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  • Ukraine : Bernard Henri Lévy présente “modestement” sa pièce de théâtre

    Le 7 août 2014, Bernard-Henri Lévy était invité sur la chaîne ukrainienne “Chanel 1″. Dans un entretien de 20 minutes, le philosophe était interrogé sur sa rencontre avec Petro Porochenko le 7 août, ainsi que sur sa pièce “Hôtel Europe” et sa lecture à l’Opéra National d’Odessa le 8 août 2014.

  • Obama et la guerre contre la race blanche en Amérique

    Un représentant (député) américain a fait scandale en Amérique en affirmant qu’en ouvrant les frontières australes et en laissant rentrer la moitié de l’Amérique centrale au Texas, Obama et les démocrates menaient une guerre contre les Blancs.   

    Un représentant (député) américain a fait scandale en Amérique en affirmant qu’en ouvrant les frontières australes et en laissant rentrer la moitié de l’Amérique centrale au Texas, Obama et les démocrates menaient une guerre contre les Blancs. Les minorités votent outrageusement pour les démocrates là-bas. Le représentant en question a ajouté que le pouvoir ignore même que les différentes communautés, la blanche comme la noire ou l’indienne, voulaient que l’on fermât les frontières et que l’on ne fît pas entrer tout le monde au pays du rêve américain.

    Mais le rêve américain sous Obama, comme le rêve français de notre élite, c’est justement de faire rentrer tour le monde. Remarquez que l’on peut aussi sortir si la situation devient trop euphorisante. Car les mêmes qui veulent la guerre contre la Russie désirent l’ouverture de toutes les frontières pour favoriser le Grand Remplacement. Ils savent au moins ce qu’ils veulent.

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  • L’Irak, les Américains, la France, et le double langage

    Que remarque-t-on ? Que ce soit au Kosovo, en Afghanistan (où ils ont promu Al Qaïda avant de le pourchasser), ou en Syrie, partout les Américains instrumentalisent l’Islam au gré de leurs besoins. Alors que sous la présidence de Jacques Chirac la France savait encore manifester une certaine indépendance vis-à-vis des Américains, depuis la présidence de Nicolas Sarkozy, elle s’est complètement assujettie.

    Les USA séparés par les océans des zones de conflit qu’ils suscitent savent qu’en agitant l’Islam ils atteignent l’Europe, la Russie et même la Chine en prise avec les ouïghours. De quoi réduire à néants, espèrent-ils, les velléités d’indépendance financière des pays qui en ont assez de cracher au bassinet pour soutenir le dollar et l’économie américains. La pression permanente au Moyen-Orient musèle et asservie l’Europe;  envahie d’immigrés du monde musulman, celle-ci est tenue éloignée d’une alliance avec la Russie, dont le berceau naturel est l’Europe… La politique du chaos est la bouée de sauvetage dont se servent sans modération les USA pour sauver leur économie qui aurait dû sombrer depuis longtemps. 

    Un langage musclé..

    Sur ce sujet le député UMP et soutien inconditionnel de Nicolas Sarkozy, Claude Goasguen, vient de donner une Interview à BFMTV qui est intéressante à double titre, d’une part pour certaines vérités, d’autre part, au titre du double langage qui est la rhétorique habituelle de nos élites politiques: un langage pour la politique extérieure et un langage différent pour la politique intérieure.

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  • Il n'y a plus de bon père de famille en France

    Et donc plus de bonne mère de famille... Ainsi en a voulu la loi sur le refus de la différence, l'égalité des hommes et des femmes, cette pseudo valeur républicaine qui nie la réalité voulue et construite par Dieu.

    Pauvre France de pauvres hères...

    Le Salon Beige

  • Les déportés du libre échange

    Le 1er janvier 1994, entrait en vigueur la signature de l’Accord de Libre Échange Nord-Américain (ALENA), entre les États-Unis, le Canada et le Mexique, promettant un développement sans précédent des échanges commerciaux entre les trois pays, par l’accroissement du volume des exportations, dont les bénéfices allaient irriguer toute l’économie mexicaine.

    Seize ans plus tard, le constat est amer. L’ALENA, promesse d’un «bien-être général», a littéralement laminé l’agriculture mexicaine, et notamment les petits paysans (21% de la population active).

    Au nom du «libre-échange», le Mexique a progressivement démantelé le système qui avait pourtant permis son autosuffisance alimentaire pendant des décennies, à savoir des prix garantis aux producteurs locaux et un contrôle des prix pratiqués dans les villes (soutien à la consommation).

    Dans le même temps, le pays s’est retrouvé inondé de maïs américain (transgénique) vendu trois fois moins cher que le maïs «criollo» (local), en raison des subventions accordées par Washington aux producteurs américains.

    Incapables de résister à cette concurrence que d’aucuns dénoncent comme un dumping déloyal, trois millions de petits paysans ont dû cesser leur activité et rejoindre les bidonvilles mexicains ou tenter leur chance comme travailleurs clandestins aux États-Unis, tandis que progressent les taux de malnutrition (mais aussi d’obésité) et de pauvreté dans tout le pays.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • « Une réalité que nous payons très cher »

    Quand le FN parle de Système UMPS il ne s’agit pas d’une simple figure de rhétorique. Les Français le constatent encore à l’occasion des élections sénatoriales, alors que les déclarations des fraternelles humanistes, des politiciens de tous bords se multiplient pour exhorter les conseillers municipaux et les maires des petites communes à ne pas permettre l’élection d’un sénateur FN. Ce scrutin, qui se déroulera le 28 septembre, n’est pas favorable au FN mais «les meilleures chances des listes Bleu Marine pour nos villes et nos villages se situent dans le Var, les Bouches-du-Rhône avec Stéphane Ravier et le Vaucluse» rappelait  Michel Guiniot,  le directeur de la campagne du FN pour les sénatoriales, hier sur le site du JDD. Et ce journal de citer avec raison David Rachline, maire de Fréjus, comme un des mieux placés pour entrer au Sénat. Le jeune édile frontiste, indiquait  Var Matin il y a quelques jours, croit en ses chances car « la plupart des élus savent que l’UMP n’est pas une force d’opposition pour combattre le PS, la véritable opposition étant constituée par le FN ». «  Le Sénat est trop coûteux et pas nécessaire. Mais tant qu’il existe, il est indispensable que le FN y soit représenté. C’est une question de simple démocratie ». Démocratie qui n’est pas du goût notamment  du sénateur maire de Toulon, Hubert Falco, qui conduit la liste UMP. « La logique républicaine varoise, c’est trois sénateurs UMP et un sénateur PS » a-t-il persiflé,  rapporte  le JDD.

     Pour autant nous pouvons peut être nous réjouir de la large identité de vue de la classe politique sur la nécessité de soutenir les Irakiens, et plus spécifiquement les minoritésKurdes, Chrétiennes et Yézidis menacées par l’offensive des milices de l‘Etat islamique (EI). Alors que l’aviation américaine intervient pour freiner  la progression des  colonnes de djihadistes menaçant notamment  leur consulat situé à Erbil, capitale du kurdistan irakien, une aide humanitaire a déjà été consentie par notre pays  et sont évoquées également deslivraisons d’armes. Marine Le Pen avait réclamé de son côté  « une aide logistique et un soutien dans le domaine du renseignement », précisant que la lutte contre l’abjection terroriste « ne peut et ne doit se limiter à des discours et des déclarations d’intention ».

     Il convient aussi de  noter que le voudrait-elle, la France serait bien incapable d’intervenir  militairement en Irak, même a minima et de manière autre que symbolique, au vu de nos engagements opérationnels actuels en Afrique, mais surtout de l’état général de notre outil militaire.

     Bruno Gollnisch le rappelait déjà en 2003,  « notre pays consacre une part dérisoire du budget national à la défense. C’est à l’échelle d’une nation une imprudence comparable à celle d’un particulier qui ne consacrerait aucun budget ni à sa sécurité, ni à ses assurances.La défense est toujours trop chère lorsqu’on est dans une situation de paix ; en situation de crise, c’est évidemment un autre problème… ».

     Les coupes sombres opérées dans le budget de notre défense, la paupérisation de nos armées qui s’est accélérée de manière dramatique sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, ont été  poursuivies sous celui du tout aussi atlantiste  François Hollande.

     En ce sens les jérémiades d’un ex ministre de la Défense du même tonneau comme le centriste Hervé Morin, ou de l’actuel maire de Bordeaux et ex ministre des Affaires étrangèresAlain Juppé dénonçant sur son blog  le « génocide » des Chrétiens et « l’effacement honteux  de la France et de l’Europe sur la scène internationale » seraient risibles si la situation n’était pas aussi grave. Et que dire de la déclaration de Laurent Fabius, en déplacement ces dernières heures à Erbil ?

     Certes, après avoir rencontré  à Bagdad son homologue Hussein Chahristani,  le ministre des Affaires étrangères était dans son rôle quand il a dénoncé le « califat de la haine» établi par les djihadistes sur une partie du sol irakien et syrien et en soulignant que les combattants irakiens qui les affrontent ne menaient «pas simplement un combat pour eux-mêmes», mais «un combat pour les libertés qui nous concerne tous». Pour autant,  comment le croire quand il affirme dans le même temps que « la France ne laisse jamais tomber ses amis» !

     Exemple récent,  Bachar el Assad invité d’honneur de Nicolas Sarkozy lors des cérémonies du 14 juillet 2008, n’est certainement pas du même avis que M. Fabius,  lui dont le pays est justement toujours la proie du fanatisme islamo-terroriste encouragé, financé et largement suscité par les apprentis sorciers de l’axe atlantiste  Washington-Londres-Paris-Ankara et leurs alliés du Golfe.

     Le 29 juillet dans le long discours qu’il a prononcé à l’occasion de sa réélection, le président syrien ne s’est pas contenté de fustiger la traitrise du « frère » Recep Tayyip Erdogan. Le Premier ministre turc islamo-conservateur a d’ailleurs  été confortablement élu président ce  dimanche. Et ce dès le premier tour d’un scrutin disputé pour la première fois au suffrage universel direct, malgré les scandales financiers, les critiques sur la « dérive autoritaire » du régime.

     Bachar el Assad a logiquement remercié «  l‘Iran, la Chine, la Russie », « ces pays qui ont respecté les décisions du peuple syrien tout au long de trois longues années et ont justement défendu toutes les conventions de la Charte des Nations Unies  relatives au respect de la souveraineté des États et à la non-ingérence dans leurs affaires intérieures ».

     Mais il a surtout dénoncé l’aveuglement des occidentaux face à l’extrémisme islamiste et l’incapacité, même des chancelleries de la vieille Europe, à appréhender la nature de la résistance syrienne. «Celui qui cherche à prévoir le comportement et les réactions d’un peuple de vieille tradition, devrait disposer d’une  même profondeur historique et civilisationnelle pour comprendre où résident sa solidité et sa résistance, qualités qui  se manifestent clairement lors des grandes crises et à la faveur d’étapes historiques décisives  (…) » .

     Bref a-t-il affirmé, « un pays ne se définit pas uniquement par sa surface, sa démographie, ses finances ou son pétrole. Un pays est d’abord une civilisation, une culture, et un peuple conscient de son rôle historique  de sa  souveraineté, et de la nécessité de relever les défis du présent pour construire l’avenir ».

     Bachar el Assad, comme l’opposition nationale en France et  les analystes les plus lucides l’avaient annoncé, a également rappelé que l’«invasion de l’Irak»  (par l’armée américaine et ses supplétifs en 2003, NDLR), «(fut) le point de départ du sacre du confessionnalisme et de la partition. Nous étions réellement inquiets d’une telle évolution dangereuse et, à notre avis, inéluctable. C’est désormais une réalité que nous payons très cher ».

     Difficile de lui donner tort sur ce point.

    http://gollnisch.com/2014/08/11/realite-payons-tres-cher/

  • De la France enchaînée vers la France libérée

    Barack Obama a déclaré hier que  l’aviation américaine larguerait des vivres aux membres de la communauté religieuse yézidi,«apostats» réfugiés dans les montagnes irakiennes pour échapper aux couteaux des  fous d’allah, mais aussi pilonnerait les colonnes de djihadistes de l’Etat Islamique (EI) en route vers Erbil pour y chasser Kurdes et Chrétiens. Une manière pour le président américain d’avouer qu’il est dépassé par la sauvagerie sanglante du Frankenstein islamiste que Washington ne contrôle plus ( ?), que l’Oncle Sam a activement contribué à modeler en Irak par sa politique…Etats-Unis auxquels Paris et Bruxelles restent soumis, aux dépends de leurs intérêts. Si l’on voulait avoir de nouvelles preuves de l’état d’affaissement de notre pays sous la conduite de l’UMPS, deux événements très dissemblables ces derniers jours en sont d’ailleurs la triste illustration.

     Les mesures de rétorsions prises par l’UE et les Etats-Unis (pour une durée de trois mois) vis-à-vis de la Russie pour lui faire payer sa gestion de la crise ukrainienne  se sont soldées assez logiquement par un embargo en retour décrété par Moscou sur les produits européens et américains. En cette période de crise,  les agriculteurs français notamment  paieront aux prix fort cette volonté de complaire au maitre américain, a fortiori  si lesdites mesures sont étendues dans le temps.

     L’Europe de Bruxelles, création largement  américaine ou de ses agents d’influence  pour justement empêcher les Européens de défendre  leurs intérêts propres, montre une nouvelle fois sa pusillanimité atlantiste et sa nocivité.

     A travers la Russie, la France est aussi attaquée indirectement par Washington  puisque les Américains (comme Berlin)  pressent aussi  Paris de ne pas livrer le second bateau de guerre commandé par les Russes à nos arsenaux, alors même que Moscou est un client déjà très important. Mais il est vrai que le complexe militaro-industriel yankee rêve de voir la France  en finir avec sa performante industrie d’armement qui lui taille (encore) des croupières sur le marché  mondial.

     Dans un autre domaine, à Epinay-sur-Seine (Seine Saint-Denis),  une  famille africaine, sans moyen de locomotion n’a pas pu trouver dimanche un taxi pour emmener leur fils Zacharie à l’hôpital, car les chauffeurs de taxi refusent de se déplacer dans leur quartier dit  « sensible » où les racailles font la loi. Emmené finalement aux urgences tardivement, le garçonnet de dix ans est décédé. Peu importe que  les médecins auraient détecté lors de l’autopsie une grave maladie cardiaque à l’enfant et estimé qu’il n’aurait pas pu être sauvé. C’est un nombre sans cesse croissant d’habitants des quartiers pluriels qui sont aujourd’hui prisonniers de la loi des bandes, victimes aussi de la lâcheté de l’Etat qui recule, détourne les yeux, et consent sans le dire à l’extension sur notre sol  des zones de non droit.

     Une tiers-mondiation, une ghettoïsation qui est le fruit du laxisme  et d’une immigration massive défendue par la gauche et la droite au pouvoir qui  génère mécaniquement l’échec de l’assimilation et  son corollaire : une haine de beaucoup de « jeunes » vis-à-vis des symboles de l’Etat français.  Haine  qui n’est pas réductible comme veulent  s’en persuader les hypocrites ou les sots  à un urbanisme déshumanisé et au chômage. Comme le constate Xavier Raufer,  le  taux de pauvreté monétaire, c’est-à-dire de gens qui n’ont pas d’argent est de 19,5% dans la Creuse et de 18% en Seine-Saint-Denis ; les deux tiers des immeubles dégradés en France se trouvent dans la Creuse. Dégradations qui elles, ne sont pas le fait des saccages commis par leurs habitants.

     « Les pauvres sont-ils en Seine-Saint-Denis ? Non. La vraie misère est dans le Cantal et dans la Creuse !». Mais dans la Creuse et le Cantal,  les policiers, les pompiers, le samu, les taxis, les agents de l’EDF ne sont pas caillassés, victimes d’embuscade et traités de « sales Français »…

     Dans ces conditions est-il vraiment étonnant que les regards de nos compatriotes se tournent vers le Front National ? Il existe un moyen assez simple constate Bruno Gollnisch, de jauger de la progression des sympathies des Français vis-à-vis du programme défendu par l’opposition nationale. Il suffit d’écouter la multiplication des mâles déclarations des dirigeants de l’UMP…qu’ils ne mettent jamais en pratique lorsqu’ils sont au pouvoir.

     Un habitué du genre, le député filloniste et président du Conseil général des Alpes-Maritimes,  Eric Ciotti,  déclarait ces derniers jours sur RTL qu’«il faut aujourd’hui limiter les capacités d’attractivité de notre pays, notamment au plan social. Cela passe peut-être par des réformes constitutionnelles, il n’est pas logique que des étrangers aient les mêmes prestations sociales que les nationaux.».

    Autre cas d’espèce, le député UMP de la Drôme, Hervé Mariton, l’homme qui confessait il ya peu sa gêne de défiler contre le mariage homosexuel dans le même cortège que Bruno Gollnisch, Marion Maréchal-Le Pen et d’autres élus du FN. Mardi, M. Mariton est monté lui aussi au créneau sur ce thème en déclarant sur France Inter que « tout nouvel entrant en France, qu’il soit en situation régulière ou irrégulière, ne doit pas avoir accès aux aides sociales contributives avant un délai de plusieurs années ».

     Ce problème ne semble pas l’avoir effleuré quand il était membre de la majorité, mais ça c’était avant…que le FN devienne le premier parti de France aux élections européennes,avant le sondage Ifop publié le 31 juillet par Marianne  sur la présidentielle de 2017.

     Dans tous les cas de figure étudiés par l’Ifop , candidature de François Hollande (17%), d’Arnaud Montebourg (11%) ou de Manuel Valls(17%), la gauche serait éliminée au premier tour, et ce sont Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy  qui seraient qualifiés pour le second tour. La présidente du Front National arriverait première avec de 26 à 27% des voix , Nicolas Sarkozy, deuxième  récolterait 25 ou 26% des suffrages. Seuls Jean-Luc Mélenchon(11%) et François Bayrou (16%) dépasseraient la barre des 10%.

     Même à  trente-trois mois du premier tour de la présidentielle, cette enquête est prise au sérieux par les écuries euromondialistes, elle confirme le socle encourageant de soutien  dont dispose Marine et les idées nationales dans l’opinion. Rappelons encore qu’un sondage BVA pour Itélé et Le Parisien-Aujourd’hui en France paru début juillet relevait que65% des Français ne souhaitent pas que Nicolas Sarkozy se présente à l’élection présidentielle de 2017.

     La rentrée s’annonce particulièrement tendue, les mois qui viennent très difficiles,  tous les voyants économiques et sociaux sont au rouge,    le Système ne nous fera pas de cadeaux, la bataille pour la France sera  fort  rude et compliquée.  Bruno Gollnisch y prendra toute sa part.

    http://gollnisch.com/2014/08/08/france-enchainee-vers-france-liberee/

  • Les responsables de la persécution des chrétiens d’Irak?

    Le 10 juin l’Etat Islamique s’est déclaré officiellement maître d’une partie de l’Irak, et la chasse aux chrétiens a été officialisée le 28 juillet. Mais il a fallu que les Kurdes soient à leur tour persécutés (Yazidis) pour que le président américain, Barack Obama, prenne la décision d’intervenir par des frappes aériennes pour les soutenir à partir du 08 août dernier. Durant ce long espace de temps, aucune aide militaire, policière ou humanitaire n’est intervenue pour secourir les chrétiens jetés sur les routes, les djihadistes ne leur ayant donné que le choix de se convertir, payer un lourd tribu sous forme d’impôt, fuir ou mourir. Les Chrétiens qui n’ont pas voulu renier leur foi, l’immense majorité, ont été spoliés de leurs biens et chassés. On leur a promis la protection des Kurdes, mais dans la pratique les Kurdes n’ont pas protégé les villages chrétiens et aucune autre mesure n’a été prise pour y suppléer. « Pourquoi a-t-on laissé ces islamistes à Mossoul, et de là s’avancer vers les villages chrétiens? »s’indigne sur France 5 Yako Elish, Président de l’Association d’Entraide aux Chrétiens d’Orient.

    La prise de Qaraqosh, le 7 août, a ouvert la voie à l’armée de l’Etat Islamique vers Erbil, la plus importante ville du Kurdistan irakien. Or lorsque Qaraqosh (50 000 habitants), plus importante ville chrétienne d’Irak, était menacée personne n’a bougé. C’est pour faire barrage à l’avancée de l’armée de l’Etat Islamique vers Erbil que les Américains sont venus au secours de leurs alliés kurdes. Aujourd’hui la persécution des assyro-chaldéens semble passer aux oubliettes. Les médias n’ont plus d’yeux que pour les kurdes. Alors cependant, que les troupes kurdes, aidés par les frappes américaines, ont délivré aujourd’hui même deux de leurs villages. Laurent Fabius, sur place aujourd’hui, n’a eu de mots de soutien que pour les Kurdes, alors que 100 000 chrétiens sont toujours sur les routes.

    Mais qui sont les vrais responsables de cette situation de chaos ? sinon les agresseurs de l’Irak de Saddam Hussein en 2003: les Américains ? Ceux-là mêmes qui se sont lancés en « croisade », selon le mot de Georges Bush! Se présenter en nouveaux croisés, c’était dés l’abord désigner les chrétiens à la vindicte de leurs compatriotes musulmans.

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