A en croire les déclarations de l’actuel ministre de l’Intérieur, Darmanin, et de Valls, qui occupa cette fonction de 2012 à 2014, le terrorisme musulman serait « maintenant » une réalité. En effet, dimanche 27 septembre 2020, en déplacement dans une synagogue, Darmanin déclarait sur LCI que « nous sommes toujours en guerre, que nous devons gagner cette guerre et que chacun doit être vigilant ». Le mot « guerre » revient beaucoup avec cet exécutif, peut-être désireux de sidérer la population. Darmanin insistait : « … nous sommes en guerre contre le terrorisme islamique et peut-être que nous l’avons collectivement mis derrière nous », pour préciser ensuite que ses services « ont su intervenir […] une fois par mois en moyenne pour un attentat déjoué ». Est-il conscient de l’horreur de cette déclaration ? Donc, en France, la religion musulmane menace mensuellement de tuer. Darmanin indique aussi que « le gouvernement n’a pas baissé la garde », répondant ainsi aux propos tenus la veille par Valls, selon qui « c’est toute la société française qui est placée par les djihadistes comme cible prioritaire ». Pour l’ancien Premier ministre, « la société s’est relâchée, nous nous sommes habitués à la violence ou à un antisémitisme virulent… ». Il appelle à « un sursaut », affirmant que « l’ennemi, c’est l’islamisme, le salafisme, les Frères musulmans, cet islam politique qui est un nouveau fascisme ». Il demande que l’on cesse « de s’excuser d’être Français et républicain ». En somme, ce que réclame la droite authentique depuis plus de 25 ans.
France et politique française - Page 1281
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Terrorisme musulman ? Ils découvrent, vraiment ?
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De grands ancêtres politiquement très incorrects
« Il conviendra de refouler impitoyablement tout étranger qui cherchera à s'introduire sans passeport ou titre de transport valable » Dérapage de Jean-Marie Le Pen ? Non, il s'agit d'une consigne donnée en 1937 par Marx Dormoy, ministre de l'Intérieur du Front populaire.
« Il faut limiter, sur le plan ethnique, l'afflux des Méditerranéens et des orientaux », « priorité aux naturalisations nordiques », puis aussi « C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns […], mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » Confidence imprudente de Philippe de Villiers ? Vous n'y êtes pas : ces propos ont été tenus par Charles De Gaulle, en 1945 et 1959.
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Grand Remplacement : La preuve par les prénoms, par Franck Deletraz
N’en déplaise à tous ceux qui, par pure idéologie ou par un aveuglement béat, s’obstinent à présenter le Grand Remplacement comme un prétendu « fantasme de l’extrême droite », les preuves de cette gigantesque substitution de population qui s’opère depuis des décennies dans notre pays aux dépens des Français de souche sont très loin de manquer. Au nombre de ces dernières figure notamment celle des prénoms attribués aux enfants, qui est doublement parlante : d’abord, parce qu’elle met en évidence le poids sans cesse croissant des enfants issus de l’immigration au sein de leur génération et de la population totale ; ensuite, parce que l’attribution d’un prénom étant devenu – comme l’a souligné Eric Zemmour – un « acte politique » et une « arme de conquête », elle montre l’absolu refus d’une part considérable de ces populations de s’assimiler au peuple français.
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Des élections sénatoriales dans l’indifférence total
Les élections sénatoriales se sont déroulées dans l’indifférence la plus totale des Français. Dans la Ve République, l’exécutif l’emporte sur le législatif. Celui-ci n’existe que dans la mesure où il y a cohabitation et lorsque la majorité de l’Assemblée nationale soutient un gouvernement opposé au président de la République. Le quinquennat et l’élection des députés dans la foulée de celle du Président ont fermé cette hypothèse pour donner systématiquement au chef de l’État des majorités introuvables. Et cette fois, elle est à peine croyable par son mélange d’incompétence et de soumission. L’Assemblée vidée de son rôle de contrôle du gouvernement, comme l’ont montré les commissions d’enquête dirigées depuis l’Élysée, le Sénat, dont le rôle est marginal depuis 1959, incarne une opposition limitée dans la forme et presque nulle sur le fond. Certes, il peut bloquer toute modification parlementaire de la Constitution, mais ne peut que freiner les lois voulues par le pouvoir et par la majorité de l’Assemblée nationale qui finissent par s’imposer au bout de la « navette ».
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Sur Sud Radio, Fabien Roussel - "Pourquoi on peut s'entasser dans un TER mais pas dans un café ?".
Fabien Roussel, député du Nord et secrétaire national du Parti Communiste Français, est l'invité politique du Grand Matin Sud Radio.
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Après les autoroutes, la privatisation des nationales.
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Léa Salamé veut imiter Pascal Praud ? Ce n’est pas gagné…
Autrefois, les pieuses dames patronnesses se retrouvaient à l’heure du thé, et devisaient un peu tristement en secouant la tête sur les péchés du temps – le sujet du dernier prêche du curé – les turpitudes dans lesquelles tombaient leurs pauvres, bien qu’elles les exhortassent à la vertu. C’était parfois décourageant.
Aujourd’hui, ce n’est plus dans un fauteuil Napoléon III mais au micro rouge – au propre comme au figuré – de France Inter que les mêmes, aux allures un peu plus punk, 2020 oblige, se lamentent. Leur curé à elles, c’est Daniel Schneidermann ou autre figure longue comme un vendredi Saint de la gauche morale, et Dieu sait s’il y a du monde qui se bouscule depuis des dizaines d’années dans ces séminaires. Léa Salamé et Sonia Devillers – journaliste de France Inter dont la passion est la « fachosphère », elle en collectionne les déclarations, les saillies, les bad buzz, les pensées et les arrière-pensées… à chacun ses hobbies, mais il y en a qui ont été invités à dîner un mercredi pour moins que ça – cherchent une solution pour retenir leurs gens, ceux que leurs certitudes hautaines, leur mépris bienveillant (ou pas), et tous leurs discours déconnectés poussent vers… CNEWS. Elles s’imaginaient peut-être naïvement qu’ils leur appartenaient de droit, qu’ils avaient signé – d’une croix – quelque-part, ou qu’ils leur devaient une reconnaissance éternelle pour leur apporter tous les matins, dans les médias du service public, leur petit panier plein d’idées toutes faites, mitonnées par leur soin, de politiquement correct tricoté tout l’hiver de leurs blanches mains pour tenir chaud au cerveau.
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Le troisième homme, par Stéphane Blanchonnet.
Il y a dans l‘air comme l’odeur d’une fin de règne pour la Macronie. La prochaine présidentielle a déjà commencé. La France est à la croisée des chemins. Va-t-elle renouveler le bail de ces politiciens de gauche comme de droite, dont Macron est l’héritier, qui nous ont valu le déclassement économique et géopolitique, l’invasion migratoire, l’insécurité, le laxisme judiciaire, l’entretien de la mauvaise conscience et de la repentance, les délirantes mesures dites sociétales qui ont aggravé un délitement des structures familiales qu’il aurait plutôt fallu freiner ?
Ou bien va-t-elle au contraire braver les interdits moraux que des esprits intéressés à la perpétuation de leur propre domination ont dressés contre le vote Le Pen, et enfin « renverser la table » ? Le second terme de l’alternative a bien sûr ma préférence.
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Dictature sanitaire ?, par Clément Martin (Les Identitaires)
« Dictature sanitaire ». L’expression fleurit sur les réseaux sociaux et Internet, au sujet des mesures prises par le gouvernement dans le cadre de l’épidémie de Sras-Cov-2 (dite « Covid-19 »). Partout les mêmes témoignages : un jeune homme verbalisé par des policiers en civil dans le métro pour avoir ôté son masque le temps de manger une friandise, contrôles de bars et restaurants accompagnés d’un homme en arme à l’entrée, etc. Et puis, bien sûr, il faut évoquer la pression mise par les Français eux-mêmes sur leurs compatriotes, devançant les attentes du gouvernement.
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La déchirure française…
Les élections sénatoriales se sont déroulées hier dans l’indifférence la plus totale des Français. Dans la Ve République, l’exécutif l’emporte sur le législatif. Celui-ci n’existe que dans la mesure où il y a cohabitation et lorsque la majorité de l’Assemblée nationale soutient un gouvernement opposé au Président de la République. Le quinquennat et l’élection des députés dans la foulée de celle du Président a fermé cette hypothèse pour donner systématiquement au Chef de l’Etat des majorités introuvables. Et cette fois, elle est à peine croyable par son mélange d’incompétence et de soumission. L’Assemblée vidée de son rôle de contrôle du gouvernement comme l’ont montré les commissions d’enquête dirigées depuis l’Elysée, le Sénat dont le rôle est marginal depuis 1959, incarne une opposition limitée dans la forme et presque nulle sur le fond.