
La presse régionale et nationale se fait l’écho des dizaines de manifestations organisées aujourd’hui dans toute la France contre le projet de loi ni bio ni éthique :
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La presse régionale et nationale se fait l’écho des dizaines de manifestations organisées aujourd’hui dans toute la France contre le projet de loi ni bio ni éthique :
Alors que la violente émeute perpétrée samedi soir à Rillieux-la-Pape par plusieurs dizaines de voyous ethniques encagoulés et armés venus des cités voisines islamisées ciblait très clairement les chrétiens et les représentants de l’autorité de l’Etat français, les grands médias, surtout audiovisuels, font aujourd’hui tout leur possible pour minimiser cette affaire et présenter ce véritable « acte de guerre » contre la France et les Français de souche comme un banal fait divers !
Nicolas Gauthier
En finir avec l’élevage intensif et les mauvais traitements infligés à nos amies les bêtes ? On a connu idée plus saugrenue. D’ailleurs, Cédric Villani (député ex-macroniste) et Matthieu Orphelin (député écologiste) ne pensent pas forcément à mal avec leur proposition de loi relative au « bien-être animal ». Mais ils ont juste négligé ce petit détail : éleveur, c’est un métier.
Ainsi est-il question d’interdire de confiner les animaux dans des cages, hangars, boxes et autres stalles. Sans surprise, du côté de la FNSEA, syndicat ayant plutôt tendance à prôner agriculture et élevage intensifs, ça freine des quatre fers : « À la lecture de leur texte, nous leur avons fait part de leur grande incompétence par rapport à l’ensemble des mesures qu’ils proposent pour l’élevage », affirme le vice-président Étienne Gangneron, cité par Le Figaro du 8 octobre dernier.
Dans balance ton poste du 8 octobre 2020, Jean Messiha (RN) explique le lien entre l’immigration et l’insécurité.
https://www.tvlibertes.com/actus/jean-messiha-il-y-a-un-lien-entre-limmigration-et-linsecurite-video
Le 2 octobre, M.Macron a prononcé aux Mureaux (quartier emblématique du merveilleux «vivre-ensemble» chanté sur tous les tons par nos chers dirigeants) un important discours sur le «séparatisme».
J’ai déjà dit que le mot «séparatisme» me semblait particulièrement inadéquat pour définir le problème que l’islam pose à la France: l’objectif ultime des islamistes n’est pas de régner sur des quartiers où la loi française ne s’appliquerait plus (c’est déjà le cas dans plusieurs centaines de quartiers «sensibles»), mais de soumettre tout le territoire français à la charia.
Cela fait maintenant plusieurs décennies que la France a un problème islamique, mais les dirigeants font mine de ne pas comprendre.
Face à la crise mondiale, les États sont devenus à la fois des remparts et les garants du maintien de l'ordre économique et social. Mais ne risquent-ils pas d'être exagérément fragilisés par la récession, les faillites d'entreprises et l'augmentation du chômage, qui viennent s'ajouter à un endettement souvent excessif ? La question, qui semblait encore Incongrue l'été dernier, peut désormais se poser : la faillite de l’État lui-même est-elle possible ?
Le 16 avril 2009, l'Agence France Trésor (AFT), organisme chargé de la gestion de la dette de l’État français, a procédé à l'adjudication de 8,57 milliards d'euros de titres de dette. Ce montant, en apparence considérable, est en réalité une opération courante dans la gestion de la dette française : l'AFT émet régulièrement des titres de dette de la France sur les marchés financiers ainsi, l’État français a emprunté 59,9 milliards d’euros depuis le 1er janvier 2009
I. Qu'est ce que la dette publique ?
Cette somme parait presque anecdotique, comparée au montant total de la dette publique française, estimée par l'Insee à 1327,1 milliards d'euros au quatrième trimestre 2008, et répartie comme suit
- 86,3 % pour l’État et organismes d'administrations centrales,
- 11,1 % pour les collectivités territoriales,
- 2,6% pour les organismes de Sécurité Sociale.
En 2007 François Fillon déclarait qu'il était « à la tête d'un État qui est en situation de faillite sur le plan financier ».
La France ressemble de plus en plus à un navire dont le commandant et les officiers s’obstinent à suivre un cap suicidaire, droit sur le récifs, et font régner à bord une discipline de plus en plus sévère et absurde tandis que les passagers se partagent entre soumission et révolte, mais toujours sans penser au bateau, uniquement à leurs peurs intimes et à leurs intérêts personnels. Notre pays continue à ouvrir ses portes à une immigration dont on pèse désormais le coût, non seulement sur la dépense publique, sociale, médicale, et sécuritaire, mais aussi et surtout de manière plus qualitative sur la dégradation de notre cohésion nationale. Et cette politique migratoire irresponsable s’inscrit dans une double perspective, progressiste, qui fait de l’immigration un devoir, et mondialiste qui fonde le progrès sur l’ouverture à tous les échanges, de biens, de services et d’individus.
Source Breizh-info.com cliquez ici
Nous relations hier les menaces, les tags visant la Librairie Les Deux Cités, qui vient d’ouvrir à Nancy. La municipalité n’a pas dénoncé clairement les agissements des « antifas » qui s’attaquent à la liberté d’entreprendre. De notre côté, nous nous sommes entretenus avec les gérants, qui n’entendent pas baisser la tête, bien au contraire.
Breizh-info.com : Pouvez vous vous présenter à nos lecteurs ?
À la suite de débats houleux, les députés ont voté, le jeudi 8 octobre, en première lecture par 102 voix contre 65, pour l’allongement du délai légal de 12 à 14 semaines de grossesse pour recourir à l’avortement. Le texte prévoit également de supprimer la double clause de conscience pour les médecins.
De nombreuses voix s’élèvent contre ce texte. Reportage.