France et politique française - Page 1635
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Bruno Bilde sur le naufrage de la politique régionale des transports !
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Conversations : Jean-François Gautier, un penseur incontournable (2ème partie)
Dans le cadre de l’émission « Conversations », Paul-Marie Coûteaux nous propose de partir à la découverte d’un personnage aux multiples facettes : Jean-François Gautier. Musicologue reconnu notamment pour son apport sur Palestrina et Debussy, Jean-François Gautier est aussi un penseur du GRECE, de la Nouvelle Droite qui représente un important courant de pensée en France. Acteur de la reconquête culturelle, Jean-François Gautier n’est pas seulement philosophe. Il est aussi un homme de sciences : il est un des fondateurs de l’étiopathie à laquelle il a consacré de nombreux ouvrages. Jean-François est plus qu’un touche à tout : il brille dans tout. C’est l’honneur de TVLibertés de vous mener à la rencontre de cette personnalité qui possède un regard éclairant sur les événements de ce monde. A voir Absolument !
https://www.tvlibertes.com/conversations-j-f-gautier-penseur-du-grece-2eme-partie
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Le scandale Matzneff éclabousse Christophe Girard, adjoint d’Anne Hidalgo et figure LGBT
Le New York Times a mené une enquête fouillée sur l’affaire Matzneff, mettant en lumière les protections dont il a bénéficié de la part du milieu LGBT. L’article s’interroge même sur une potentielle protection de l’Élysée, sous Mitterrand, dont aurait pu bénéficier Matzneff après avoir rappelé qu’en 1986, les policiers avaient déjà convoqué l’écrivain après avoir reçu des lettres anonymes qui ont affirmé qu’il vivait dans un hôtel avec une adolescente.
“Il s’était bien rendu au commissariat, mais avec un talisman en poche : un article très élogieux à son égard, signé par François Mitterrand, le président à l’époque. Ce dernier avait remarqué M. Matzneff vingt ans plus tôt, lors de la sortie de sa première collection d’essais, Le Défi”. “Cela lui a tellement plu qu’il l’a offert à ses fils qui devaient avoir 15, 16 ans… et il m’a invité à déjeuner ». “Le président a continué à fréquenter ce jeune écrivain prometteur dont il demeura admiratif, même après la parution des Moins de Seize ans (Léo Scheer, 1974)”.
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Deux mauvaises raisons de voter pour Macron et deux bonnes de voter contre
À l’approche des élections municipales, chacun est amené à examiner les critères de choix qui conditionneront sa vie quotidienne, à l’écart d’une « élite » bobo-parisienne déracinée.
À vouloir être d’accord avec tout le monde, Macron n’est Président de personne . « Ni pour, ni contre, bien au contraire » : cette citation d’un ancien candidat à la présidence qui ne se prenait pas au sérieux pourrait être sa devise, l’humour en moins (Coluche). Est-ce ce qu’on attend d’un président de la République ?
Or, on ne peut pas se plaindre indéfiniment des conséquences dont on soutient les causes. Face à deux mauvaises raisons qui expliquent une attirance aveugle et répandue pour Macron, apparence et activisme, deux bonnes raisons justifient son rejet des urnes : résistance et renaissance.
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La chute de la maison Griveaux, bien pire pour Macron que Benalla/Gilets jaunes/Retraites et Compagnie...
Ce quinquennat, c'est un long chemin de Croix, une lente agonie, une descente aux enfers... comparable - dans le pire et en inversé - aux espoirs fanfarons qu'avait suscités "le hold-up du siècle" et la prise de pouvoir par le jeune et sémillant Macron et son équipe d'extra terrestres qui marchaient sur l'eau (du moins le croyaient-ils...).
"On" lui fait aujourd'hui le coup de Fillon, mais à ses dépens cette fois-ci.
Qui, "on" ?
En voilà une bonne question !
Il est toujours risqué de promettre le "nouveau monde", de jurer qu'on ne fera plus jamais "comme hier" et autres fadaises et engagements plus faciles à promettre qu'à tenir : Griveaux, honteux et confus, jure maintenant, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendra plus...
Si on ne peut encore s'accorder sur la personne de ce "On", ce qui par contre est absolument certain c'est que la principale victime de ce retrait est... Emmanuel Macron !
(Dans la presse écrite et parlée, rapide résumé du retrait du candidat LaRem)
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Crime et délinquance : selon la Préfecture, «près de 50% des mis en cause» à Paris sont «de nationalité étrangère»
Selon les chiffres obtenus par Le Figaro, la part des étrangers mis en cause dans les faits de délinquance a littéralement explosé à Paris. Les infractions ont augmenté de 2 % dans le ressort de la préfecture de police de Paris (PP) en 2019, alors qu’elles ont diminué de 4,7 % « en province », dans les circonscriptions rattachées à la Direction centrale de la sécurité publique (DCSP).
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L’affaire Mila, ou les leçons de la “racaillisation” de la France
Le déferlement de haine et de menaces qui s’est abattu sur Mila après que quelques phrases de sa part ont été publiées sur les réseaux sociaux témoigne du renoncement de la France à défendre ses valeurs, estiment Jean Messiha et Frédéric Amoudru, ancien cadre d’une grande banque française.
Une jeune fille, comme des millions d’internautes, “tchate” sur Instagram et se livre à une foule d’anonymes. Une racaille s’en mêle et s’adonne à ce que tant de femmes et de jeunes filles doivent supporter dans l’espace public comme dans l’espace digital : les gauloiseries (si on peut encore utiliser ce termes sans être traité de raciste) et les réflexions salaces. Elle révèle son homosexualité et dit ne pas avoir envie de coucher avec un « renoi » ou « rebeu », ce qui est encore permis dans notre pays (mais pour combien de temps encore ?). S’ensuit une bordée d’injures homophobes et sexistes « au nom d’Allah ». Piquée au vif, la jeune fille contre-attaque et dit, en termes crûs, ce qu’elle pense de cette religion qu’on lui jette à la figure, alors que son tchat n’avait rien à voir avec les questions de foi.
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Fréjus : David Rachline (RN) l’emporterait dès le premier tour avec 51% face à l’alliance LR-LReM-Modem-EELV
Davis Rachline (RN) l’emporterait à Fréjus dans tous les cas de figure et une victoire au premier tour est même possible :
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François Bousquet : “Les antifas bénéficient d’un sentiment d’impunité et d’une complicité des médias”
À Toulouse ce 12 février, des dizaines de militants d’extrême-gauche particulièrement violents, ont tenté d’empêcher la tenue d’une conférence de François Bousquet et Robert Ménard, le maire de Béziers. Les antifas ont jeté des projectiles vers la salle et sur le service d’ordre qui devait sécuriser cet événement.
Au micro de Boulevard Voltaire, François Bousquet revient sur cette scène “surréaliste et impressionnante”.
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La Guerre Civile Général MARTINEZ - VPF