
Les radars de covoiturage flashent les automobilistes ayant le tort de conduire seuls sur la voie de gauche depuis le 29 juillet, à Lyon, après une installation le 12 juillet, selon Le Figaro.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Pour de nombreux Afghans, le Steindamm, dans le quartier de St. Georg à Hambourg est devenu une véritable porte d’entrée vers leur patrie, l’Hindou Kouch. Sur une centaine de mètres, on y trouve plusieurs agences qui organisent des voyages pour les Afghans qui ont obtenu l’asile politique de l’Allemagne. Les autorités allemandes seraient-elles bernées et ne remarqueraient donc rien ?
La police espagnole a annoncé jeudi 8 août avoir démantelé un réseau criminel international basé en Espagne et en Italie qui se livrait au trafic de migrants illégaux en provenance d’Inde, du Pakistan et de Bolivie, dans le cadre d’une opération qui a donné lieu à près de 80 arrestations.
La violence des affrontements entre des Anglais de souche et la police peut surprendre dans un pays qui a théorisé le « Policing by consent », le consentement du public à l’action policière. De chaque côté de la Manche, la presse de grand chemin et les politiciens ont tôt fait de qualifier les protestataires de racistes primaires, en déniant toute légitimité aux revendications identitaires exprimées par cette « Angleterre périphérique » (selon le concept de Christophe Guilluy concernant des zones marginalisées par rapport aux métropoles qui bénéficient de la mondialisation économique). La récente mobilisation des Mahorais contre l’immigration massive aurait pourtant pu leur inspirer une lecture moins binaire des événements…
Accordons à Emmanuel Macron, au-delà de la propagande woke de la cérémonie d’ouverture (blog du 31 juillet), le droit de se réjouir bruyamment du bilan des jeux Olympiques de Paris. Tout s’est bien passé durant ces quinze jours. C’est un fait. Dès lors, le chef de l’Etat a beau jeu de rappeler les doutes et les critiques d’hier sur la sécurité et l’organisation des événements. Se laissant aller à l’autosatisfaction, il a expliqué à L’Équipe, dimanche à l’issue de la clôture que « le perdant », de ces Jeux, « c’est l’esprit de défaite ». En détaillant la liste des objections émises par les experts les plus sceptiques : « La cérémonie d’ouverture sur la Seine était une inconscience sécuritaire, on n’aurait jamais assez de médailles, ce serait un gouffre financier, on n’arriverait pas à se baigner dans la Seine… Et, à la fin, on a réussi, on l’a fait ! (…) » Hier, il a poursuivi, sans pudeur ni modestie excessives, son autocongratulation : « On peut être en même temps complètement fou et très bien organisé ».
INFO ACTU17. Un automobiliste de 44 ans en situation irrégulière en France a été interpellé à Marseille samedi après avoir présenté un faux permis de conduire lors d’un contrôle routier. Durant son transfert au commissariat, il a tenté de s’enfuir, blessant deux policiers, l’un sérieusement. L’homme a été remis en liberté avec une convocation pour un procès en janvier 2025.
La société du spectacle ne fait jamais relâche, elle fonctionne H24, sous tous fuseaux horaires, dans une orgie planétaire de divertissement. À peine les JO de Paris sont clôturés que ceux de Los Angeles s’ouvrent dans un jour qui n’en finit pas.
Jusque-là, il faut dire, les sportifs, focalisés chacun à leur manière sur leur discipline, avec tout ce que cela exige de rigueur et de concentration, n’avaient guère pu goûter l’immense partouze olympique organisée, depuis bientôt trois semaines, en leur honneur. Avec la cérémonie de clôture d’hier, c’est désormais chose faite ; le stade de France se sera transformé le temps d’un soir en un monstrueux terminal d’aéroport où sportifs, bénévoles et spectateurs en tout genre se seront entassés en musique ; et tout aura enfin été consommé.
Dans son habituel style truculent, Frédéric Eparvier – chroniquant Ukraine : Le grand aveuglement européen de Jean-Bernard Pinatel – nous livre une analyse pertinente du décalage entre le discours politico-médiatique sur l’Ukraine et la réalité et démontre la nécessité pour la France et l’Europe de comprendre la situation et de sortir de la sujétion aux États-Unis.
Polémia
Le décalage entre le discours médiatique et le réel sur l’Ukraine
Mon ami du « Mannekenfish[1] », le club de waterpolo LGBTQA++[2] de Bruxelles, arborait il y a quelques semaines, un superbe cocard à l’œil gauche, et quelques grosses rougeurs sur les joues qui montraient qu’en plus d’avoir passé un vilain quart d’heure, il avait pris quelques baffes.