France et politique française - Page 1334
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Virus - ça suffit!
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7,2 milliards d’euros: en moins de dix ans, les subventions de l’État aux associations ont été multipliées par cinq
Par Maxime Perrotin
Jamais autant d’argent n’avait été distribué par l’État français aux structures associatives. Leur nombre a sensiblement augmenté depuis plusieurs années, contribuant à faire exploser la note pour le contribuable. Gabegie ou réelle utilité publique? Analyse.
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Aix-en-Provence : huit clandestins interpellés dans la remorque d’un camion puis relâchés
Huit migrants ont été découverts, ce 8 août, dans un poids lourd sur l’autoroute A8.
Des bruits suspects provenant de la remorque
Le conducteur, de nationalité russe, circulant dans un véhicule lituanien entre l’Italie et l’Espagne, s’était arrêté pour dormir sur l’aire de repos de Rousset, près d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), précise Le Parisien.
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Tout le monde il est beau, tout le monde il est de gauche, par Guy Daniel.
Manifestation contre Christophe Giared, Paris, juillet 2020. Auteurs : ACCORSINI JEANNE/SIPA. Numéro de reportage : 00974069_000004
Source : https://www.causeur.fr/
La gauche, dont les Verts sont le nouveau centre de gravité, incarne la conviction d’incarner le Bien, le Beau et le Vrai. Qui oserait en douter ?
« J’adorerais être de gauche, c’est un souhait. Mais je trouve que c’est tellement élevé comme vertu que j’y ai renoncé […] Quand t’es de gauche, c’est l’excellence : le génie moral, le génie de l’entraide. C’est trop de boulot. »
Une fois lue cette émouvante déclaration de Fabrice Luchini, on se prend nous aussi à regretter de n’avoir pu nous hisser à ces hauteurs vertigineuses. Mais très heureusement, cela ne dure que le temps de faire un tour d’horizon de ce qu’est, de nos jours, la gauche.
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La République et la Question ouvrière : IV. Les Syndicats domestiqués
IV. Les Syndicats domestiqués
Quelque haine sanglante que M. Clemenceau ait vouée à la Confédération générale du Travail, il ne la dissout point ; s'il s'arrange pour qu'on lui en prête le désir, il n'y viendra qu'à la dernière extrémité. La facilité relative de l'opération, son éclat même ne le tentent point. Personne ne croira que l'objection légale l'arrête. L'influence Viviani ? L'influence Briand ? Ces messieurs ont les mêmes intérêts que lui dans l'affaire.
Quelque haine sanglante que M. Clemenceau ait vouée à la Confédération générale du Travail, il ne la dissout point ; s'il s'arrange pour qu'on lui en prête le désir, il n'y viendra qu'à la dernière extrémité. La facilité relative de l'opération, son éclat même ne le tentent point. Personne ne croira que l'objection légale l'arrête. L'influence Viviani ? L'influence Briand ? Ces messieurs ont les mêmes intérêts que lui dans l'affaire.
M. Clemenceau ne dissout pas la Confédération parce que, cet organisme prolétarien qui lui cause aujourd'hui une gêne cruelle, il compte bien l'utiliser dès qu'il sera sûr de l'avoir en main. Il ne lui serait pas facile de reforger à neuf un instrument révolutionnaire de cette précision, de cette portée, de cette puissance. En se bornant à lui donner des chefs plus dociles, il tiendra le plus merveilleux outil de domination politico-sociale qui se puisse rêver.
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“French Lives Matters” : cette carte recense les attaques perpétrées contre des Français
Les auteurs expliquent :
« Si les “bavures policières” ou les “actes islamophobes” sont comptabilisés, sur-médiatisés et intensément exploités, personne ne s’intéresse aux victimes françaises ou plus largement n’appartenant à aucune minorité. C’est pourquoi le collectif #FrenchLivesMatter a décidé de trier, cartographier et comptabiliser les victimes de ces crimes, en commençant par les plus emblématiques d’entre-eux »
Les Français doivent désormais se défendre tous seuls, comme des grands.
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Vous avez dit complot ? “Fake news” ? Bruno Gollnisch plonge un député LREM dans l’embarras
C'était le 16 mai 2018...
Le blog de Bruno Gollnisch cliquez ici
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Sans l’histoire de Clovis, pas de sentiment national
En juillet 2010 se tenait la XIXe université d’été de Renaissance catholique, ayant pour thème l’identité nationale.
À l’occasion des 10 ans de cet événement, Boulevard Voltaire publie durant l’été, avec l’autorisation de Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance catholique, des extraits des actes du colloque dont le sujet demeure plus que jamais d’actualité.
Aujourd’hui, l’intervention d’Hilaire de Crémiers, fondateur du mensuel Politique Magazine et coauteur, en 2018, de l’ouvrage collectif Regards sur Maurras.
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Zemmour : « On ne s’en rend pas compte, mais ce sont les immigrés eux-mêmes qui décident des immigrés qui viennent ou non en France »
Dans la troisième et dernière partie de son entretien-fleuve, Eric Zemmour revient sur la “guerre de civilisation” qui divise aujourd’hui la France, les problèmes liés à l’immigration en France et le futur de la démocratie à l’européenne.
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La République et la Question ouvrière 3/3
III. Liberté d'esprit
Ainsi, c'est la Confédération générale du Travail qui a tort, c'est le syndicalisme qui, d'un bout à l'autre de la presse parisienne, reçoit les réprimandes après avoir reçu les coups : qu'on soit opportuniste ou radical, nationaliste ou conservateur, c'est le travailleur organisé, c'est l'organisation ouvrière que l'on rabroue ! Dans cette unanimité touchante, il n'y a guère qu'une exception. Elle est royaliste. Nous en sommes fiers.
Tout esprit soucieux de l'honneur ou du bon renom de sa corporation, de son parti, de son pays serait certainement heureux de pouvoir effacer de l'histoire de la presse française la plupart des appréciations émises les jeudi, vendredi, samedi, dimanche et lundi derniers à propos de la crise ouvrière que nous traversons. Les hommes les plus distingués, quelques-uns éminents, qui diffèrent extrêmement les uns et les autres par le caractère, la tendance politique, la situation personnelle et professionnelle, en sont venus à rédiger, somme toute, le même article. La tragique identité de leurs jugements résultait, avec évidence, de l'identité de leurs inquiétudes. La sensibilité aux intérêts primaires et privés engourdit la raison qui en conçoit de plus généraux et de plus lointains. Des hommes de premier ordre oublient donc les seuls mots qu'il serait juste, raisonnable, utile, nécessaire de prononcer :
— Pourquoi ? comment ? par qui ? par la faute de qui ?