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lobby - Page 1850

  • Vers une possible annexion de 44 % du territoire de Gaza

    Les « Forces de défense israéliennes » (sic) préviennent les habitants de Gaza qu’ils vont bombarder leur quartier. Ceux-ci abandonnent tout et cherchent refuge où ils peuvent. Parfois dans des bâtiments gérés par les Nations unies (UNRWA).

    Les chars des « Forces de défense israéliennes »(sic!!) viennent alors les attaquer à nouveau et les repousser plus loin.

    Au 25 juillet 2014 (c’est-à-dire 43 jours après l’enlèvement de trois jeunes Israéliens attribué sans preuve par le gouvernement Netanyahu au Hamas et revendiqué par le seul Émirat islamique), les « Forces de défense israéliennes » ont déclaré inhabitable 44 % du territoire de Gaza.

    Plus de 1,5 million de personnes s’entassent sur les 158 km² qu’Israël n’a pas encore attaqués. La densité y avoisine les 10 000 habitants au km², soit la plus importante au monde.

    Initialement lancée par le général Moshe Yaalon, devenu ministre de la Défense, pour « déraciner le Hamas » , l’opération pourrait changer d’objectif. Une partie des dirigeants israéliens entend en finir avec le problème palestinien en expulsant la majorité de la population vers l’Égypte et la Jordanie et en annexant partiellement, voire totalement Gaza. Si ce clan l’emportait à Tel-Aviv, Israël pourrait donc annexer aujourd’hui sans difficulté 44 % du territoire de Gaza.

    Source : Réseau Voltaire

  • Un journaliste licencié après avoir critiqué la Bible LGBT

    Etats-Unis – Bob Eschliman, ancien rédacteur en chef du Newton Daily News, avait été licencié le 6 mai dernier après avoir critiqué sur son blog personnel la Queen James Bible, une réécriture LGBT de la Bible expurgée des passages jugés “homophobes”. 

    Sur son blog personnel, Bob Eschliman avait parlé de lobby “LGBTQXYZ” et de “Gaystapo”. Cela avait provoqué la colère des militants homosexuels qui ont fait le siège de Shaw Media, le groupe de presse propriétaire du Newton Daily News, afin d’obtenir son licenciement, ce qui n’a pas tardé. John Rung, patron de Shaw Media a congédié Bob Eschliman en affirmant que « la diffusion de [son opinion] avait compromis la réputation du journal”.

    Bob Eschliman vient de saisir les tribunaux, estimant être victime d’un licenciement abusif basé sur la discrimination religieuse. Bob Eschliman a déposé une plainte auprès de l’Equal Employment Opportunity Commission (EEOC), considérant que c’est sa fidélité à la définition chrétienne du mariage qui est le motif de son éviction professionnelle.

    Affaire à suivre…

    http://medias-presse.info/un-journaliste-licencie-apres-avoir-critique-la-bible-lgbt/13633

  • Meriam Ibrahim : "un paratonnerre par rapport aux féministes radicales"

    Obianuju Ekeocha, nigériane vivant au Royaume-Uni, est une scientifique dans le biomédical, fondatrice de Culture of Life Africa et collabore avec des médias catholiques pour promouvoir la défense de la dignité et du caractère sacré de la vie. Elle a écrit une lettre à la soudanaisE Meriam, traduite par Jeanne Smits. Extraits :

    "[...] Au nom de toutes les femmes africaines, je vous remercie, Meriam Ibrahim, pour avoir montré à la face du monde le courage indomptable qui est au cœur de la féminité authentique. Je dis cela parce que votre douleur et votre persécution étaient liées si clairement à votre féminité. Et par conséquent, votre triomphe a été un témoignage des plus puissants pour la vie, pour la maternité, pour le mariage, pour l’amour et pour la foi.

    Vous êtes vraiment une image fidèle de la foi et de la vertu, un vrai symbole de la force et de la capacité de faire face. Vous êtes, à mon humble avis, une vraie femme de poids, une femme de poids africaine dont l’histoire remplit mon cœur de courage et d’audace pour ma propre vocation, la défense de notre culture africaine de la vie, du mariage, de la maternité, de la foi et de la famille, peu importe les difficultés, la honte ou la douleur que cela peut me causer.

    Car sous le coup d’une persécution intense, vous avez refusé de renier votre foi chrétienne. Sous les menaces des extrémistes, vous êtes restée debout : témoin et martyre. Dans la souffrance de l’incarcération, vous avez refusé de renier votre mari ou de renoncer à votre mariage. Entravée par les lourdes chaines de la prison, vous aviez encore assez de force et de fierté pour donner la vie, pour donner naissance. Sous le coup d’une sentence de mort certaine vous avez eu assez de détermination pour allaiter votre précieux petit bébé.

    Par votre puissant exemple, le monde a pu voir la ténacité d’une jeune femme africaine qui, dans les pires conditions, a témoigné héroïquement des vertus de la foi, du mariage, de la maternité. Vos luttes indicibles, ces dernier mois, auront été le rayon lumineux le plus radieux qui a percé les nuages les plus noirs, en apportant la contradiction à un monde moderne qui nous dit que la foi ne signifie rien, que la liberté religieuse n’est pas si importante, que le mariage n’est que ce que nous voulons en faire, que la maternité doit résulter d’un choix afin de la réservé aux périodes qui nous arrangent le mieux, que nos bébés ne doivent naître qu’aux moments qui nous conviennent.

    Vous, ma sœur africaine, vous êtes devenue un paratonnerre par rapport aux féministes radicales de notre temps qui répudient et dénigrent chaque vertu que vous incarnez. En votre corps, vous avez subi les marques et les cicatrices du vrai chrétien : comme épouse, mère et martyre. Et ainsi vous nous avez montré ce qu’est une femme autonome et libérée – et je suis heureuse de dire que cela n’a rien à voir avec ce que voudraient nous faire croire les radicaux et les idéologues d’Occident. Ils essaient de nous dire que pour que les femmes africaines deviennent autonomes, il leur faut devenir « sexuellement libérées » : égoïstes, individualistes et férocement autonomes.Mais vous, Meriam, par votre propre exemple, vous nous avez enseigné que la femme africaine libérée est la femme libre de vivre et de pratiquer sa foi, d’aimer son mari, et d’aimer ses enfants, nés ou pas encore nés. Une femme libérée, c’est une femme de foi, une femme pour la famille. C’est cela, la vérité qui doit être proclamée d’un bout à l’autre de l’Afrique. [...]

    Michel Janva

  • Pour le CSA, le bonheur des enfants trisomiques est suspect

    Communiqué de la Fondation Lejeune :

    "Le CSA vient de publier un avis négatif sur la campagne « Chère Future Maman » diffusée à l’occasion de la journée mondiale de la trisomie 21. Il reproche à plusieurs chaînes télévisées de l’avoir relayée.

    Le CSA ne reconnaît pas le caractère d’intérêt général de cette campagne, au motif que sa finalité serait « ambigüe » et qu’elle ne pourrait « susciter une adhésion spontanée et consensuelle ».

    Pour rappel, cette vidéo vise à rassurer une femme enceinte sur l’avenir et le bonheur possible de son enfant atteint de trisomie 21. La finalité de cette campagne est de lutter contre la discrimination et la stigmatisation dont sont victimes les personnes handicapées, et d’encourager leur insertion dans la société.

    La vidéo a rencontré un engouement international, « spontané et consensuel » :

    • Plus de 5 millions de vues à ce jour (campagne la plus partagée dans le monde pendant 24 h),
    • Diffusée dans l’enceinte de l’ONU le 21 mars,
    • Saluée et encouragée par le Premier ministre italien Matteo Renzi,
    • Sujet d’une pleine page dans le magazine culturel Vanity Fair en Italie,
    • Primée à Cannes, la vidéo a reçu plusieurs Lions d’Or au Festival International de la Créativité.

    Le CSA a choisi de limiter la liberté d’expression, en assumant le risque d’atténuer la portée d’un message accueillant vis-à-vis des enfants trisomiques.

    A l’heure de la communication marquée par l’internationalisation, internet et les réseaux sociaux, cet avis est sans effet. En revanche, il souligne l’aveuglement des pouvoirs publics en France, depuis longtemps pays leader de l’élimination des enfants trisomiques avant leur naissance (96%).

    La Fondation Jérôme Lejeune encourage les téléspectateurs à remercier les chaînes TF1, M6, D8 et Canal+ qui ont relayé la campagne « Chère Future Maman » en mars dernier."

    Michel Janva

  • Le prétexte d’Israël pour bombarder Gaza est un mensonge…

    Malheureusement ça n’a rien d’étonnant… Leur cynisme n’a pas de limite. Même  l’histoire de la cellule autonome du Hamas ne semble pas tenir la route compte tenu que les seuls à avoir revendiqué le meurtre des trois jeunes juifs ne sont ni plus ni moins qu’un groupe de djihadistes liés … à l’Etat Islamique… (voir ici)

    Est-ce que le Hamas est bien derrière le kidnapping et l’assassinat de trois adolescents israéliens au mois de juin? Quand leurs corps avaient été retrouvés, le premier juillet, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, avait promis de « faire payer le Hamas ». Le premier bombardement de la bande de Gaza avait suivi peu après. Ce lundi, le conflit a déjà fait 1.030 morts.Mais le Hamas, qui a toujours nié sa culpabilité, pourrait ne pas être impliqué dans le kidnapping. Le porte-parole de la police israélienne a déclaré à un journaliste de la BBC que les responsables étaient définitivement une « cellule isolée », affiliée au Hamas mais n’agissant pas à leurs ordres.

    Le journaliste de la BBC explique également quele Hamas revendique toujours ses actions, y compris les plus violentes, ce qui n’a pas été le cas cette fois-ci. Et, comme le rappelle Rue89, le Hamas était le mois dernier en pourparlers avec le parti laïque du Fatah…Donc plutôt dans une logique de modération.

    Source :BFM

    http://www.contre-info.com/

  • Le grand Kahal : un terrible secret (partie 2/3)


    [Première partie ici]
    Texte de don Curzio Nitogilia (Il Gran Kahal, un terribile segretoChiesa Viva, novembre 2013). Trad. de l’italien par Laurent Glauzy.

    Le secret de Kahal

    Gare à celui qui ose révéler les secrets du Kahal, il se condamne à l’anathème et à la mort. Jacob Brafmann eut cette audace, et il perdit la vie.

    D’après Hugo Wast, le secret de Kahal serait la conquête du monde : l’épée n’est pas nécessaire, il suffit d’un livre, le Talmud[1] !

     

    Au moyen de l’esprit talmudique, le judaïsme se propose d’écraser le christianisme, unique et vrai bastion qui s’oppose à la domination universelle d’Israël. Les sentiments principaux qui animent l’esprit talmudique seraient au nombre de quatre :

    1-      Une ambition démesurée de dominer le monde ;

    2-      Une avidité insatiable de posséder toutes les richesses des non-juifs ;

    3-      La rancœur contre le non-juif, et spécialement contre le chrétien ;

    4-      La haine de Jésus-Christ.

    Pour satisfaire ces quatre sentiments, il est nécessaire de s’approprier les richesses du monde, grâce auxquelles tout sera permis. Ainsi, avec l’or, rien n’échappera à la Synagogue et tous les non-juifs deviendront ses esclaves. Nous pouvons penser que ce plan secret se réalisera avec le règne de l’Antéchrist[2] !

    Mais, pour parvenir à cette étape ultime, il est nécessaire de corrompre les chrétiens, de leur insuffler l’amour des plaisirs, du luxe et de soi-même. L’unique propriétaire de l’or, qui permet d’avoir les plaisirs, le luxe et les honneurs du monde, sera (selon le plan du Kahal) le judaïsme. Les non-juifs, une fois corrompus, pourront accéder aux plaisirs à condition de demander l’or aux juifs qui, seuls, le possèdent !

    « La force des juifs consiste dans la capacité à cacher leurs intentions. Le peuple juif existe encore, car il a su maintenir un secret pendant vingt années de persécutions. » [3]

    Ce secret, c’est l’esprit talmudique de haine envers le Christ et les chrétiens, ainsi que la soif de domination mondiale. La foi talmudique n’est pas dans l’au-delà, mais dans la domination dans ce bas monde : son paradis est la Terre !

    Le Kahal, aujourd’hui

    Les informations sur le grand Kahal d’aujourd’hui sont rarissimes : les plus récentes remontent à 1954, avec Huho Wast et, en 1996, avec Israel Shahak, lequel explique que, ayant acquis l’égalité juridique et l’émancipation en 1780 en Occident, la communauté juive a vu son pouvoir juridique peu à peu diminuer. Toutefois, en Occident, il y eut des poches de résistance à l’assimilation. Avec le mouvement sioniste et la fondation du B’naï B’rith, en 1843, le courant anti-assimilationniste (et philo-kahaliste) a repris le dessus. C’est pourquoi « le Kahal a maintenu un certain pouvoir aussi après l’émancipation des juifs et l’a récupéré complètement grâce au sionisme, surtout après la Seconde Guerre mondiale, avec le mythe de l’holocauste[4]. »

    Shahak écrit aussi : « À partir du bas empire, la communauté juive posséda des pouvoirs juridiques considérables sur ses membres… ainsi qu’un pouvoir coercitif : la flagellation, la prison, l’excommunication ; ainsi que toutes les peines qui pouvaient être infligées légalement par les tribunaux rabbiniques… même la peine de mort. »[5] Il poursuit : « Beaucoup de juifs ont aujourd’hui la nostalgie du monde juif d’avant l’assimilation, comme d’un paradis perdu… Une partie importante du mouvement sioniste a toujours voulu le rétablir, et y est parvenu. »[6] L’État d’Israël et le sionisme semblent signer le retour du pouvoir absolu du Kahal[7].

    En 1986, Simon Schwarzfuchs est l’auteur d’un livre intéressant sur le Kahal dans l’Europe médiévale[8]. Il soutient que la communauté hébraïque du Moyen-âge, appelée Kahal, apparaît en Europe au Xe siècle : « Elle est la continuité de la communauté hébraïque de l’Antiquité[9]. » Les origines de la communauté juive d’Europe sont très anciennes ; il y en a une à Rome, antérieure au Christianisme. « Pendant plusieurs siècles, jusqu’au début du Ve siècle, des groupes de juifs d’Europe étaient restés en contact avec le patriarche de la Terre sainte et continuaient à lui verser un tribut[10]. » Le Kahal régulait et dirigeait toute chose.

    Le Kahal : sa nature

    Le Kahal représente la source de la cohésion que les juifs ont réussi à maintenir pendant deux mille ans, bien qu’ils soient dispersés dans le monde, sans temple ni sacrifice. Aux grands maux qu’a dû affronter au cours de son histoire, le peuple juif, il a su opposer un grand remède : le Kahal. Les Juifs dispersés dans le monde entier, après le déicide, se sont constitués en État dans chaque État qui les a accueillis.

    Aussi, K. de Wolski affirme que, pour maintenir leur unité et cohésion et ne pas perdre leur propre identité, les juifs obéirent à une sorte de gouvernement occulte, soit juridique, le Kahal, soit exécutif, le Bet-Din. On peut parler, selon l’auteur, d’une forme de coopération qui représentait tout Israël et qui, bien que dispersée matériellement, c’est une communautée unie spirituellement[11].

    L’Église catholique est le principal ennemi du Kahal, lequel s’efforce d’en diminuer l’influence en insufflant, dans l’intelligence des chrétiens, des idées libérales [ndlr : lire don Sarda y Salvany, Le libéralisme est un péché, 1887, Ed. saint Rémi], du scepticisme, du schisme, provoquant ainsi des disputes religieuses fécondes en divisions. Leur programme prévoit de discréditer les prêtres, afin de jeter la suspicion sur leur dévotion et leur conduite privée. Pour gagner l’estime des jeunes, le Kahal infiltre les écoles avec des idées antichrétiennes.

    La Moreine

    La « Moreine » est la hiérarchie des chargés auprès des juifs. Elle commence juste après la destruction du royaume d’Israël, afin de préserver et de conserver la nationalité perdue jusqu’au jour où le Messie restituera au peuple d’Israël sa gloire et son pays. [ndlr : Cela n’est pas advenu en 1948 : l’entité sioniste a été reconstituée par l’argent des Rockefeller, Warburg, Rothschild et non par le Messie, qui est déjà venue parmi nous il y a deux mille ans.]

    Pendant le long pèlerinage du peuple juif, dispersé dans le monde entier, la « Moreine » est restée identique, même si elle s’est développée et a acquis un plus grand pouvoir, constituant petit à petit une société secrète.

    Les membres du Kahal ou la Moreine

    Le Kahal comprend deux catégories de membres : les dignitaires et les subalternes, le Kahal décent et indécent.

    1-      Les dignitaires constituent le Grand conseil et jouissent d’une autorité souveraine sur la communauté hébraïque.

    2-      Les subalternes sont les secrétaires et les scribes. Parmi eux est choisi le « persécuteur secret », qui est l’exécuteur des sentences du Kahal. Il s’engagerait sous serment à n’épargner personne.

     

    [1] Ibid., p. 72

    [2] Idem.

    [3] Ibid., p. 111.

    [4] I. Shahak, Histoire juive-Religion juive. Le poids de trois millénaires, La Vieille Taupe, Paris, 1996, p. 34.

    [5] Idem.

    [6] Ibid., p. 42.

    [7] Ibid., p. 143.

    [8] S. Schawarzfuchs, Kahal, la communauté juive de l’Europe médiévale, Maisonneuve et la rose, Paris, 1986.

    [9] Ibid., p. 11.

    [10] Ibid., p. 17.

    [11] E. de Wolski, La Russie juive, éd. Savine, Paris, 1887, p. 2.

    http://www.contre-info.com/le-grand-kahal-un-terrible-secret-partie-23#more-33920

  • Détente : la rouge hermine

    Il y a quelques jours de jeunes françaises diffusent une parodie patriote de la célèbre Blanche Hermine de Gilles Servat. Le gauchiste Servat n’apprécia guère et fit censuré la vidéo sur Youtube. En réponse les « Brigandes » produisent une autre parodie : voir ici. Elles nous indiquent vouloir continuer et professionnaliser leurs créations afin de les diffuser au maximum car « Il s’agit d’une forme de terrorisme musical [...] la France vit dans la terreur de la sanction et de la censure ». 

    http://www.contre-info.com/

  • La décadence, c’est maintenant !

    Notre civilisation, comme les précédentes, étant mortelle et comme aucun Charles ne chevauche à l'horizon politique, c'est bien un parfum de lent suicide que nous sentons aujourd'hui.

    Quand on naturalise 200.000 étrangers par an, pour la plupart inassimilables, que ceux-ci imposent voile, halal, prières dans les rues, discriminent les femmes et insultent leurs hôtes, quand ils sèment des paraboles TV aux balcons pour mieux suivre la culture de leurs racines, qu’ils manifestent malgré les interdictions, vandalisent, incendient, partent combattre pour le djihad, fleur de jasmin à la kalachnikov, c’est la France qui devient petit à petit la fille aînée du Prophète.

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  • Les Antigones décryptent la loi-cadre « Egalité Hommes-Femmes »

    Dans le cadre du passage sur la loi-cadre « Egalité Hommes-Femmes », le groupe des Antigones publie un article décryptant les différents aspects du texte, passé à l’Assemblée Nationale il y a quelques jours. Cette analyse mérite d’être lue avec attention, proposant un regard équilibré sur les différents aspects du projet de loi et une étude sur la place qu’y tient l’idéologie du pouvoir en place.

    Lire cet article sur le site des Antigones.

    Critique de la proposition de loi-cadre Egalité Femmes-Hommes

    Le projet de loi-cadre « Égalité Hommes-Femmes » est actuellement en deuxième lecture au Sénat, avec une opposition minime. L’opinion publique en connaît les points les plus médiatisés : réforme du congé parental et droit à l’avortement perçu comme conquête ultime du le combat des femmes pour la libre disposition de leur corps. Il a pourtant une envergure et une ambition bien plus vaste, et touchera à divers titres l’ensemble de nos codes juridiques.

    Un texte d’une telle portée requiert une réflexion globale sur la société et la place des femmes en son sein, en vue du bien de l’ensemble du corps social. Or, ce projet de loi ne répond pas à cette exigence. Hors les quelques mesures concrètes positives et isolées qui y sont formulées, l’on n’y trouve qu’une combinaison d’idéologies et de bricolages visant à réduire la charge de l’État au détriment des familles en difficulté et des femmes en situation de détresse.

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  • Mme Taubira devrait consulter un psy – par Guillaume Faye

     (via le blog de Guillaume Faye)
    Mme la Garde des Sceaux présenterait-elle les symptômes associés de paranoïa et de schizophrénie légères, associés à des bouffées d’autoritarisme et de ressentiment ? Mais aussi d’assouvissement d’une vengeance, qui s’explique par le phénomène de la ”compensation” : compenser un complexe d’infériorité par une posture intolérante et menaçante.

    Mme Taubira (photo) a été blessée par les allusions et jeux de mots douteux, d’ailleurs exagérément médiatisées, la comparant à une ”guenon”.(1) Elle a réagi dans un essai qu’on peut qualifier de brûlot, Paroles de liberté, paru chez Flammarion, où elle livre sa conception de la République, de la liberté et de la démocratie, qui développe des idées très éloignées de ces traditions politiques.

    Paranoïa : elle se prend tout d’abord pour une victime du racisme et pour l’icône du grand combat antiraciste, dont elle serait le symbole, une sorte de Mandela au féminin. Faisant l’apologie de la société multiethnique et multiraciale – donc de l’immigration incontrôlée et de la colonisation de peuplement de la France – elle fustige avec haine le modèle d’une France de souche identitaire « intellectuellement et spirituellement consanguine et donc porteuse d’un terrifiant appauvrissement, de tous les étiolements et affadissements ». Petite musique bien connue de l’ ”immigration, chance pour la France”.

    La passionaria Taubira prêche pour sa chapelle. Tout d’abord, ses éructations contre une société homogène d’origine européenne s’apparentent à du racisme intellectuel anti-Blanc, ce qui n’a pas l’air de gêner cette antiraciste professionnelle. Ensuite pourquoi ne vilipende-t-elle pas les sociétés monoraciales d’Afrique et d’Asie qui ne connaissent pas l’immigration et ignorent cette belle ”diversité” ? Deux poids, deux mesures. Enfin, elle semble ignorer, avec l’aveuglement de sa famille de pensée, que toute société multiculturelle et multiethnique est le terreau du racisme, de la violence et du désordre.

     

    Schizophrénie : assimilant les propos racistes dont elle se prend pour une victime martyrisée aux remugles du colonialisme français de jadis, elle s’estime bestialisée et cite goulument Les Damnés de la Terre de l’idole du marxiste tiers-mondiste Franz Fanon, le penseur des midinettes gauchistes de Mai 68. Pour elle, les Français de souche doivent expier leur crime colonialiste et esclavagiste. Contradiction douloureuse : elle vomit le colonialisme français, mais elle en est la fille. Elle était indépendantiste guyanaise, elle ne l’est plus, évidemment. Pourquoi ? Parce que la France ” de souche”, qu’elle déteste, lui a offert sa carrière sur un plateau. Elle est attirée par ce qu’elle hait secrètement et elle hait secrètement ce qui l’attire. Que serait-elle si elle était simple Guyanaise et si la France ne lui avait pas procuré sa nationalité et inculqué sa culture ? Presque rien. Tous les indépendantistes des DOM-TOM ont fait le même calcul et retourné leur veste. Leur indépendance, ils sont incapables de l’assumer. Mme Taubira, dans son ignorance prétentieuse, oublie aussi que le colonialisme impérial était une idéologie de gauche, entièrement associée à la République.

    Le discours de la calamiteuse Garde des Sceaux est un concentré d’idéologie dominante bien-pensante et de tolérance feinte, fondamentalement répressive et intolérante. Il a des relents néo-totalitaires évidents. Avec ce paradoxe : elle traite d’ « antidémocratiques » les opposant au mariage homosexuel(2) et d’ « antirépublicains » les critiques de la société multiculturaliste et de l‘immigration de peuplement, exigeant contre eux une sévère répression ; mais en même temps, toute sa politique pénale vise à construire l’impunité des délinquants, dont l’origine majoritaire est bien connue, délinquants présentés comme des révoltés et des victimes. Intolérance pour les uns, tolérance pour les autres. Se laissant aller, la passionaria a cette formule où elle jette bas le masque : « cette bataille est essentielle et urgente ; nous la livrerons et nous ne ferons aucun quartier ». Aimable propos pour une Garde des Sceaux censée être impartiale. ”Pas de quartier” : le slogan des pirates.

    Comme tous les Vertueux autoproclamés, dans la lignée de Saint-Just, elle ne s’embarrasse pas de morale Elle est au centre d’une polémique sur les écoutes de Nicolas Sarkozy et de Me Herzog où elle a menti en essayant maladroitement de se rattraper en prétextant une perte de mémoire, puis en suivant une autre tactique qui a fait flop. Elle est impliquée dans une affaire judiciaire concernant une curieuse association. Pas une semaine ne se passe sans que Mme Taubira ne donne le spectacle d’une excitée vindicative qui ne contrôle pas ses nerfs. Chacune de ses apparitions médiatiques ressemble à l’entrée d’une égérie surexcitée dans une pièce de boulevard. Est-il normal qu’une Garde des Sceaux, ministre de la Justice, un poste qui requiert plus que tous un grand équilibre psychologique, une sérénité, une sagesse soit à ce point déséquilibrée et partiale ? Dès qu’elle ouvre la bouche, c’est pour hurler.

    Mme Taubira – et elle l’avoue dans son livre maladroit – a entrepris une ”bataille”, selon ses propres termes, contre la France de souche, fidèle à son histoire et à ses racines. Une bataille qui a des relents doucereusement racistes….Menée au nom du concept de ”république”, une bouteille à la belle étiquette dans laquelle on met le vin qu’on veut, comme jadis les staliniens communiste avec le concept de ”démocratie”.

    Éric Zemmour écrit : « A la lire, on comprend que tous les moyens seront bons : l’indignation de façade, les menaces et les invectives et les mensonges, la culpabilisation forcenée, les campagnes médiatiques de propagande, la destruction de ce qui nous est le plus cher, les mesures liberticides. Ce livre est une déclaration de guerre au peuple français, s’il lui prenait l’envie de redresser la tête et de ne plus subir le joug de ses maîtres bien-pensants. » (Le Figaro, 13/03/2014).

    Peu compétente, imbue d’elle-même, idéologue militante tentée par le fanatisme, se prévalant de ”culture”(3), elle a été nommée à ce poste gouvernemental pour le symbolisme de ses origines ethniques : raisons politiciennes du PS, pour séduire avec démagogie l’électorat de la ”diversité”. Il suffit d’observer toutes les interventions de Mme Taubira, d’étudier ses déclarations, d’observer ses expressions, de lire ses textes pour comprendre que cette femme brillante fonctionne toujours sur un registre d’exaltation, d’agressivité, d’indignation feinte, de frustration d’institutrice colérique.

    Mais ses outrances nuisent à son camp : déséquilibrée, elle déséquilibre sa cause. Vaniteuse, elle croit trop vite à la victoire de ceux dont elle se veut l’égérie. Victime fantasmée, elle ne s’imagine pas comme victime réelle. Mme Taubira est le plus mauvais joker de la gauche. Mais son grand mérite est d’avoir abattu son jeu avant la fin de la partie : elle va réveiller ce qu’elle croyait étouffer. Merci, Madame de ne pas savoir jouer au poker.

    Guillaume Faye

    http://fr.novopress.info/173009/mme-taubira-consulter-psy-guillaume-faye/