26/05/2020 – EUROPE (NOVOpress)
Eric Zemmour : « En France, l’hôpital est victime de l’invasion des étrangers qui viennent s’y faire soigner »
Extrait de l’émission Face à l’info du 25 mai 2020.
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26/05/2020 – EUROPE (NOVOpress)
Eric Zemmour : « En France, l’hôpital est victime de l’invasion des étrangers qui viennent s’y faire soigner »
Extrait de l’émission Face à l’info du 25 mai 2020.
« Sous prétexte de ne pas engorger les services de réanimation il fallait tuer les vieux directement dans les EHPAD au rivotril »
http://by-jipp.blogspot.com/2020/05/pour-ne-pas-engorger-les-services-de.html
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La députée Agnès Thill a interpellé le ministre de la Santé Olivier Véran au sujet de la pénurie des masques durant la pandémie, et sur les propos d’Emmanuel Macron affirmant le contraire.
Elle s’explique au micro de Boulevard Voltaire et dénonce « ceux qui se lavent les mains ».
Vous êtes une députée non inscrite de l’Oise, ex-membre du groupe parlementaire de La République en marche. À l’Assemblée nationale, vous avez interpellé Olivier Véran sur la gestion des masques par ce gouvernement, mais également par le gouvernement précédent. Pourquoi avez-vous posé cette question ?
Le manque de masques me choque et choque bon nombre de Français. Les soignants eux-mêmes ont manqué de masques. Le premier médecin mort en service du Covid-19 est de Compiègne. Cinq autres médecins ont suivi dans l’est de la France. On nous dit qu’il n’y a pas eu de pénurie. C’est tout de même un tour de passe-passe facile. Pénurie veut dire zéro.
Leur explication était qu’il y en avait peu ou pas assez. Donc, leur politique fut restrictive. Ils en ont donné très peu pour que tout le monde en ait et qu’on ne puisse jamais dire zéro. C’est exactement comme si j’avais un seul gâteau pour trente personnes. Il n’y en aurait évidemment pas assez. Si je donne une part à chacun, vingt personnes n’en auront pas. Je donne donc une miette à tous et personne ne pourra dire qu’il n’en a pas eu. Ils en ont évidemment tous manqué. La miette ne satisfera personne.
Le capitalisme permet normalement la liberté économique, plus concrète que d’autres utopies. Mais il règne aujourd’hui sous une forme dévoyée, malsaine, et qui n’a plus rien à voir avec l’original…
Il est difficile d’être plus capitaliste que moi. Pourquoi ?
Parce je suis capitaliste de raison, non par intérêt ou par ignorance.
Je suis capitaliste parce que je considère que ce système est un moment de l’Histoire, un moment de notre parcours, et que nous n’en avons pas épuisé tous les avantages – malgré ses inconvénients.
Parce que les systèmes qui ont été essayés par ailleurs ont été d’effroyables catastrophes non seulement économiques mais humaines et civilisationnelles.
Le problème du pouvoir
Tant que l’on n’aura pas résolu le problème du pouvoir dans nos sociétés, je considère que le pouvoir individuel du capital sera préférable et moins tyrannique que le pouvoir collectif d’une nomenklatura auto-désignée et auto-reproduite.
02:34 L’image de la semaine
Au sommet du pic Saint-Loup dans l’Hérault, la croix coupée par des militants d’extrême gauche il y a quelques jours est de retour !
03:23 Covid-19. 2e vague : les médias surfent-ils sur les peurs ?
Les journalistes ont multiplié les articles et les reportages sur la 2e vague, sur le retour des foyers de contamination ou encore sur le décès d’un enfant dû à la maladie de Kawasaki. Une focalisation qui interroge.
« J’ai présidé la France pendant cinq ans, donc j’ai ma part de responsabilité aussi dans la situation de l’hôpital« , reconnaît lundi 25 mai sur France Inter l’ancien président de la République François Hollande, alors que le gouvernement lance aujourd’hui des négociations sur l’hôpital public, nommées « Ségur de la Santé ».
Olivier Piacentini Boulevard Voltaire cliquez là
Récemment, une étude publiée par la revue scientifique The lancet a conclu à l’inefficacité du traitement à la chloroquine du professeur Raoult, voire à sa nocivité. Outre la réputation de la revue, le test porte sur 96.000 patients, ce qui apporte une crédibilité à ses résultats. Immédiatement, les médias ont répercuté ces résultats à grand renfort de publicité. Olivier Véran a saisi le Haut Conseil de la santé publique afin de revoir les conditions de prescription de ce médicament, assouplies il y a quelques semaines.
Interrogé sur BFM TV, Douste-Blazy a violemment critiqué cette étude, dont les résultats seraient biaisés. En effet, sur le groupe testé à la chloroquine, 20 % des personnes seraient atteintes de graves affections respiratoires, explique-t-il, contre seulement 7 % dans le groupe de contrôle… Un déséquilibre qui, évidemment, gonfle artificiellement la mortalité du groupe chloroquine. Et Douste-Blazy affirme avoir lu en détail les conditions de l’étude. « Si vous donnez de la chloroquine à des mourants, c’est sûr qu’ils vont mourir », a ajouté l’ancien ministre.
Faute d’argent, l’Education nationale change les règles concernant l’étude du breton et du corse dans les écoles primaires.
Un dispositif avait été mis en place en 2000 prévoyant « une initiation » à la langue régionale « dans les trois cycles de l’école primaire à l’exception des élèves de petite section. Cette initiation se fait sur la demande de l’école et est intégrée à son projet. Les cours, d’une durée d’une heure, se déroulent une fois par semaine sur le temps scolaire. »
Source : https://frontpopulaire.fr/
(Michel Onfray réagit aux attaques contre Front populaires parues cette semaine dans Le Monde et Libération)
Des amis bien intentionnés me signalent avec gourmandise un papier ordurier du Monde concernant la sortie de notre revue Front Populaire. J’avais signalé autour de moi que ce genre de follicule paraitrait et dit ce qu’on y lirait: pas la peine de relire ce qu’on sait devoir déjà s’y trouver – Vichy, Pétain, Doriot, Déat, Hitler, Mein Kampf, Valois, les Rouge-Bruns, l’antisémitisme, la rhétorique est éculée, elle ne fait plus illusion que chez ceux qui ont renoncé à penser par eux-mêmes. Vous me direz, ça commence à faire du monde, et vous n’aurez pas tort…
Il n’est même pas surprenant que ce journal confirme ce que je dis depuis des années: dès qu’on ne pense pas comme eux, ils sortent les panzers et le camp d’extermination, la Shoah et la chambre à gaz, le zyklon B et la Luftwaffe!
Quel talent pour faire avancer la cause des négationnistes, car, si ce que propose Front populaire, c’est, en douce, la Solution finale, alors la Solution finale c’était bien peu de chose! Mais si la Solution finale était l’un des sommets dans le Mal, alors que faut-il penser d’une revue d’amis libres, nullement soutenue par un groupe, une banque, un réseau, un parti, une combine, qui se propose tout simplement de penser le souverainisme et de penser en souverainiste? Qu’elle doit figurer à coté de Mein Kampf dans les bibliothèques? Quel être sain d’esprit peut-il penser une pareille chose?