Je pense à notre peuple auquel il faudra de la force d’âme pour regarder en face le temps qui vient, résister aux incertitudes, parfois à la facilité et à l’adversité et, unis, accepter de payer le prix de notre liberté et de nos valeurs. Cette déclaration a beaucoup intrigué les éditorialistes et sans doute aussi, de nombreux Français. Elle est à la fois laconique et lourde de sens. Les formules martiales cette guerre qui tonne à nos porte et payer le prix de notre liberté suggèrent que ce prix pourrait être le prix du sang.
France et politique française - Page 1011
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« Le prix de notre liberté »: qu’a voulu dire M. le président?, par Maxime Tandonnet
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Michel Onfray (philosophe), ironise sur les « barbecues virils » de Sandrine Rousseau : « C’est un délire cette femme. La seule bonne chose qu’elle ait faite c’est de ne plus enseigner. Ce sont des pensées d’une gamine de 13 ans »
Le philosophe et fondateur de la revue Front Populaire, intervient ce mardi 30 août sur CNews. Après les propos polémiques du député EELV, Sandrine Rousseau sur le symbole de virilité que représente le barbecue, l’intéressé a vivement apostrophé l’élu de Paris.
Pour Michel Onfray, Sandrine Rousseau est un « délire », il se « demande comment on peut créer autant de sottises régulièrement ».
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Dans une note confidentielle du renseignement territorial, il est écrit que les islamistes et les influenceurs communautaristes ont orienté le « vote musulman » vers Jean-Luc Mélenchon lors des dernières élections présidentielles et législatives
Dans une note confidentielle du renseignement territorial qu’Europe 1 s’est procurée, les policiers estiment que Jean-Luc Mélenchon a pu bénéficier d’un “vote musulman” lors de l’élection présidentielle parce que ses prises de position ont été saluées et relayées par de nombreux influenceurs et activistes islamistes au cours de la campagne.
INFO EUROPE 1
C’est un document diffusé à une poignée de hauts fonctionnaires, de membres du gouvernement et jusqu’à l’Élysée, écrit le 17 mai 2022, trois semaines après le second tour de l’élection présidentielle. Emmanuel Macron est alors réélu, les élections législatives sont déjà en ligne de mire et Jean-Luc Mélenchon se rêve en Premier ministre.
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Algérie : Macron rouvre le musée des horreurs
L’écrivain Jean-Marie Rouart, de l’Académie française, juge naïve et très dangereuse la décision du chef de l’Etat, qu’il a annoncé à Alger conjointement avec son homologue algérien, d’une commission mixte d’historiens pour étudier l’histoire de la colonisation française et la guerre d’Algérie. Une fois de plus, Macron montre qu’il n’a aucune conscience historique, aucune vision à l’heure même où la France connaît de sérieux problèmes. A instrumentaliser ainsi l’histoire – et en reportant l’hier à aujourd’hui - Macron donne de formidables éléments de propagande aux islamistes et à leurs prédicateurs. Macron mélange tout et fait montre une fois de plus que sa place n’est décidément pas celle où il se trouve.
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Source : Le Figaro 29/8/2022
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LE PRIX DE LA LIBERTÉ ? DE QUOI PARLE-T-ON ?
Entre deux sorties en “motomarine” autour de Brégençon, M. Macron a profité de la commémoration du débarquement en Provence pour débarquer à son tour sur un sol où il est étranger, celui de l’Histoire. Dans une imitation laborieuse de Churchill et sur un ton artificiellement théâtral, mais avec une pointe légère de Pétain pour rappeler aux Français de ne pas céder à la facilité, ce passager clandestin dans l’histoire de France a osé demander aux Français d'”accepter de payer le prix de la liberté et de nos valeurs ».
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Contre-enquêtes : L’attentat de la rue Copernic, fausses pistes et manigances
Le 3 octobre 1980, une bombe explose devant la synagogue de la rue Copernic, dans le XVIème arrondissement de Paris. Bilan : quatre morts et une quarantaine de blessés. L’extrême droite est immédiatement pointée du doigt, et des militants ainsi que des personnes assimilées à la mouvance sont violemment agressés. Le pouvoir politique oriente l’enquête vers les milieux nationalistes, bien que les Renseignements et la police doutent de leur implication. En effet, les informations qu’ils recueillent semblent indiquer une toute autre menace…
https://www.tvlibertes.com/contre-enquetes-lattentat-de-la-rue-copernic-fausses-pistes-et-manigances
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Les piscines et la justice sociale.
Dans le débat sur les efforts à faire pour affronter la double crise environnementale et sociale actuelle et pour entrer véritablement dans cette transition écologique qui, en fait, n’a que trop tardé, la question des piscines privées n’est pas qu’anecdotique, elle est d’abord symbolique, et l’on sait la force des symboles dans le combat politique et dans l’acceptation par les populations de la société elle-même et de son ordre, de ses exigences : que la justice sociale puisse sembler oubliée, et c’est le mécontentement et, même, la colère des classes sociales populaires, voire des classes moyennes déjà très fragilisées par leur déclassement contemporain qui n’est pas que matériel, mais existentiel (ce que ressentent les enseignants dont de récentes études évoquent une perte de 20 % de pouvoir d’achat en moins d’un quart de siècle, hors l’inflation des mois derniers, mais surtout une perte de la reconnaissance sociale et de l’autorité afférente). Ce n’est pas le fait que des populations plus aisées que le commun des Français se fassent construire des piscines qu’elles réservent à leur parentèle et à leurs amis qui est le plus choquant, même si cela peut agacer, en particulier quand elles sont creusées à quelques dizaines de mètres de la plage ou de la mer, dans une volonté de « séparatisme des riches » qui est de plus en plus la marque d’un refus du vivre-ensemble social et de l’unité de la société française.
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« Fin de l’abondance » ou fin des contre-vérités ? L’économiste Marc Touati dénonce le retour de bâton du « quoi qu’il en coûte »
De l’éternel slogan « Faut prendre l’argent là où il est » (dixit Georges Marchais) au « quoi qu’il en coûte » d’Emmanuel Macron, on a dès le berceau ancré dans le cerveau des Français (et de tous ceux qui affluent sur notre sol) que les réserves de l’État sont sans limites.
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Ami ou ennemi
Il s'est évidemment passé beaucoup d'événements dans le vaste monde en ces mois d'été. Et reprenant la plume, votre chroniqueur ne saurait prétendre les synthétiser ce matin. Éclipsé par l'actualité mondiale, le débat interne du parti conservateur britannique n'a guère passionné les Français et on peut le regretter. Car, dès le début on avait pu constater que nous nous trouvions en présence d'une "campagne résolument de droite". Nos amis et lecteurs peuvent se reporter sur ce sujet à notre chronique (cf. L'Insolent du 23 juillet https://www.insolent.fr/2022/07/une-campagne-resolument-de-droite.htm). Les idées avancées par les deux derniers rivaux en piste, Liz Truss et Rishi Sunak, à l'effet de surenchère près, ne diffèrent pas énormément, vu de ce côté-ci de la Manche. Rien à voir, par conséquent, avec notre funeste politique française au sein de laquelle, dans la tradition de la IIIe république, il conviendrait toujours de "tomber à gauche".
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Soupçons d’emploi fictif au sein du Canard enchaîné
L’hebdomadaire qui a fait tomber François Fillon aurait-il commis le même écart ? Un journaliste de la rédaction a dénoncé un emploi fictif au sein de la rédaction. La compagne d’un dessinateur aurait été rémunérée par l’hebdomadaire, sans y avoir travaillé.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour “abus de biens sociaux” et “recel”. Christophe Nobili, l’un des auteurs de l’enquête sur les emplois fictifs du couple Fillon, a mis au jour la présence dans les effectifs du Canard Enchaîné d’une salariée qu’il ne connaissait pas, et qui s’est révélée être la compagne d’un dessinateur de l’hebdomadaire.
https://www.lesalonbeige.fr/soupcons-demploi-fictif-au-sein-du-canard-enchaine/