« Le parti des affaires, ce n’est pas le mien, c’est le vôtre ». Le candidat Macron, avec le culot qu’on lui connait, assénait ces mots en regardant Marine Le Pen droit dans les yeux. C’était sur le plateau du débat de deuxième tour de l’élection présidentielle, en mai 2017.
magouille et compagnie - Page 693
-
Démission d’Alain Griset : quand Macron traitait le FN de « parti des affaires »
-
Ça fuit de partout chez LR
Après le retrait des fonctions de Guillaume Peltier et Gaël Perdriau au sein de LR, ce sont 15 élus LR et 250 adhérents de la fédération de Nice qui annoncent leur départ du parti :
Quinze élus LR, membres de la majorité du maire de Nice Christian Estrosi, de la métropole ou du département des Alpes-Maritimes, ont annoncé lundi leur départ, « avant de se déshonorer », du parti Les Républicains dont ils contestent l’évolution sous l’influence d’Eric Ciotti.
-
Le président de l’agence de presse internationale Reuters est le premier investisseur et membre du conseil d’administration de Pfizer
L’agence de presse internationale Reuters se vante officiellement de son « absence de parti pris », mais l’implication de son président dans le conseil d’administration de Pfizer soulève la question : comment faire confiance à ce que diffuse l’agence de presse Reuters sur le sujet des « vaccins » contre le Covid ?
Le président et ancien PDG de l’agence de presse internationale et « vérificateur des faits » Reuters est également un investisseur de premier plan et membre du conseil d’administration de Pfizer.
-
I-Média n°373 – Journalistes et antifas, la “sainte” alliance
2:00 L’image de la semaine
La France rend hommage à Joséphine Baker, chanteuse et actrice afro-américaine devenue vedette pendant notre entre-deux guerres, en la faisant entrer au Panthéon. Une subtile manière pour la gauche de faire de la récupération politique et idéologique.04:32 La grande offensive journalistique sur Zemmour
Eric Zemmour a mis fin au suspense et s’est officiellement déclaré candidat à la présidence de la République. La diabolisation bat son plein et Gilles Bouleau, le présentateur du JT de TF1, fait du zèle. -
Croire que l’obligation vaccinale va nous sortir de la crise est un leurre
Yves Coppietters *
Avant d’instaurer une obligation vaccinale, il convient de se poser plusieurs questions éthiques et pratiques. La proportionnalité de la mesure, son bien-fondé, la transparence des décisions et l’équilibre entre deux grands principes : l’autonomie individuelle versus la protection collective... Une obligation vaccinale serait- elle proportionnelle à la situation ? Elle le serait si elle garantissait une efficacité en termes de meilleur contrôle de la pandémie ou de sortie de crise. Or, je ne suis pas sûr de ce bien-fondé.
-
Enfants masqués à l’école : lâcheté générale !
L’hystérie sanitaire autour du Covid-19 a un impact désastreux sur les enfants. Outre qu’ils semblent être la prochaine cible plus ou moins avouée d’une campagne de vaccination obligatoire, ils vivent depuis des mois avec un masque sur la figure à l’école. Un scandale absolu qui n’est malheureusement sans doute pas près de cesser…
-
La manipulation de SOS Racisme commence à se voir…
Interrogée sur BFM, une des jeunes femmes militantes ayant perturbé le meeting d’Eric Zemmour semble avoir été manipulée et envoyée au casse-pipe par les responsables de SOS Racisme. Les journalistes semblent enfin se reprendre après 24 heures d’égarement :
https://www.lesalonbeige.fr/la-manipulation-de-sos-racisme-commence-a-se-voir/
-
Manif Maison De La Radio-BFM du 04 décembre 2021
Lien permanent Catégories : actualité, entretiens et videos, lobby, magouille et compagnie 0 commentaire -
Rap, cannabis, mangas… Qu’avons-nous fait de nos enfants ?
Les maux qui nous accablent ne viennent pas tous de l’extérieur, certains, hélas, nous rongent intérieurement et ces derniers sont peut-être plus terribles encore car plus insidieux et pernicieux. La déculturation de la jeunesse et son addiction aux drogues sont de ceux-là et font peser sur l’avenir de lourdes inquiétudes si ces tendances ne sont pas efficacement et énergiquement combattues.
-
L’éternelle stratégie de la gauche : le pourrissement
La gauche ne se renouvelle pas beaucoup. Partant du principe que c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleurs onguents, elle a trouvé son angle d’attaque à la campagne et à la dynamique d’Éric Zemmour : le pourrissement. La méthode est éprouvée, elle a servi et resservi contre le Front national. Elle a fait des miracles lors de la campagne Fillon, torpillée en beauté.