Faut-il rendre le vaccin anti-Covid obligatoire pour le personnel soignant? Cette question prégnante dans le débat public, masque-t-elle l’ambition d’étendre cette obligation à la population générale? Pour servir quelle stratégie face à la pandémie?
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Faut-il rendre le vaccin anti-Covid obligatoire pour le personnel soignant? Cette question prégnante dans le débat public, masque-t-elle l’ambition d’étendre cette obligation à la population générale? Pour servir quelle stratégie face à la pandémie?

Le contrôle du pass sanitaire à l’hôpital en France, où le document sera obligatoire à partir du mois d’août, devrait coûter 60 millions d’euros par mois, selon une estimation de la Fédération hospitalière de France (FHF) présentée au ministère de la Santé, mardi 20 juillet. Le document rendu obligatoire à partir de début août dans les établissements de santé implique notamment le recours à du personnel de sécurité chargé d’effectuer les contrôles.
« Que ce soit du personnel interne ou externe, le coût de cette mesure est évalué à 60 millions d’euros par mois », assure la FHF, qui regroupe plus de 1 000 hôpitaux et environ 3 800 établissements médico-sociaux.

Le « défenseur des droits », Claire Hédon, a rendu un avis sur le nouveau projet de loi de la dictature soi-disant sanitaire, qui tranche un peu avec le matraquage ambiant. Extraits :
Elle ne peut aujourd’hui que renouveler cette demande et regretter vivement le choix d’une procédure accélérée compte-tenu de l’ampleur des atteintes aux droits et libertés fondamentales prévues par ce projet de loi ainsi que du caractère inédit de certaines dispositions qu’il comporte. […] Il ressort des éléments prévus pour l’application de la loi que l’espace public sera découpé en lieux accessibles et non accessibles, des personnes privées étant chargées de contrôler la situation sanitaire des individus, et donc leur identité, remettant en cause des principes de liberté de circulation et d’anonymat pourtant longtemps considérés comme constitutifs du pacte républicain.

Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Chaque jour je commencerai mes éditos par cette formule, en signe de protestation. Je vous invite à tous reprendre cette formule dans tous vos textes, échanges, écrits ou commentaires.
« Cela fait 2 jours que des millions de Français sont victimes des premières lois de discrimination, non pas parce qu’ils sont malades, mais non « vaccinés ». Ne les oublions pas ».

Entretien réalisé le 20 juin dernier.

Lors de l’examen du projet de loi sanitaire en commission à l’Assemblée, le député LREM de Paris Pacôme Rupin, coordinateur de son groupe à la commission des lois, a pointé les contradictions de l’exécutif et de la majorité et s’est montré virulent sur le sujet.
Peut-être ne connaissez-vous pas le journal de gauche militante POLITIS qui se dit attaché à la « défense des services publics et des biens communs de la société » » et refuse le « marché omnipotent où tout s’achète et tout se vend ».
Et pourtant, il se passe au sein de ce journal quelques crapuleries bien différentes de l’image que sa rédaction prétend en donner.
Voici un sondage intéressant IFOP-JDD. Contrairement aux analyses dithyrambiques des médias radio-télé et de la classe politique (presque unanime), la France profonde ne suit pas le pouvoir macronien dans ses dérives post libertés et post démocratiques. Le président perd 2 points de confiance (38%) ce qui est sans précédent dans les situations de panique (qui généralement profitent à la popularité des dirigeants).

Ce gouvernement veut licencier les soignants honnêtes qui ne sont pas vaccinés… mais veut garder un ministre de la Justice mis en examen.
Dans un communiqué publié par Matignon, le Premier ministre Jean Castex “renouvelle toute sa confiance” en son ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti, et lui demande de poursuivre sa tâche. L’ancien avocat pénaliste a été mis en examen vendredi, pour de possibles conflits d’intérêts avec ses anciennes activités.