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lobby - Page 1874

  • George Soros et la drogue : les secrets de Judapest – par Laurent Glauzy (1/5)

    « La guerre à la drogue s’est concrétisée par une perte de mille milliards de dollars » (Soros). Le milliardaire de l’Open Society Foundations (OSF) – qui est un réseau de fondations ayant pour but de promouvoir en théorie les droits de l’homme et des réformes économiques, sociales et juridiques – exposait ses arguments fallacieux dans un article du Financial Times intitulé : A futile War on drugs that wastes money (Une guerre futile contre la drogue qui fait perdre de l’argent).

    George Soros, né György Schwartz, réitère depuis plusieurs années ce genre de propos subversifs. Dans le Washington Post, il déclarait : « Ma seule crainte est que la guerre contre la drogue nuise à la structure sociale. » Et, « depuis quarante ans, les gouvernements du monde entier ont dépensé des sommes gigantesques pour conduire une politique répressive, au détriment d’autres programmes. » Le milliardaire, qui fait allusion à la politique de légalisation de la drogue dont il est le soutien généreux, argumente sans vergogne : « La lutte contre la drogue n’est pas seulement un gaspillage d’argent, elle est contre-productive. La prohibition et la lutte contre la drogue ont fait plus de mal que de bien. »

     

    « Pendant des années, mon Open Society Foundations a soutenu des programmes de réduction de propagation des dommages en mettant fin à l’échange des seringues – une manière prouvée et économique de prévenir la transmission du HIV. Un pays qui investit un dollar dans l’échange des seringues, économise au final 27 cts. » Ce modèle de propagande est bien entendu fantasmagorique.

    De l’ONU à une légalisation mondiale de la drogue

    En fait, Soros prône, en termes déguisés, la drogue comme instrument de contrôle de la population et d’annulation de la vie humaine. L’homme doit devenir un instrument des élites satanistes qui dirigent ce monde, comme l’explique si bien Bill Schnoebelen, ponte repenti de l’Église de Satan, ou encore le père Regimbal, assassiné en 1988.

    Le requin judéo-hongrois, d’un air lucide et avec une audace propres aux plus grands criminels, expose : « Prenons le cas de la Colombie. Quand les forces de l’ordre colombiennes ont opéré un tour de vis au trafic national de la cocaïne, la violence s’est déplacée au Mexique. Le rapport de la London School of Economics (LES) estime qu’après 2007, les politiques d’interdiction du gouvernement colombien ont causé une augmentation de plus de 20 % du taux des homicides au Mexique. »

    Il va sans dire que Soros essaie, par cette rhétorique, de rendre toutes les populations dépendantes de la drogue, plutôt que de munir l’ensemble des nations de moyens prohibitifs pour éviter que le mal ne s’étende.

    Le magnat est un expert de la Colombie : « Bogota exporte vraiment une grande menace. L’explosion du marché illégal de la drogue, entre 1994 et 2008, a entraîné une augmentation de 25 % des homicides en Colombie, soit 3 800 morts par an. (…) Ce type de violence mène au départ des multinationales, à l’assèchement des investissements étrangers, au déclin des industries et à la fuite de la population, en quête d’une vie meilleure. Ceci est particulièrement vrai aux États-Unis qui, avec moins de 5 % de la population mondiale, représentent environ 25 % de la population carcérale de la planète. »

    Soros affirme qu’« à l’assemblée générale de l’ONU de 2016, il y aura une révision du système de contrôle des drogues. La politique prohibitionniste ne peut répondre seule au problème global de la drogue.

    La drogue, avec un bénéfice de 500 milliards de dollars par an – qui est la troisième source de revenu dans le monde, après le commerce du pétrole et de l’armement, détenu par les Rockefeller et les Du Pont de Nemours depuis la guerre de Sécession – est une marchandise parfaite : elle se produit économiquement, se consomme rapidement, crée la dépendance et est donc un marché éternel. C’est ce marché juteux que lorgne Soros. De plus, le capitalisme global, qui se dirige vers la phase terminale d’une gouvernance mondiale pour une dictature satanique et planétaire, a compris que la drogue est un instrument de contrôle des populations par excellence.

    Ce procédé imparable avait été compris par le trésorier d’Ahmet Pacha, gouverneur de Bagdad, le communautariste David Sassoon à l’origine de la diffusion de l’opium en Extrême-Orient et de toutes les guerres qui y sont liées. Son fils, surnommé « le Rothschild des Indes » sera même anobli par la reine Victoria !

    [A SUIVRE...]

    Laurent Glauzy

    http://www.contre-info.com/george-soros-et-la-drogue-les-secrets-de-judapest-par-laurent-glauzy-15#more-33388

  • Quand Alain Finkielkraut rejoint Marcel Déat

    C’est la faute à Alain Finkielkraut ! Comme il a habitué ses auditeurs et ses lecteurs au meilleur, ils y ont pris goût et sont devenus exigeants. Le revers de la médaille ? C’est qu’ils ne laissent rien passer.

    C’est pourquoi nous avons été stupéfiés de l’entendre, lors de son émission Répliques de ce samedi 29 juin sur France Culture,... 

    ... consacrée au colonel de La Rocque, déclarer, à quelques minutes de la fin, qu’en 1940 "la mystique de la défaite a discrédité l’Action française" (à 46’25").

    C’est exactement, sur le fond, l’accusation lancée par le néo-socaliste collaborationniste Marcel Déat, dans son journal L’Œuvre, à la suite d’un article de Maurras paru dans Le Petit Marseillais du 9 février 1941, L’Action Française étant interdite en zone occupée. Déat accusait dans L’Œuvre Maurras de s’être réjoui de la défaite en parlant de "divine surprise", alors même que cette expression concernait uniquement le recours au vainqueur de Verdun, dont il espérait le relèvement du pays.

    Comment accuser un homme qui toute sa vie lutta pour le réarmement moral et matériel du pays d’être un "mystique de la défaite" ? Comment accuser une école de pensée qui donna à la France ses premiers résistants de pratiquer la "mystique de la défaite" ? Quant à ceux qui restèrent fidèles aux consignes de Maurras durant la guerre, comment les accuser de l’avoir fait par quelque "mysticisme de la défaite" alors qu’ils n’avaient cessé, comme militants d’AF, de lutter contre l’impréparation du pays ou même participaient à des mouvements de renseignements au profit des alliés ? "Mystiques de la défaite", les étudiants de l’Action française qui firent partie des organisateurs de la manifestation du 11 novembre 1940 et y participèrent en grand nombre ? Notre ami André Pertuzio, un des organisateurs, vient chaque 11 novembre aux côtés de l’Action française leur rendre hommage : "mystique de la défaite" ?

    11 novembre 1940 - 11 novembre 2013 : "mystique de la défaite" ?11 novembre 2013 : Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action française, écoutant le témoignage d’André Pertuzio, organisateur de la manif’ du 11 novembre 1940 : "mystique de la défaite" ?

    Contentons-nous de renvoyer à un récent article paru sur Boulevard Voltaire : même si l’auteur ne le dit pas, tous les noms cités sont ceux de résistants formés à l’école d’Action française. Renvoyons aussi à l’ouvrage, récemment rééditer, de Roger Joseph,Les Faux Maurras.

    Non Monsieur Finkielkraut, l’Action française ne fut jamais une école du défaitisme, jamais ne partagea aucune "mystique de la défaite", pour reprendre des propos... qui ne sont tout simplement pas dignes de vous.

    François Marcilhac, directeur éditorial de L’Action Française

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Quand-Alain-Finkielkraut-rejoint

     
  • Comparution immédiate pour les Bonnets Rouges interpellés samedi

    La garde-à-vue des six Bonnets Rouges, interpellés samedi après avoir manifesté devant le domicile de Jean-Marc Ayrault, a été prolongée de 24h dimanche soir. Le procureur a demandé à ce qu’ils soient jugés aujourd’hui en comparution immédiate pour dégradations d’un bien privé. Ils avaient jeté de la farine et des oeufs sur le portail du domicile. Parmi eux, trois militants devront répondre également de violences sur les policiers.Le sixième bonnet rouge interpellé, âgé de 21 ans, sera jugé plus tard, pour port d’arme. Il était en possession d’un couteau au moment du contrôle d’identité.

    L’État sait être sévère quand il le veut… Combien de comparutions immédiates après les débordements de jeudi dernier ? Aucun chiffre n’a été fourni et nous laisse à penser qu’il n’y en a pas eu. Pourtant, on parle de voitures brûlées et non d’œufs et de farine !

    Add: le procès a été renvoyé au 4 août, sans contrôle judiciaire.

    http://medias-presse.info/comparution-immediate-pour-les-bonnets-rouges-interpelles-samedi/12127

  • Le Tribunal Administratif annule le rejet de la pétition par le CESE

    Victoire de la LMPT :

    "Le Tribunal Administratif de Paris vient de déclarer recevable la pétition citoyenne sur le projet de loi Taubira déposée le 15 février 2013. Cependant, alors qu’il annule donc le délibéré du CESE sur ce sujet, le Tribunal n’a étonnamment pas retenu la demande d’enjoindre le CESE d’émettre un avis, ce qui était pourtant la conséquence logique de sa décision. Cela reste néanmoins une grande victoire pour les 700 000 signataires de la pétition citoyenne, dont l’affront est en partie réparé : ils voulaient faire respecter la filiation père/mère/enfant, mais le pouvoir a triché. Ils auront au moins fait reculer ceux qui ne respectent pas la démocratie."

    Michel Janva

  • L’Etat brade les forêts françaises aux multinationales

    Les services de l’Etat, chargés de conserver et développer les ressources de nos forêts, succombent aux sirènes du lobby industriel : dans le Lot, soixante-dix hectares de vergers à graines forestiers vont être vendus pour destruction à une multinationale. C’est l’avenir des forêts françaises et européennes qui se joue dans cette tractation opaque et malsaine. 

    Soixante-dix hectares de vergers à graines forestiers, gérés par l’ONF sur la commune de Lavercantière (46) pour les principaux partenaires de la forêt française, sont en passe d’être cédés pour destruction à Imérys Ceramics France-Quartz. 

    Cette multinationale doit en effet satisfaire à tout prix l’appétit de ses actionnaires et exploiter jusqu’au dernier les galets de quartz situés sous ces vergers. Imérys invoque « des marchés stables, porteurs et la nécessité de sécuriser ses clients ». Les services de l’Etat, pour leur part, ont l’ambition d’en retirer des compensations financières. 

    Et l’intérêt général, comme celui de la forêt française, où est-il dans tout cela ? 

    Après avoir déjà détruit une grosse part des landes du FRAU, milieu écologiquement fragile et riche en diversité biologique, et s’en être pris aux restes d’un patrimoine historique médiéval très prisé localement, IMERYS s’apprête maintenant à faire disparaitre le patrimoine biologique et scientifique inestimable que représentent ces vergers à graines forestiers. 

    Il aura en effet fallu plus de quarante ans aux chercheurs de l’INRA et de l’IRSTEA, en collaboration avec l’ONF et d’autres partenaires de la forêt française, pour les créer. Ce fut de plus un investissement majeur de plusieurs dizaines de millions d’euros consenti durant toutes ces années aux frais du contribuable. 

    Ces vergers à graines forestiers, à quoi servent-ils ? 

    Ils produisent les semences forestières améliorées indispensables à la réalisation de reboisements de qualité. Ils ont déjà fourni près de dix tonnes de graines permettant l’établissement de plus de 150.000 hectares de plantations forestières. 

    Ils permettent la conservation de génotypes forestiers remarquables, aujourd’hui disparus en forêt naturelle, à partir desquels des forêts détruites ou dégradées peuvent être reconstituées. 

    Ils servent de support à une activité de recherche et de développement dans le secteur forestier, dans le cadre d’une fructueuse coopération européenne. 

    C’est l’avenir des forêts françaises et européennes qui se joue dans cette tractation opaque et malsaine. Nous, citoyens, avons le devoir de résister individuellement et collectivement à cet abandon du patrimoine national au profit d’une multinationale qui n’a d’autre ambition que le profit. 

    Signons massivement cette pétition pour montrer notre indignation citoyenne et résister à ce honteux projet de destruction. La décision politique qui suivra devra tenir compte de notre avis.

    Source http://www.reporterre.net/spip.php?article5996

    http://www.oragesdacier.info/2014/06/letat-brade-les-forets-francaises-aux.html

  • Europe : la nouvelle bataille de Cameron(e) !

    David Cameron a livré la semaine dernière un combat qu’il savait pourtant perdu d’avance…   

    Hostile à la désignation de Jean-Claude Juncker à la tête de la Commission européenne, le Premier ministre britannique, David Cameron a livré la semaine dernière un combat qu’il savait pourtant perdu d’avance… Un baroud d’honneur en quelque sorte qui n’est pas sans rappeler –toutes proportions gardées- celui du même nom à un « e » près, qui opposa à Camerone une compagnie de la Légion étrangère aux troupes du gouvernement mexicain le 30 avril 1863, lors de l’expédition française au Mexique. Assiégés, retranchés dans un baraquement du petit village de Camarón de Tejeda, 62 képis blancs résistèrent plus d’une journée à l’assaut de 2 000 soldats mexicains. À la fin de la journée, les six légionnaires encore en état de combattre, à court de munitions, hissèrent le drapeau blanc, obtenant de garder leurs armes et de pouvoir secourir leurs camarades blessés.

    « La vie plutôt que le courage abandonna ces soldats Français… », est-il rappelé chaque année, le 30 avril, dans toutes les unités de la Légion qui commémore ce haut fait de la bataille de Camerone. Et son homonyme british du 10 Downing Street, s’il est réélu en 2015, pourrait suivre l’exemple de nos légionnaires, s’il a le courage d’aller au bout de sa détermination en organisant le référendum promis sur le maintien ou pas du Royaume-Uni dans l’Union européenne. L’Angleterre visiblement ne veut pas rester dans l’Europe de Juncker, la « mauvaise personne », dixit Cameron, pour diriger la Commission européenne, la lucide Albion veut quitter une Europe qui empiète sur sa souveraineté sans que les Britanniques ne soient consultés au préalable.

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  • Comment les banques centrales affament les pauvres !

    En ce moment, je reçois beaucoup de questions sur l’inflation, en particulier aux USA où certains prix, tels le pétrole et la nourriture, commencent à monter. Pour beaucoup de gens, il semble que l’inflation soit la solution à l’endettement généralisé et que la politique américaine ait enfin réussi à faire redémarrer l’inflation.

    J’ai donc pensé qu’il serait utile de rappeler quelques vérités premières sur ce qu’est ou n’est pas l’inflation.

    La première réalité à bien comprendre est la suivante :

    L’inflation en aucun cas ne crée de la richesse, elle ne fait que transférer de la richesse d’un agent économique à un autre, de celui qui prête à celui qui emprunte, de celui qui n’a que sa force de travail à offrir à celui qui a des actifs et/ ou qui produit des biens de façon quasi monoblastique.

    Pour une banque centrale qui voudrait organiser ces transferts, le plus simple est de maintenir des taux d’intérêts réels négatifs, le but étant de procéder à ce que Keynes appelait « l’euthanasie du rentier ». Pour un keynésien en effet, tous les malheurs du monde viennent toujours d’un excès d’épargne qu’il faut corriger en la pénalisant pour forcer les épargnants à sortir leur argent de dessous leurs matelas. Malheureusement, et comme le disait Bastiat, en économie, il y a ce qui se voit et ce qui ne se voit pas.

    Prenons la situation actuelle.

    Depuis bientôt 6 ans, la banque centrale américaine, la Fed, suit une politique parfaitement keynésienne en maintenant des taux réels négatifs sur les taux courts, ce qui veut dire en bon français que celui qui achète des bons du trésor US voit le pouvoir d’achat de son capital baisser au travers du temps.

    A l’heure actuelle, la hausse des prix aux USA avoisine les 2 % et les taux à 3 mois sont à zéro, ce qui veut dire que le pouvoir d’achat du rentier baisse de 2 % par an. Des taux réels négatifs sont donc en fait un impôt sur le capital, imposé non pas par les autorités fiscales mais par la banque centrale. Ce n’est pas la première fois que la Fed suit cette politique.

    Toutes les périodes de taux réels négatifs ont coïncidé avec des fortes hausses de deux produits essentiels : le pétrole et la nourriture. En revanche, dans les périodes de taux réels positifs, les prix de ces matières premières baissent ou restent stables.

    Pourquoi ? Quelques mots d’explications sont nécessaires ici.

    Le prix de ces matières est libellé en dollars US. Lorsque nous avons des taux réels négatifs, le taux de change du dollar US baisse. Les prix des matières premières s’ajustent à la hausse, pour compenser cette baisse du dollar. Cette hausse acquiert assez rapidement un caractère durable dans la mesure où la Fed annonce à qui veut bien entendre que les taux vont rester négatifs pendant encore très longtemps.

    Et donc, les matières premières montent… Mais c’est là que nous retrouvons « ce qui se voit et ce qui ne se voit pas ».

    Qui en effet souffre le plus de cette hausse des matières premières ? Ce sont ceux que j’appelle « les petites gens », c’est-à-dire tous ceux qui ont des revenus en dessous de la moyenne. Pour eux, les dépenses énergétiques et de nourriture représentent une part très importante de leur budget et ce sont des dépenses absolument indispensables. Pour eux, une hausse des prix dans ces deux postes est exactement équivalente à une hausse des impôts. Leur revenu disponible, après impôts, loyer, nourriture et énergie (toutes dépenses absolument nécessaires) baisse de façon catastrophique.

    Et du coup, leur consommation sur les autres produits, qui représente une part importante de la consommation nationale, baisse très fortement. Ce qui entraîne bien évidemment un ralentissement économique dans tous les secteurs qui vendent en priorité à cette catégorie de population.

    Ainsi, Wal-Mart, le Carrefour américain, qui vend en priorité à cette clientèle, voit ses ventes baisser d’une année sur l’autre tandis que ceux qui vendent à la partie la plus fortunée de la population voient leurs ventes s’envoler, puisque le prix des actifs détenus par ces gens monte fortement.

    Dans le fond, une politique de taux réels négatifs est une immense subvention à ceux qui contrôlent des actifs financiers ou immobiliers et la note est payée par ceux qui n’ont que leur force de travail à offrir. Ce que fait la Fed, c’est de subventionner les riches en taxant les pauvres. Il s’agit en fait d’une politique extraordinairement régressive socialement et humainement, qui ne fait que creuser l’écart entre les plus riches et les plus pauvres, ce qui politiquement ne peut pas ne pas amener à de graves problèmes.

    Mais cela va s’arrêter le jour où cette baisse du niveau de vie des plus pauvres aura été suffisamment forte pour que cela déclenche une récession, par insuffisance de la demande, ce qui peut apparaître paradoxal dans la mesure où toute la politique a été faite pour « stimuler la demande », mais qui est la réalité.

    Et lorsque cette récession arrivera, le prix de tous les actifs baissera sèchement et ce sera le tour des riches d’être appauvri. Et il est à parier que le prix du pétrole et le prix de la nourriture, à ce moment là, baisseront aussi et que le dollar montera. Si appauvrir les riches pour transférer leur argent aux pauvres n’est jamais une solution, appauvrir les pauvres pour transférer de l’argent aux riches devrait être encore moins envisageable. Et pourtant, c’est le résultat inéluctable de la politique suivie

    Pour résumer :

    - Certains prix sont orientés à la hausse, ce qui est la conséquence des taux réels négatifs aux USA.

    - Ces prix font baisser le niveau de vie d’une grande partie de la population, ce qui amène à une baisse de la consommation.

    - Cette baisse de la consommation va déclencher une baisse des prix d’abord sur tous les produits non indispensables que les « non riches » avaient l’habitude d’acheter, puis sur tous les autres au travers d’un ralentissement économique, voire d’une récession.

    - Et il est à craindre que la Fed à ce moment-là ne décide qu’il faille continuer avec la politique des taux réels négatifs plus longtemps encore, en vertu du bon principe technocratique selon lequel la politique appliquée est la bonne, mais elle n’a pas été mise en œuvre avec suffisamment de vigueur….

    Le cercle vicieux par excellence.

    Charles Gave

    http://francelibre.tumblr.com/post/90298099086/comment-les-banques-centrales-affament-les-pauvres#.U7HL9I1_sks

  • Ce qui gêne le plus ce gouvernement c'est la vérité

    Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps Français, déclare au quotidien Présent.

    Extrait :

    "Manuel Valls vous a qualifié de « femme la plus dangereuse de France ». Rappelez-nous dans quel contexte.

    J’ai pris ça pour un compliment. Au début je n’ai pas bien compris. Puis j’ai réalisé que nos actions étaient extrêmement subversives. Le danger c’était la vérité. Rien de plus. J’ai pour moi d’être assez détachée de ce que l’on peut penser de moi. J’ai appris ça. Ce qui m’intéresse c’est la vérité. Et je pense que ce qui gêne le plus ce gouvernement qui nous manipule et qui nous enfume, qui vit dans le mensonge permanent, c’est que quelqu’un arrive et dise : c’est un mensonge et voilà la vérité. L’effet est très subversif. La vérité est subversive. Le Printemps Français est dangereux pour le gouvernement. Il a raison de s’en inquiéter. Il est en train de se passer un truc insaisissable que le gouvernement n’arrive pas à maîtriser.

    Vous avez réussi à redonner le goût de l’action publique à une catégorie de jeunes qui ne descendaient plus dans la rue et que l’on n’avait pas vus manifester depuis des années. Le mouvement n’est-il pas en train de retomber ?

    Le mouvement ne retombe pas mais il se transforme. Ce qui s’est passé l’année dernière est en train de bouleverser complètement la politique française. Les mouvements sociétaux nés l’année dernière ont des conséquences politiques colossales. Ils révolutionnent le paysage politique et les partis politiques ne s’en sont pas encore rendu compte. On va voir ceux qui s’en rendent compte les premiers. Tant sur le fond que sur la forme, c’est tout à fait révolutionnaire pour nous, gens de droite. Sur le fond, les gens sont descendus dans la rue par instinct de survie. Ils se sont dit : la civilisation est en danger. Ils sont descendus en quelque sorte avec leurs tripes et pas avec leur tête. Les gens n’ont pas bougé pour un corporatisme ou pour la défense de droits acquis mais pour défendre des valeurs. Des valeurs de civilisation. Et ça c’est nouveau. Sur la forme, les générations ont renoué ensemble dans un même mouvement. Mai 68 c’était : « on met les vieux au rancart », la Révolution française : « du passé faisons table rase ». Là, on a retrouvé une notion de verticalité entre les générations : grands-parents, parents, enfants, petits-enfants. Véritablement ensemble dans la rue. Et dès qu’il y de la verticalité c’est encore plus solide. Et c’est quelque chose de nouveau aussi. On a renoué entre les générations.

    Croyez-vous encore en une solution démocratique, politique, par les urnes ? Comment renverser la situation sinon ?

    Je ne vais pas dire que je ne crois en aucun parti. Et j’ai la France chevillée au corps. Je me bats vraiment pour mon pays, car je pense qu’on est en train de tuer l‘âme de nos enfants. Mais je pense que les partis actuels doivent se positionner clairement par rapport aux sujets de civilisation. La frontière va se situer là. C’est-à-dire d’un côté le nihilisme : libéralisme, hommes producteurs-consommateurs, mondialisme, etc. Et puis de l’autre côté, l’homme dans sa transcendance. Je pense que c’est ça qui va fonder la politique de demain et qu’actuellement dans les partis politiques, ça ne se dégage pas encore suffisamment. Qu’est ce qui est vraiment important pour demain ? C’est l’homme avec un grand H. Quelle civilisation veut-on transmettre à nos enfants ? Les solutions pratiques, économiques, sociales, sociétales me paraissent découler de la vision que l’on a de l’homme. Et pour moi l’homme est un enfant de Dieu. C’est en temps que tel que je le respecte dans sa liberté et sa responsabilité. Ce sont en réalité des principes très concrets et pas des vues de l’esprit dont on peut décliner alors une politique cohérente. Je pense que nous devons repositionner le combat dans l’espace spirituel."

    Michel Janva

  • Gaypride : la marche de la honte contre l'intérêt des enfants

    Communiqué de la Manif Pour Tous :

    "Alors que la gay pride ce tient cet après midi à Paris, La Manif Pour Tous tient à faire part de sa vive inquiétude devant les mots d’ordre d’un rassemblement plus revendicatif et politique que populaire. Dans la ligne de mire des organisateurs et du lobby LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels et Transexuels), la libéralisation de la procréation médicalement assistée (PMA). Supprimer les conditions qui encadrent la pratique de la PMA conduirait à la fabrication d’enfant délibérément privé de leur père. Ce serait donc une grave atteinte à l’intérêt supérieur de l’enfant. [...]

    La Manif Pour Tous tient également à rappeler le silence qui a entouré le grave dérapage de la gay pride de Lyon il y a deux semaines dont le mot d’ordre de mobilisation associait prostitution, PMA pour les couples de femmes et GPA (Gestation ou Grossesse Pour Autrui, c’est à dire les mères porteuses). « Cela démontre bien la volonté d’aboutir à la légalisation et à la banalisation du commerce du corps de la femme et de l’enfant » s’inquiète Ludovine de La Rochère. Comme La Manif Pour Tous ne cesse de le répéter depuis plus d’un an et demi, l’idéologie libertaire ne pouvait pas s’arrêter avec la loi Taubira autorisant le mariage et l’adoption par deux hommes ou par deux femmes. Les nouvelles revendications sont aujourd’hui la PMA et la GPA. L’absence de condamnation de la part des organisateurs et des responsables politique est plus qu’inquiétante. « Qui ne dit mot consent ! L’Hôtel de Ville de Paris a d’ailleurs été décoré aux couleurs de ce que l’on ne peut qu’appeler « shame pride ». C’est une provocation inutile et choquante »dénonce Ludovine de La Rochère. [...]"

    Michel Janva

  • La SNCF aime l’immigration et le fait savoir

    - La SNCF a récemment communiqué auprès de ses employés sur sa politique de recrutement, qui est ouvertement favorable au communautarisme.

    MozaikRH

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    Prétextant son amour de la « diversité », elle a passé un accord avecMozaikRH, cabinet de recrutement spécialisé dans les différents groupes ethniques qui composent aujourd’hui la France. Alors que l’entreprise sort juste d’un important conflit social, la direction voit sûrement dans cette démarche l’occasion de casser l’homogénéité de sa masse salariale en recrutant des employés plus dociles.

    Ou peut-être veut-elle simplement recruter des employés à l’image d’un nombre grandissant de ses clients, qui sont, surtout en région parisienne, de plus en plus issus de l’immigration ?

    http://fr.novopress.info/170866/sncf-aime-limmigration-fait-savoir/