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lobby - Page 1873

  • Les LGBT visent toujours plus les enfants

    Endoctrinement à la théorie du genre ("qui n’existe pas"...) : La Commission des droits de l’homme (à savoir Matignon) exhorte le gouvernement à renforcer la prévention [sic] de l’homophobie à l’école.

    A lire dans Le Figaro : « LGBTphobies » : Matignon sous pression

    Alors que Benoît Hamon tente de mettre sous le tapis l’embarrassant sujet des ABCD de l’Égalité, le gouvernement est rappelé à l’ordre par la CNCDH (Commission nationale consultative des droits de l’homme). Cet organisme consultatif, sous tutelle de Matignon, [c’est-à-dire de Manuel Valls :ndlr], a voté jeudi un avis qui rappelle le gouvernement à ses anciennes promesses en matière de lutte contre les « LGBTphobies » (hostilité envers les lesbiennes, gays, bi et trans), notamment à l’école. Un pavé lancé dans la mare à la veille de la Marche des fiertés, ou gay pride parisienne du 28 juin.

    « Lors de plusieurs auditions menées par la CNCDH, des acteurs de la communauté éducative ont souligné la grande timidité du ministère dans la mise en œuvre des recommandations du programme d’actions gouvernemental », note la commission dans son avis sur « Les violences et les discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle et l’identité de genre ».

    Le gouvernement a cédé à la mobilisation de la Manif pour tous [sic !]

    La suite ici

  • "Il faudrait qu'on s'excuse d'avoir autant d'enfants"

    Stéphanie et Guillaume Garcia ont 8 enfants. Locataires, les époux sont avisés de la mise en vente du pavillon et sommés de le quitter en fin de bail, au 31 octobre 2015. Ils décident de faire bâtir. Ils trouvent un terrain, un promoteur, dessinent les plans, obtiennent un devis. Le crédit total porte sur 260 000 € étalés sur 25 ans, avec un taux d'endettement de 27 %. Or, la requête aboutit à un refus catégorique. Raison invoquée ? "Il y a trop d'enfants au foyer. Vous ne réussirez pas à vous en sortir".

    Déçus, ils font le tour des établissements financiers locaux.

    "A chaque fois, ça a été la même réponse. C'est abusé. Effrayant. Il faudrait qu'on s'excuse d'avoir autant de petits, alors que justement on se bat pour leur construire un avenir correct !"

    Résignés, ils cherchent une location :

    "Tout va bien jusqu'à ce qu'on évoque nos huit gamins. Alors là, c'est un non direct".

    Michel Janva

  • Nouvelle menace sur la 3ème RPIMa

    Le 3e RPIMa est installé à Carcassonne depuis 1962. La présence du 3e RPIMa dépasse le seul cadre économique. Il s’agit de plus de 50 ans de symbiose sociale et sociétale. Le « 3″ fait partie de l’ADN du pays carcassonnais.

    Le « 3″, serait également programmé pour partir en Afrique (Tchad ? ) à la rentrée prochaine. Une question s’impose : l’Etat peut-il envoyer des troupes à l’étranger en leur disant que leur unité sera dissoute. Avec quel moral, quelle motivation, ces soldats pourraient-ils accomplir leur mission ? 

    Par STÉPHANE GAUDIN 


    Nouvelle menace sur le 3e RPIMa, le Maire de… par TVcarcassonne

    Motion pour le maintien du régiment du 3e RPIMa

    Certaines informations laissent penser que l’avenir du 3ème RPIMa n’est pas définitivement fixé et que sa dissolution serait toujours à l’ordre du jour.

     

    Si ces informations devaient s’avérer exactes, une telle décision serait catastrophique pour la ville de CARCASSONNE, son Agglomération ainsi que pour le département de l’Aude.

    2300 personnes seraient concernées dont 550 familles et 770 enfants. 30 millions d’euros de dépense disparaîtraient de l’économie locale, touchant, ainsi, tous les secteurs d’activité, à commencer par le secteur immobilier et ne parlons même pas de l’incidence de voir disparaître 770 enfants de nos établissements scolaires.

    Nous demandons solennellement au Chef de l’Etat-major des Armées de Terre, au Ministre de la Défense, au Premier Ministre et au Président de la République de nous confirmer que notre prestigieux régiment du 3e RPIMa ne sera pas dissout.

    Si cet appel ne devait être entendu et si gain de cause n’était pas obtenu, le bassin carcassonnais serait confronté à une véritable catastrophe économique que nous aurions bien du mal à gérer.

    Cette motion, déposée à l’initiative du maire de Carcassonne Gérard Larrat, a été adoptée à l’unanimité par les 73 communes (110.000 habitants) qui composent la communauté d’agglomération du carcassonnais.

    Theatrum Belli.org

  • On fait semblant de découvrir que la loi Leonetti permet l'euthanasie

    Jean-Marie Le Méné est interrogé dans Famille chrétienne à propos des affaires d'euthanasie. Sur la décision du Conseil d'Etat visant à achever Vincent Lambert, il déclare :

    L"Cette décision est conforme à une loi, portée par le député UMP Leonetti, qui date de 2005. On fait semblant de découvrir aujourd’hui qu’elle permet l’euthanasie. En 2005, la Fondation Jérôme-Lejeune a compté parmi les rares observateurs à déplorer que cette loi, dont tout le monde se félicitait, permette l’euthanasie, en assimilant arrêt de l’hydratation et de la nutrition à un refus d’acharnement thérapeutique, c’est-à-dire en confondant des soins qui sont toujours dus avec des traitements qui peuvent être suspendus. À l’époque, cette observation n’était pas politiquement correcte, mais elle était juste, on le voit aujourd’hui. S’il y a renoncement, il ne date donc pas d’aujourd’hui mais de 2005.

    En revanche, je ne crois pas que la société, dans son ensemble, soit solidaire de ce renoncement. Si on lui explique mal, elle comprend mal et elle répond mal aux sondages qui nous diront invariablement que l’euthanasie est une demande sociale. En laissant croire à l’opinion, comme s’y emploient la majorité et l’opposition, que dans l’affaire Lambert, il n’est pas question d’euthanasie mais de refus de l’acharnement thérapeutique, on ment. L’effet de ce mensonge est qu’on peut désormais donner la mort sans tuer.

    En s’appliquant à des personnes lourdement handicapées, la loi Leonetti ne montre-t-elle pas ses limites ?

    La loi Leonetti ne montre pas ses limites aujourd’hui, elle avait des faiblesses congénitales. Elle a introduit des imprécisions et des confusions, alors que le code de déontologie médicale était suffisant. Ainsi elle ne donne pas de définition précise de l’euthanasie ; elle n’établit pas de distinction claire entre le refus d’un traitement disproportionné et l’euthanasie par omission, pas plus qu’entre soin et thérapie ; elle ne donne pas de définition des traitements, laissant entendre que l’alimentation peut être considérée comme un traitement.

    Dans la culture contemporaine qui évacue la souffrance et la mort parce qu’elle n’en comprend plus le sens, le juge hérite d’une marge d’interprétation réduite. C’est ce que montre le cas de Vincent Lambert qui n’est pas en fin de vie et dont personne ne dit qu’il est en proie à des souffrances intolérables. Vincent Lambert est devenu handicapé, avec un degré de conscience diminué, à la suite d’un accident. Il vit d’une vie qui n’est pas petite, mais qui est la sienne. La société, nous dit-on, n’est plus prête à poser son regard sur des vies qui, à ses yeux, ne valent pas la peine d’être vécues."

    Et à propos de l'affaire Bonnemaison :

    "Je ne pense pas que la décision des jurés reflète le fond du cœur des gens. Il faut bien voir que nous sommes tous plus ou moins victimes d’un terrorisme compassionnel permanent qui inhibe la faculté d’appréhender la vérité. On nous recommande abusivement de pratiquer une sorte d’irénisme en décalage avec la violence qui nous est imposée. Autant ces injonctions sont pertinentes s’agissant des personnes, autant elles sont dangereuses s’agissant des principes.

    À l’évidence, il doit être dénoncé qu’un empoisonneur ait fait l’objet d’un soutien aussi obscène que celui de Bernard Kouchner et aussi pathétique que celui de Jean Leonetti. Si l’appréciation morale d’actes homicides n’est plus possible, n’est plus exprimée, n’est plus reçue, et cela au nom d’une pitié fallacieuse, comment voulez-vous que l’opinion s’y retrouve ? Elle obéit par peur et par commodité à la pensée dominante.

    Mais que nos contemporains soient en accord avec une justice qui, dans le même temps, condamne un malade et acquitte un homicide, cela, je ne puis l’imaginer.

    [...] Voir Jean Leonetti former un attelage avec Alain Claeys pour légiférer sur l’euthanasie nous donne une information très inquiétante sur les courants de pensée auxquels ils s’abreuvent l’un et l’autre.

    Nous arriverons avec eux à boucler le cycle révolutionnaire classique, dont l’avortement a été l’archétype, caractérisé par :

    • les « illégalités fécondes » qui mettent en échec une loi morale (sur le modèle des « 343 ») ;
    • la « réflexion sans tabou » qui évacue le principe du respect de la vie ;
    • l’« encadrement des dérives » qui légalise une pratique criminelle ;
    • le « lifting sémantique » qui fait disparaître le mot « euthanasie » pour dissimuler la chose… Ainsi le crime est parfait."

    Michel Janva

  • Comment une table ronde de banquiers devint le conseil des relations étrangères le plus influent du monde

    Lyndon LaRouche raconte que le 5 février 1891, une association secrète, connue sous le nom de Round Table Group, fut formée par Cecil Rhodes, par son banquier Lord Rothschild, par Lord Rosebery, le Rothschild par alliance, et par Lord Curzon. LaRouche expose que la Table Ronde était représentée aux Etats-Unis par le groupe Morgan. Le Dr Carrol Quigley, dans Tragedy and Hope, parle de ce groupe comme de « La société Secrète Anglo-Américaine » en expliquant que « La principale épine dorsale de cette organisation s’est développée tout au long d’une coopération déjà existante, qui allait de la Banque Morgan à New York jusqu’à un groupe de financiers internationaux à Londres emmenés par les frères Lazard (en 1901). » 

         William Guy Carr, dans son Livre Des pions sur l’Echiquier, expose ceci : « En 1899, J.P. Morgan et Drexel se rendirent en Angleterre dans le but de participer à la Convention Internationale des Banquiers. Lorsqu’ils s’en retournèrent, J.P. Morgan fut nommé à la tête des intérêts de Rothschild aux Etats-Unis. A la suite de la Conférence de Londres, J.P. Morgan & Company de New York, Drexel & Company de Philadelphie, Grenfell & Company de Londres, Morgan Harjes & Cie de Paris, M.M. Warburg Company d’Allemagne et d’Amérique et la Maison Rothschild étaient toutes affiliées. 

         Visiblement, ni conscient du lien entre Peabody et les Rothschild, ni que les Morgan avait toujours été affiliés avec la Maison Rothschild, Carr supposa qu’il avait découvert que cette relation datait de 1899, alors qu’elle remontait en fait à 1835. 

         Après la Première Guerre mondiale, [en 1921,] la Table Ronde adopta le nom de Council on Foreign Relations (CFR) aux Etats-Unis et de Royal Institute of International Affairs (RIIA) à Londres. Les dirigeants officiels des gouvernements anglais et américains et sélectionnés parmi leurs membres. Dans les années 1960, alors que l’attention se concentrait de plus en plus sur les activités gouvernementales discrètes du CFR, des groupes affiliés qui représentaient des intérêts identiques, commencèrent leurs opérations – les Bilderbergers [1954] et la Commission Trilatérale [1975]. Les responsables les plus importants, comme Robert Roosa, étaient membres des trois groupes. 

    Eustace Mullins, Les secrets de la Réserve fédérale

    http://www.oragesdacier.info/2014/07/comment-une-table-ronde-de-banquiers.html

  • On ne discute pas du retrait de la double-nationalité

    Pour avoir osé outrepasser cette censure, Le Point a été harcelé par les réseaux sociaux et notamment par ses confrères. Sous la pression, le site Internet du Point a retiré rapidement une question posée dimanche sur le thème de la double nationalité, formulé ainsi :

     « Faut-il retirer aux Français d'origine algérienne leur double nationalité ? »

    81 % des internautes avaient déjà répondu « oui ». 

    Michel Janva

  • Non Manuel Valls, l’Islam n’est pas une chance pour la France

    Si rien n'est fait, Notre-Dame deviendra mosquée avant le XXIIe siècle.   

    Notre cher Premier Ministre vient de prononcer un discours proprement hallucinant pour peu que l’on veuille défendre la culture française. C’était le Jeudi 26 Juin, à l’institut du Monde Arabe à l’issue de sa visite de l’exposition « Hajj, le pèlerinage à la Mecque ».

    Sans aucune prospective de ce qui attend la France dans 20 ou 30 ans, c’est à dire rien moins que le grand changement de civilisation, le Premier Ministre a conclu ce long discours à la gloire de l’Islam et de l’amitié franco-arabe par cette belle envolée :

    « Lors du repas de rupture du jeûne du mois sacré de ramadan, j’adresserai aux musulmans de France un message de confiance. Un message qui souligne combien la France est une terre de liberté qui respecte les croyances de chacun et qui considère que le fait que l’Islam est la deuxième religion de France est une chance pour la France ».

    Mais le pire c’est que Manuel Valls avait osé montrer la grande attirance et assurément la préférence qu’il a pour cette religion :

    « Au-delà des musulmans de France, c’est toute une nation qui reconnaît, ici, la grandeur, la finesse et la diversité de l’Islam. C’est toute une nation qui dit aussi que l’Islam a toute sa place en France, parce que l’Islam est une religion de tolérance, de respect, une religion de lumière et d’avenir, à mille lieues de ceux qui en détournent et en salissent le message ».

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  • [Bordeaux] .Les jeunes socialistes en jupe se révoltent ! (ATTENTION !) .

    Lors de la conférence de Farida Belghoul et de l’Abbé Horovitz à Bordeaux, les jeunes socialistes ont fait le coup de poing, la démonstration de force même, en développant une nouvelle forme de militantisme : la jupe pour tous ! Savourez l’ardeur militante au service du Progrès ! 

     
  • Aurélie Filippetti : "On a tous un petit peu d'Algérie en nous"

    Le ministre de l'Inculture explique pourquoi elle regardera le match qui opposera l'Algérie à l'Allemagne ce soir :
    "On a tous un petit peu d'Algérie en nous (...) On a fêté le centenaire d'Albert Camus, qui était un immense écrivain français, né en Algérie, qui avait une passion pour l'Algérie, et pour le football. (...) On est tous un peu concernés, évidemment, et on vibre tous un peu, quand on a un match d'un pays qui est aussi fortement lié à l'histoire de notre pays."
    Sans doute le ministre voulait-il dire :
    "On aura tous un petit peu d'Algérie chez nous ce soir. (...) On a fêté le centenaire d'Albert Camus, qui était un grand écrivain français, né dans le département algérien, qui avait une passion pour l'Algérie française, et pour le football et qui va se retourner dans sa tombe. (...) On est tous un peu concernés, évidemment, et on s'inquiète tous un peu des émeutes qui suivront un match d'un pays qui crache sans cesse sur l'histoire de notre pays."