
Communiqué de la Marche pour la vie :


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Communiqué de la Marche pour la vie :
Le mot « antisémitisme » ne peut s'appliquer sans confusion ni anachronisme aux attitudes et aux conduites antijuives observables dans l'Antiquité gréco-romaine ainsi que dans le monde christiano-européen d'avant le milieu du XIXe siècle. Il y a eu une judéophobie antique et un antijudaïsme religieux. Contrairement à l'antijudaïsme, qu'il soit populaire ou théologico-religieux, l'antisémitisme tel qu'il est observable à partir du début des années 1880 en Allemagne, puis quelques années plus tard en France, se présente comme une vision du monde ou une idéologie politique à part entière, un système de représentations et de croyances qui remplit une fonction cognitive expliquer les malheurs du genre humain en les attribuant à une cause diabolisée : « le Juif », incarnant une « race » dangereuse (et une fonction mobilisatrice (inciter à combattre les Juifs et leur « influence » polymorphe).
Alors que le gouvernement, par la voix du ministre de la santé Olivier Véran, met en place de nouvelles restrictions drastiques pour tout un pan de l’économie française en décrétant la fermeture totale des bars et restaurants à Aix-Marseille ainsi que la fermeture des salles de sport à partir de lundi dans les zones d’alertes renforcées, soit dans plus d’une dizaine de grandes villes françaises, et pour la vie sociale des Français, au micro d’Europe 1 le ministre de la santé, Roxana Maracineanu avoue que :
« Les décisions, aujourd’hui, ne sont pas prises en fonction d’une réalité qui serait celle de la circulation du virus, mais pour dire qu’il faut continuer à être disciplinés comme vous l’êtes. »
Pierre-André Taguieff est depuis plusieurs décennies, le spécialiste incontesté des questions liées au racisme et à l’antiracisme. Nous l’avons interrogé à la fois sur son œuvre immense et sur les évolutions qu’il a très tôt perçues, des thématiques racistes, antiracistes et antisémites, il n'y a pas d'éclaireurs plus pertinent en France sur tous ces sujets. Cet entretien relativement complet, forme une belle introduction à son œuvre. Nous l’en remercions.
Propos recueillis par l'abbé G. de Tanoüarn
En choisissant le racisme comme principal sujet d'études depuis la publication de La Force du préjugé en 1988, vous avez décidé de « penser l'impensable ». Quelle est votre première intuition, celle autour de laquelle, comme dit Bergson, un écrivain tourne toute sa vie ?
C'est une question fondamentale plutôt qu'une intuition directrice, disons la question de l’identité, et qui peut se formuler deux manières. Tout d'abord, comme une interrogation inquiète sur moi-même, en évitant l’écueil du narcissisme : qui suis-je ? Ensuite, sous la forme de la quatrième question kantienne : qu’est-ce que l'homme ? Ou : qui sommes-nous ? On ne saurait répondre directement à de telles questions, qui s'entrecroisent en se présupposant l’une l'autre.
En région parisienne, le nombre d’interpellations de jeunes migrants délinquants pour des cambriolages et vols est en forte hausse. Les autorités veulent s’attaquer aux donneurs d’ordre qui pilotent ces ados toxicomanes, accros aux médicaments. Enquête.
Depuis début 2020, 6309 mineurs étrangers ont été interpellés dans l’agglomération parisienne (+ 42%)
Anouan, avec ses cheveux peroxydés, affirme avoir 14 ans. Il a été arrêté début septembre, en pleine nuit, dans la boutique d’un fleuriste de Plaisir (Yvelines), avec deux complices de 11 et 12 ans. Mais les tests radiologiques réalisés sur ses os à l’institut médico-légal de Garches (Hauts-de-Seine) lui en donnent 19. C’est ce qui a permis aux juges du tribunal correctionnel de Versailles de le condamner à 18 mois de prison ferme le 8 septembre. « Je vole pour le compte de deux Algériens qui me donnent des médicaments », a assuré le faux mineur devant les juges.
Les chiffres d’une crise nationale
Il est ainsi fait que la gravité d’une crise est proportionnelle à sa capacité à révéler les maux d’un système aux yeux du plus grand nombre. Alors que les cris du personnel qui le fait vivre au quotidien ne semblaient suffire à alerter sur la lente agonie de l’hôpital public français, la pandémie actuelle inverse les tendances. Il est donc d’intérêt général de s’intéresser aux raisons de ce déclin, que l’on peut résumer sous le terme général de guerre des finances.
Posons le diagnostic et surtout, veillons à ne pas retomber dans la passivité une fois la crise passée ; car « Les pires lieux des enfers sont réservés aux indécis qui restent neutres en temps de crise morale » .
En France, sur plus de 3 000 établissements de santé, 1 376 sont des hôpitaux publics. Ils ne représentent que 45% des établissements mais offrent encore plus de 61% des lits en hospitalisation complète et 55% des lits en hospitalisation courte [5]. “Encore” car, depuis plusieurs décennies, nos précieux hôpitaux publics sont soumis à des pressions économiques dantesques, qui influent aussi bien sur la qualité des soins que sur la pénibilité du travail hospitalier.
Libertés dont la diffusion était prévue pour jeudi soir est décalée en raison d'un changement dans l'emploi du temps de notre invité, Jean-Marie Le Pen.
Mais, rassurez-vous, ce n'est que partie remise. Cette émission de rentrée, consacrée au lancement de l'Institut Jean-Marie Le Pen, passera le 7 octobre. Encore un peu de patience...
M. Véran, ministre perpétuellement énervé, a tenté de justifier son annonce de la fermeture des cafés et des restaurants de la métropole marseillaise faite le 24 septembre et sans concertation aucune par une « étude » aux USA qui aurait démontré qu’aller dans un bar ou un restaurant multipliait par quatre le risque d’attraper le COVID (M.Castex, le même jour, parlait d’un risque multiplié par trois ce qui démontre tout le professionnalisme de ce gouvernement).
Une étude aux USA ? Le Figaro, dans un article du 25 septembre, essayait de décortiquer un article effectivement paru aux Etats-Unis le 11 septembre (pour une étude réalisée en juillet) et qui donc aurait bien pu être l’élément déclencheur cité allusivement par M.Véran. Cet article essaie avec bonne volonté d’interpréter les résultats graphiques de l’étude américaine (tout en confondant l’axe des abscisses et celui des ordonnées…).