’été avec la fermeture de nombreuses structures pour les congés, au point que le gouvernement a lancé vendredi un appel à la «mobilisation». En cet anniversaire du début de la Grande guerre, cet instinct morbide est stupéfiant. Marisol Touraine a rappelé aux Agences régionales de santé (ARS) sa «détermination à ce qu’une permanence soit assurée dans chaque territoire» pour la pratique des avortements pendant l’été. Elle entend ainsi

    «lever les obstacles territoriaux qui peuvent encore se dresser contre l’égalité d’accès des femmes à ce droit fondamental».

    Planquez les femmes enceintes dans des tranchées, bientôt ils viendront les éventrer à la baïonnette.

    Michel Janva

  • Najat Belkacem et le triple mensonge de l’IVG

    Le Conseil constitutionnel a validé la suppression de la notion de « situation de détresse » pour avoir recours à l'avortement. Le Nouvel Observateur a demandé laréaction de Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits de la femme. Naturellement, elle s’en félicite, et en profite pour réitérer le triple mensonge, la triple imposture du droit à l’avortement, dans une seule phrase :

    « Je considère moi que pouvoir disposer librement de son corps est non seulement un droit mais est même le préalable à l'autonomie et à la liberté véritable des femmes. Ce texte permet de véritablement consacrer le droit à l'IVG. »

    Non, Madame Belkacem. Comme on le sait encore dans votre (autre) pays, avec l’avortement la femme ne dispose pas de son corps mais du corps et de la vie d’un autre, d’un tout petit être humain sans défense.

    Non, Madame Belkacem. Ce n’est pas une liberté véritable que de pouvoir légalement tuer un enfant, son propre enfant.

    Non, Madame Belkacem. On n’a pas le droit d’utiliser le mot « consacrer » quand il s’agit d’un meurtre, et rien ne peut consacrer un droit qui n’existe que dans une législation illicite, car on n’a jamais le droit de tuer des innocents, et de camoufler le meurtre sous le sigle mensonger IVG. Comme s’il s’agissait de seulement interrompre un processus que l’on pourrait reprendre...

    Tout à l’heure dans mon épicerie préférée j’entendais deux jeunes femmes qui se disaient l’une à l’autre qu’elles ne voulaient pas d’enfants. L’une parlait d’une de ses amies qui avait eu un enfant « par accident », et qui était tombée enceinte une nouvelle fois « par accident ». Eh bien « celui-là aussi elle l’a gardé ». Elle a gardé quoi ? sinon son enfant, et non pas une excroissance de son corps.

    Mais ce qui m’a choqué était l’insouciance du propos. Cette amie pouvait garder ou ne pas garder son enfant. L’une ou l’autre possibilité était envisagée avec le même sourire. Elle pouvait le garder ou le jeter. C’est moralement équivalent.

    Et l’on parle encore de civilisation…

    http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2014/08/01/najat-belkacem-et-le-triple-mensonge-de-l-ivg-5421283.html

  • La Ligue de Défense Juive bientôt dissoute par le ministère de l’Intérieur ?

    Le ministère de l’Intérieur étudie la possibilité de dissoudre la Ligue de défense juive (LDJ), milice communautaire, a annoncé Libération qui cite « une source policière haut placée » et révèle que « la DLPAJ (Direction des libertés publiques et des affaires juridiques du ministère de l’Intérieur) travaille à temps plein pour étudier la possibilité d’une interdiction de la LDJ« .

    « Nous procédons à l’analyse juridique la plus fine possible dans le respect du droit« , a-t-il été confirmé à l’AFP. La dissolution pourrait être prononcée malgré que la LDJ n’est pas une association légalement constituée, mais un groupement de fait.

    Même le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, avait jugé cette organisation « dans l’excès« , « dans des actes qui peuvent être répréhensibles et qui doivent être condamnés« .

    La LDJ s’inspire de la Jewish Defense League, qualifiée de « groupe terroriste » par le FBI en 2001 et arbore l’emblème (un poing brandi dans une étoile de David noire sur fond jaune) d’un parti nationaliste religieux interdit en Israël, le Kach. Certains de ses membres, comme ceux du Betar, autre milice communaitaire présente en France, sont formés au krav maga, un sport de combat d’origine israélienne.

    http://medias-presse.info/la-ligue-de-defense-juive-bientot-dissoute-par-le-ministere-de-linterieur/13715

  • Les idéologues du gender n'assument pas leur radicalisme

    Mathieu Bock-Côté est sociologue, chargé de cours à HEC Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal ainsi qu'à la radio de Radio-Canada. Dans une tribune publiée sur Figarovox, il dénonce le gender. Extrait :

    "Un autre combat se profile devant les tribunaux: celui visant à démonter l'obligation légale d'assigner aux enfants un sexe à leur enfant à la naissance. Elle est accusée de «transphobie». C'est aussi dans cet esprit, d'ailleurs, qu'on célèbre les innovations faisant la promotion d'une éducation non-genrée. L'école est évidemment un terrain de bataille, et cela depuis quelques années déjà. On se souviendra ainsi de ce manuel scolaire qui en 2009, offrait aux enfants du primaire trois manière de définir leur identité sexuelle: je suis 1) un garçon 2) une fille 3) je ne sais pas encore. Comment ne pas y voir une forme d'endoctrinement qui pousse, au nom de réalités marginales, à la déconstruction des repères humains les plus fondamentaux?

    Étrangement, les partisans de la théorie du genre n'assument jamais leur radicalisme et vont jusqu'à contester son existence. Ils présentent chacune de ces propositions comme autant d'ajustements inévitables et nécessaires du droit, de l'administration et de la pédagogie à une société plurielle entendant lutter contre toutes les discriminations. Il n'est pas interdit d'y voir une terrible hypocrisie. Chose certaine, on touche ici la question anthropologique. Quoi qu'en pensent les adeptes d'une réduction matérialiste de la vie politique, cette dernière ne saurait se réduire aux seuls enjeux économique. On s'imagine mal les hommes de bon sens consentir à la dissolution de la question anthropologique dans l'individualisme extrême camouflées dans la rhétorique des droits."

    Michel Janva

  • Trahison européiste: un avant-goût du TAFTA/TTIP

    Le TISA, vous connaissez? Pour en savoir plus, cliquez ici, et vous aurez une confirmation de l'irresponsabilité qui caractérise nos assemblées parlementaires, et en particulier ceux qui y représentent l'oligarchie.

    TAFTA/TTIP ne vous disent rien: retrouvez les notes de votre blog préféré ici,ici, et .

    Paula Corbulon

  • Le CSA, l’éradication des trisomiques et l’intérêt général

    Jean-Marie Le Méné réagit au communiqué du CSA :

    "Le CSA ne dit pas n’importe quoi, hélas on en vient presque à le regretter.

    Dans l’affaire qui l’a conduit à semoncer des chaines de TV pour avoir diffusé un spot de sensibilisation à la trisomie 21, le CSA considère qu’il s’agit d’un message qui n’est ni consensuel ni d’intérêt général. Le malheur, c’est que le CSA a en partie raison !Il a raison dans la mesure où l'élimination de masse des enfants trisomiques, fruit du dépistage programmé, budgété, systématisé et remboursé par la sécurité sociale, c’est cela qui est aujourd’hui présenté comme relevant de l’intérêt général. La trisomie, c’est l’histoire d’une maladie qui n’a jamais été mortelle mais que la technique et le marché ont rendu mortelle. Prodige de la modernité. Dès lors, un message de sensibilisation à la vie heureuse d’une personne atteinte de trisomie n’est effectivement pas consensuel.

    Au cas où nous n’aurions pas bien compris, le CSA précise qu’il s’agit de « ne pas troubler la conscience des femmes qui, dans le respect de la loi, ont fait des choix de vie personnelle différents ».Confusion d’anthologie oublieuse des leçons du passé, où la conscience morale ne s’en réfère qu’à la loi. Euphémisme d’anthologie où le « choix de vie personnelle » consiste à supprimer un enfant et conduit collectivement à l’éradication des personnes trisomiques.

    Le CSA ne dit pas n’importe quoi. Mais c’est plus grave. Il se tait devant l’eugénisme. Il refuse de poser une limite à cette folie inédite dans l’histoire qu’est l’extermination quasi complète – par compassion fallacieuse - d’une population stigmatisée par son génome. Non seulement les trisomiques n’ont plus le droit de vivre, mais on n’a même plus le droit d’en parler. A l’euthanasie fœtale, s’ajoute désormais une restriction de la liberté d’expression. Le chiffre d’affaire de l’exploitation des tests de dépistage de la trisomie 21, dont les laboratoires américains nous inondent, par pure philanthropie, s’élève à 10 milliards $ dans le monde. La France enregistre, avec 96 % de trisomiques avortés, le taux le plus élevé. Cette politique mortifère lui coûte la bagatelle de 250 millions € chaque année avant de lui coûter encore davantage quand l’assurance maladie achètera sous peu les nouveaux tests de dépistage non invasifs. Mais silence ! Le jour n’est pas loin où il faudra une imprimatur avant de tourner des images qui évoquent le bonheur de vivre des personnes handicapées dans des familles qui les aiment.

    Le CSA ne dit pas n’importe quoi. Il ment. Il tient pour acquis que cette traque des enfants trisomiques avant leur naissance est partagée par tous. Que l’on peut hypocritement afficher une solidarité nationale avec les personnes handicapées et tout mettre en œuvre pour qu’elles ne naissent pas. Il feint d’ignorer que de plus en plus de femmes en ont assez de cette focalisation compulsive sur leur grossesse, de ce harcèlement, de ces pressions, de cette offre de dépistage qui, pour créer la demande, déshumanise l’enfant qu’elles portent et les somme de poser un choix inhumain : supprimer cet enfant ou encourir le reproche de l’avoir gardé. Il fait comme si les familles n’étaient pas capables d’aimer leurs enfants différents. Il traite celles qui ont donné la vie ou adopté un enfant handicapé comme si elles n’existaient pas, ne comptaient pour rien et n’avaient pas reçu un coup de poing dans le ventre avec cette mise au ban de la société.Il faut quand même savoir que les fameuses plaintes brandies par le CSA pour fonder son avis se comptent sur les doigts d’une seule main … La honte ! Deux ou trois plaintes valent donc une vidéo qui a été vue plus de 5,5 millions de fois avec une émotion incroyable, qui a été primée à Cannes, diffusée à l’ONU, soutenue et encouragée par des responsables politiques… à l’étranger ?

    Je pose solennellement la question : qui, aujourd’hui, envoie un message positif, d’accueil, de bienvenue, aux enfants trisomiques ? Qui en est capable, qui en a l’envie, qui en a le courage ? Qui fait quelque chose pour leur rendre justice, pour mettre la recherche et la médecine de leur côté, pour qu’ils retrouvent un jour les pleines capacités cognitives dont ils sont privés à cause de leur chromosome en plus ? Qui reçoit ces patients et les familles en consultation, les écoute et leur délivre autre chose qu’une prophétie de malheur ? Oui, nous sommes fiers la Fondation Jérôme Lejeune, le Collectif des Amis d’Eléonore et CoorDown et d’autres associations européennes, d’avoir obtenu - et avec quel succès - qu'une fois, une fois seulement, et publiquement, soit évoqué le bonheur auquel ont droit les personnes trisomiques et de leurs familles. Le clergé du CSA peut nous mettre à l’index, tout ce qu’il pourra nous retirer n’éteindra jamais la mèche d’espoir désormais allumée et qui parcourt le monde."

    Michel Janva

  • CEDH: Le mariage homo n'est pas un droit... de l'homme

    Alors là, cela m'en bouche un coin ! Saisi du cas d'un homme finlandais devenu femme  qui voulait épouser... sa femme, ce que la justice de son pays lui refusait, la Cour Européenne des Droits de l'Homme (CEDH) vient de rendre dans ce jugement une décision étonnante, une triple décision même, décision s'appliquant à l'ensemble des pays européens: 

    - Le mariage homosexuel ne peut être revendiqué comme un droit de de l'homme, 

    - Qu'une simple union civile pouvait faire office de mariage pour un couple de même sexe, 

    - Que le droit européen des droits de l’homme n’exige pas des Etats membres qu’ils « ouvrent l’accès au mariage aux couples de même sexe »,

    La CEDH a aussi confirmé que la protection du mariage traditionnel était un intérêt légitime à protéger, acceptant par là que les relations entre les personnes de même sexe ne sont pas identiques au mariage homme-femme, et peuvent dès lors être l’objet de différences de traitement en droit. 

    Encore plus fort, dans son jugement, la CEDH reconnaît que « l’homme et la femme ont le droit de se marier et de fonder une famille » ce qui de fait attribue aux couples hétérosexuels des droits que ne peuvent automatiquement revendiquer les homosexuels! Et ce tant qu'il n'y aura pas un consensus européen sur le sujet puisque seulement dix Etats membres du traité ont légalisé le mariage homosexuel. 

    Avec ce jugement, la CEDH, Cour Européenne des Droits de l'Homme, envoie un message clair à l'ensemble des militants de la cause du monde entier: le mariage homo n'est pas un droit de l'homme ! 

    Pour mémoire, la Cour Constitutionnelle italienne a déclaré le mois dernier que les unions civiles suffisaient à protéger les intérêts des couples de même sexe et la Cour Suprême des Etats Unis avait déjà refusé l'an dernier de déclarer que le mariage entre deux personnes de même sexe était un droit constitutionnel ou un droit international. 

    On attend avec impatience les réactions de mam' Taubira et de Belkacem ainsi que de tous ceux qui lors de la bataille pour le mariage zinzin défendait l'idée même que le droit au mariage entre couple de même sexe était un droit... de l homme et un droit universel, "une question de civilisation" ! 

    Et tout de même cette question: Si ce jugement avait été rendu il y a un peu plus d'un an, la France aurait-elle cédé aussi facilement à la tentation progressiste de légaliser ce que la CEDH reconnait aujourd'hui ne pas être un Droit de l'Homme ... 

    Et prenons les paris, on trouvera bien quelques militants du mariage zinzin pour accuser la CEDH d'homophobie...

    source

     

    http://www.oragesdacier.info/