France et politique française - Page 1281
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Pr Tousssaint / Coralie Dubost, la compagne de Véran va regretter d'être venue
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La dette migratoire : cette bombe à fragmentation…
Depuis la crise de 2008-2009, la France, comme d’autres pays, s’inquiète de son niveau d’endettement public. Il a effectivement explosé sous la pression de nos déficits, devenus hors de contrôle, passant de l’étiage de 60 % à plus de 90 %, à la fin de l’ère Sarkozy, chiffre que Hollande n’a pas pu faire baisser par la suite. Le brillant technocrate, qu’une majorité a élu en 2017 avec la promesse d’une réduction de ce fardeau, l’a gaillardement porté à environ 100 %. La pandémie du Covid-19 a refait « péter les compteurs » et va nous emmener aux alentours de 120 % de dette sur PIB. On nous rassure : « Ce n’est pas très grave, cela ne coûte rien puisque les taux d’intérêts sont à 0 %. » Et on va même jusqu’à nous assurer que dès que la crise sera terminée, on s’emploiera à réduire notre dette publique.
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Rousseau, un révolutionnaire conservateur ? 1/3
« Ce batteur d'estrade », s'écriait Charles Maurras. Depuis trois siècles, la droite convoque l'auteur du Contrat social au tribunal de l'histoire Au-delà des déformations et des incompréhensions, Alain de Benoist nous invite à une salutaire relecture d'un des penseurs politiques les plus importants des temps modernes.
Hobbes dit que l'état de nature était une sorte d'enfer, et que l'avènement du Léviathan lui a substitué une manière de paradis. Rousseau croit le contraire : la guerre de tous contre tous dont Hobbes faisait le trait dominant de l'état de nature correspond bien plus exactement à la société qu'il a sous les yeux, où chacun est devenu le rival et potentiellement l'ennemi de tous. Le point de départ du raisonnement de Rousseau tient tout entier dans ce constat que dans la société moderne l'homme est tout à la fois méchant et malheureux. « Or, il n'est pas naturel à l'homme d'être méchant et malheureux. Cette société est donc contre nature » (Pierre Manent). Il faut alors savoir comment l'homme moderne a été « dénaturé » et comment il pourrait se réapproprier son propre. Telle est la grande préoccupation de Rousseau, d'où il va tirer sa propre conception du contrat social et sa métaphore de l'« homme naturel ».
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Covid-19 : Macron vers le reconfinement forcé ? – JT du mardi 29 septembre 2020
Dans l’actualité ce soir, le petit vent d’autoritarisme souffle de plus en plus fort sur le pays. Avec le Covid-19, le gouvernement continue sur sa lancée en multipliant les décisions incohérentes et de plus en plus de commentateurs évoquent la possibilité d’un reconfinement…
Egalement au programme de cette édition, nous sommes allés enquêter dans les bidonvilles qui fleurissent un peu partout à Paris.
Et puis une page internationale avec un conflit armé aux portes de l’Union européenne. Depuis dimanche, les tensions anciennes entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan sont ravivées autour de la question du Haut-Karabakh.
https://www.tvlibertes.com/covid-19-macron-vers-le-reconfinement-force-jt-du-mardi-29-septembre-2020
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Sur Front Populaire, je suis noire et je ne suis pas une victime.
Forte de son vécu et de son expérience, Stella Kamnga est venu pousser un coup de gueule sur la gestion hypocrite de certains élus de banlieue qui assignent explicitement les Français d'origine immigrée dans une posture de victime éternelle.
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Attentats et agressions commis par des étrangers en situation irrégulière : le 5e pouvoir des médias aux abonnés absents
Vendredi 25 septembre, un Pakistanais de « 18 ans » a agressé au couteau deux personnes à proximité du bâtiment où travaillait l’équipe de Charlie hebdo, en plein centre de Paris. Selon les premiers éléments de l’enquête, l’auteur de l’attentat était en situation irrégulière en France. La revue de presse de la couverture médiatique de cette agression et du phénomène plus général du terrorisme et de la délinquance des étrangers en situation irrégulière aboutit au constat que le 5e pouvoir des médias est trop souvent aux abonnés absents à ce sujet.
Cinquième pouvoir ?
Les médias ont un rôle éminemment important dans la société. On prête au journaliste Ignacio Ramonet la création du terme « cinquième pouvoir ». Le collaborateur du Monde diplomatique désignait avec celui-ci le pouvoir qu’ont les médias, grâce à leur rôle d’aiguillon dans l’opinion publique et la classe politique. Un pouvoir qui leur permet de lancer des débats voire de pousser les pouvoirs publics à prendre des mesures de bon sens. La couverture médiatique de récents attentats et agressions commis par des étrangers en situation irrégulière nous montre que, dans les médias de grand chemin, l’heure est souvent à la résignation et non à susciter la recherche de solutions pour protéger efficacement les citoyens.
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Covid-19 : bientôt la révolte ? – JT du lundi 28 septembre 2020
Au sommaire de l’actualité de ce soir, retour sur les dernières décisions du gouvernement relatives au Covid-19. Alors que les restaurants et bars de nombreuses villes ont été contraints de fermer, la France fait toujours les frais de dysfonctionnements importants. Depuis plus de 8 mois, l’exécutif enchaîne les décisions contradictoires et suscite de plus en plus de défiance dans la population.
Également dans cette édition, Nicolas Dupont-Aignan rempile pour 2022. Samedi, lors de son grand meeting de rentrée, le président de Debout la France a annoncé sa candidature pour la prochaine élection présidentielle.
Et puis nous reviendrons également sur le résultat des élections sénatoriales. Un scrutin qui s’est déroulé en toute discrétion et où les partis traditionnels ont tiré leur épingle du jeu.
https://www.tvlibertes.com/covid-19-bientot-la-revolte-jt-du-lundi-28-septembre-2020
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Terrorisme musulman ? Ils découvrent, vraiment ?
A en croire les déclarations de l’actuel ministre de l’Intérieur, Darmanin, et de Valls, qui occupa cette fonction de 2012 à 2014, le terrorisme musulman serait « maintenant » une réalité. En effet, dimanche 27 septembre 2020, en déplacement dans une synagogue, Darmanin déclarait sur LCI que « nous sommes toujours en guerre, que nous devons gagner cette guerre et que chacun doit être vigilant ». Le mot « guerre » revient beaucoup avec cet exécutif, peut-être désireux de sidérer la population. Darmanin insistait : « … nous sommes en guerre contre le terrorisme islamique et peut-être que nous l’avons collectivement mis derrière nous », pour préciser ensuite que ses services « ont su intervenir […] une fois par mois en moyenne pour un attentat déjoué ». Est-il conscient de l’horreur de cette déclaration ? Donc, en France, la religion musulmane menace mensuellement de tuer. Darmanin indique aussi que « le gouvernement n’a pas baissé la garde », répondant ainsi aux propos tenus la veille par Valls, selon qui « c’est toute la société française qui est placée par les djihadistes comme cible prioritaire ». Pour l’ancien Premier ministre, « la société s’est relâchée, nous nous sommes habitués à la violence ou à un antisémitisme virulent… ». Il appelle à « un sursaut », affirmant que « l’ennemi, c’est l’islamisme, le salafisme, les Frères musulmans, cet islam politique qui est un nouveau fascisme ». Il demande que l’on cesse « de s’excuser d’être Français et républicain ». En somme, ce que réclame la droite authentique depuis plus de 25 ans.
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De grands ancêtres politiquement très incorrects
« Il conviendra de refouler impitoyablement tout étranger qui cherchera à s'introduire sans passeport ou titre de transport valable » Dérapage de Jean-Marie Le Pen ? Non, il s'agit d'une consigne donnée en 1937 par Marx Dormoy, ministre de l'Intérieur du Front populaire.
« Il faut limiter, sur le plan ethnique, l'afflux des Méditerranéens et des orientaux », « priorité aux naturalisations nordiques », puis aussi « C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns […], mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » Confidence imprudente de Philippe de Villiers ? Vous n'y êtes pas : ces propos ont été tenus par Charles De Gaulle, en 1945 et 1959.
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Grand Remplacement : La preuve par les prénoms, par Franck Deletraz
N’en déplaise à tous ceux qui, par pure idéologie ou par un aveuglement béat, s’obstinent à présenter le Grand Remplacement comme un prétendu « fantasme de l’extrême droite », les preuves de cette gigantesque substitution de population qui s’opère depuis des décennies dans notre pays aux dépens des Français de souche sont très loin de manquer. Au nombre de ces dernières figure notamment celle des prénoms attribués aux enfants, qui est doublement parlante : d’abord, parce qu’elle met en évidence le poids sans cesse croissant des enfants issus de l’immigration au sein de leur génération et de la population totale ; ensuite, parce que l’attribution d’un prénom étant devenu – comme l’a souligné Eric Zemmour – un « acte politique » et une « arme de conquête », elle montre l’absolu refus d’une part considérable de ces populations de s’assimiler au peuple français.