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France et politique française - Page 3205

  • Présidentielle 2017 : trois mensonges pour une élection

    Nous pouvons prévoir avec une quasi-certitude les principaux mensonges d’État qui structureront ce scrutin.

    Dans un an exactement, l’élection présidentielle aura rendu son verdict. Le/la président(e) de la France sera désigné(e) pour cinq ans. Il est pour l’heure impossible d’en connaître le résultat puisque les sondages sont approximatifs et que la liste finale des candidats n’est pas encore arrêtée. Néanmoins, nous pouvons prévoir avec une quasi-certitude les principaux mensonges d’État qui structureront ce scrutin. Ces mensonges éculés ont pour objectif de détourner les Français des vrais enjeux de notre époque. On peut en identifier trois principaux, qui s’enchaîneront en fonction du calendrier électoral.

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  • Nous ne sommes pas en Mai 68... (partie 1)

    « Le mois de Mai s'annonce couvert », ironisait l'un de mes amis l'autre jeudi quand, au centre de Rennes, les fumées lacrymogènes grisaient l'horizon et faisaient tousser nos voisins, tandis que, devant ou à côté de nous, des lycéens et quelques étudiants s'amusaient à provoquer les forces de l'ordre en une sorte de carnaval plus qu'en une émeute organisée : il est vrai que nous étions en après-midi et loin du lieu des principaux affrontements du midi, ceux-là mêmes qui avaient coûté un œil à un étudiant en géographie... La violence n'était plus, à l'heure où nous arpentions les abords de l'esplanade Charles-de-Gaulle, qu'un vague souvenir et les vitriers étaient déjà à pied d’œuvre alors même que les manifestants mimaient encore cette révolution dont ils n'ont pas, en définitive et pour la grande majorité d'entre eux, une idée claire, voire pas d'idée du tout... « C'est une révolte ? Non, sire, c'est un chahut », pouvait-on murmurer au milieu des clameurs juvéniles rennaises...

    Comprenez-moi bien : je ne minimise pas ce qui est en train de se passer à travers le pays et principalement dans quelques grands centres urbains et universitaires, mais j'essaye d'en saisir tous les aspects pour mieux le comprendre et, éventuellement, en tirer profit, intellectuellement ou politiquement (ou les deux à la fois).

    La contestation contre la loi de Mme El Khomry n'est qu'un révélateur ou un symptôme, nullement, à l'heure qu'il est et sous réserve de l'avenir, une révolution : cela ne veut pas dire qu'il n'y aurait pas de (bonnes et mauvaises) raisons aux événements en cours, et que certaines réflexions échangées lors des débats ou des « Nuit debout » ne méritent aucune attention. Mais la confusion qui règne désormais place de la République (tout un symbole !) et dans les rues du pays ne profite guère à la réflexion et au débat...

    Et pourtant ! Il y aurait tant à dire sur la situation de notre pays, sur l'état du monde, sur la corruption des paysages et de l'environnement, sur ce consommatorisme et ce globalitarisme qui se parent des noms de « société de consommation » et de « mondialisation » ; il y aurait tant à dénoncer et tant à proposer, tant à détruire et tant à refonder, tant à dire et à écrire...

    Nous ne sommes pas en Mai 68, et je ne sais pas vraiment s'il faut s'en féliciter ou s'en plaindre : d'ailleurs, Mai 68 fût, il faut le dire, une belle occasion manquée et son bilan, tiré de façon magistrale par Jean-Pierre Le Goff dans « Mai 68. L'héritage impossible », n'est guère brillant... Pourtant, « tout était possible », avec les risques du pire et les espérances du meilleur (comme le signalèrent alors les monarchistes Pierre Debray et Gérard Leclerc, mais aussi Maurice Clavel...), et cette période me rappelle la formule du comte de Chambord à propos de l'année 1789, à la fois implicitement dénonciatrice de ce sur quoi elle avait débouché et nostalgique de ce qu'elle aurait pu être et donner : « Avec vous, et quand vous voudrez, nous reprendrons le grand mouvement de 1789 »... Une formule que le royaliste Bernanos ne cessait de rappeler lui-même en fidèle de la légitimité royale incarnée par le comte de Paris, lui-même soucieux de renouer ce fil de la continuité française jadis tranché...

    (à suivre)

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Nos politiciens nous mentent , ils n ont plus de pouvoir !

  • Barbara Mazières sera-t-elle évincée du FN sur un mensonge ?

    Communiqué de Barbara Mazières du 6 mai 2016 :

    "Plusieurs responsables du Front National me signalent, ou signalent à des amis, que mon éviction de la fédération du Maine-et-Loire serait liée à ma « participation à une action que la direction actuelle du FN n'a pas cautionnée », à savoir le défilé du 1er mai organisé par Jean-Marie Le Pen. Cela a d’ailleurs été répété par des proches de M. Philippot sur les réseaux sociaux. Je serais ainsi "virée", si je puis dire, dans la même charrette que Mmes Arnautu et d'Ornano ou M. Gollnisch. Ces derniers sont des personnes pour lesquelles j'ai la plus grande admiration et avec lesquelles je partage l'essentiel des convictions. Je trouverais donc parfaitement honorable de "siéger" dans la même charrette qu'eux. Il se trouve cependant que c'est totalement faux. Ce week-end du 1er mai, j'étais retenue en Anjou par une réunion de famille. Des dizaines de personnes peuvent témoigner m'y avoir vue et je défie quiconque d'affirmer que j'étais à Paris - que ce soit au dépôt de gerbe de Jean-Marie Le Pen ou au banquet de sa fille. Manifestement, M. Philippot et ses amis n'assument pas leur changement de ligne politique. D'autant moins qu'ils savent pertinemment que l'écrasante majorité des électeurs du FN partagent mon avis sur la loi Taubira. Pour cacher le désaccord de fond, ils préfèrent donc opter pour le mensonge et la calomnie. Ce n'est certes pas cela qui contribuera à les faire remonter dans mon estime. Mais cette rumeur éveille en moi une perplexité: dois-je supposer que ce mensonge a été également offert à Marine Le Pen et au bureau politique pour avoir ma tête? Et, si tel était le cas, M. Philippot et ses amis pensent-ils vraiment gouverner la France comme ils gouvernent le Front national ?"
    Barbara Mazières

    Marie Bethanie

  • «Ça va mieux» : le monde parallèle de François Hollande

    Selon un sondage BVA, près de 81% des Français trouvent le bilan économique de François Hollande négatif. Mais ce dernier estime pourtant que «ça va mieux».

    Bertrand Chokrane dénonce ce déni de réalité :

    Le constat que les Français font sur la situation dépasse de loin les clivages idéologiques traditionnels, ce qui prouve que la situation économique est grave. D’un bout à l’autre du spectre politique, les classes sociales qui sont censées être opposées selon la doxa marxiste (les exploiteurs contre les exploités) se rejoignent: les indépendants et les chefs d’entreprise d’une part, les employés et les ouvriers d’autre part. 48% des indépendants, chefs d’entreprise, employés et ouvriers trouvent que la situation se détériore (contre 36% chez tous les Français). 87% des indépendants et des chefs d’entreprise, 71% des employés et 74% des ouvriers trouvent que la situation ne va pas s’améliorer d’ici la fin du mandat présidentiel (par rapport à une moyenne nationale de 65%). Alors que près de 81% des Français trouvent le bilan économique de François Hollande négatif, les indépendants et chefs d’entreprise sont 95%, les ouvriers sont 98% à partager cette opinion! Dire à ces catégories en souffrance que la France va mieux revient à jeter des jerricanes d’essence dans une pinède du sud de la France en feu.

    http://fr.novopress.info/

     

  • Bruno Le Maire perd ses nerfs face aux manifestants issus de La Manif pour Tous !

    De Fabien Bouglé, Conseiller municipal Versailles Familles Avenir :

    "Bruno le Maire est venu le 2 mai à Versailles s'exprimer dans le cadre d'un débat participatif. 30 participants issus de la Manif pour Tous sont venus lui rappeler qu'ils ne lâchaient rien après que ce dernier ait affublé les partisans de l'abrogation de la loi Taubira d'une "connerie noire" dans le Figaro.

    Bruno le Maire qui a prôné à cette occasion le dialogue et le débat démocratique a perdu ses nerfs lorsqu'un Versaillais lui a demandé des explications sur son propos.

    Incapable de gérer correctement la situation face à quelques participants, il a montré son incapacité à être Président de la République !

    Au suivant : ON NE LÂCHE RIEN !"

     

    Marie Bethanie

  • ÉDITORIAL de L’Action Française 2931 - Colloque du 7 mai, RDV de Béziers : DÉFENDRE L’HÉRITAGE

    Nous sommes entrés dans une année périlleuse. Périlleuse pour le pays. Si les minorités, heureusement fort rares dans l’histoire de France, ont constitué la faiblesse de la royauté, dont nous n’avons jamais été les charlatans, rappelait Maurras, en revanche, parmi les nombreuses faiblesses, constitutives, elles, de la république, il y a les récurrentes années électorales dont le catastrophique Chirac, pour se faire réélire en 2002, a encore accru la fréquence en passant du septennat au quinquennat.

    UN RÉGIME DÉSASTREUX

    Et si toutes les régences ne furent pas catastrophiques, toutes les années électorales, elles, le sont puisque même le président ne pense plus qu’à l’élection. Quand un pays ne connaît pas de crise économique ni ne souffre d’une dette abyssale, quand il a gardé toute sa souveraineté extérieure et intérieure, qu’il n’est soumis ni à un directoire étranger qui décide pour lui ni à la désagrégation de son peuple et de sa civilisation sous l’effet d’un raz-de-marée migratoire ordonné par ce même directoire et organisé par des élites « nationales » qui ont trahi, quand pâturage et labourage demeurent les deux mamelles de sa prospérité et que l’industrie assure indépendance économique et travail, quand l’Etat ne prémédite pas l’analphabétisation du peuple et, qu’enfin, les fondements de la société ne sont pas méthodiquement sapés au nom d’un individualisme pathologique devenue l’idéologie officielle, alors oui, il peut se payer le luxe de vivre en République, du moins pour un court laps de temps, car il finit rapidement par le payer.

    MENACES SUR LA COMMUNAUTÉ NATIONALE

    Mais nous qui y vivons depuis plusieurs générations et qui devons à ce régime l’état désastreux dans lequel se trouve la France, nous ne pouvons que voir se profiler avec angoisse cette nouvelle année électorale. Aux cadeaux qu’au prétexte d’une fausse reprise la majorité socialiste a commencé à faire à des électorats qui ne lui sont plus aussi fidèles qu’auparavant — fonction publique en général, enseignants —, à la baisse d’impôt annoncée pour 2017, aux reculades, comme sur la loi El Khomri, qu’Hollande pratique sous la menace du désordre orchestré par sa propre gauche, mais qu’il doit savamment doser aux exigences de la Commission européenne, de Merkel et du MEDEF pour lesquels ce projet de loi dans son état initial n’était qu’un minimum, à la soumission toujours accrue, mais rétribuée, de notre diplomatie, qui est discréditée, il est à craindre, comme le montrent de récentes campagnes racialistes, que nous évoquions dans le précédent numéro, que le pays légal n’ajoute une politique de fuite en avant envers la « diversité ». Ces communautés étrangères, encouragées par lui à la fois à s’installer sur notre sol et à ne pas s’assimiler, ne sont-elles pas appelées à devenir un électorat de substitution, génération après génération par le droit du sol mais immédiatement par le bradage organisé à grande échelle de la nationalité française ?

    ACTUALITÉ DE LA QUESTION INSTITUTIONNELLE : NOTRE COLLOQUE DU 7 MAI

    Autant dire que jamais la question institutionnelle — ramener l’héritier — n’a été plus actuelle et que jamais non plus conduire une politique de salut public pour sauvegarder l’héritage n’a été un devoir plus urgent. Or l’Action française, en ce mois de mai, ce double mois de Marie et de Jeanne, les deux patronnes de la France, sera sur les deux fronts.

    Nous serons tout d’abord sur le front institutionnel avec notre colloque du 7 mai , dont le thème est : « Je suis royaliste, pourquoi pas vous ? ». Question actuelle comme le montre, depuis plus d’un an maintenant, cette interrogation sur les « valeurs de la république », dont l’évocation telle des mantras ne peut plus que « saouler », effectivement, jusqu’aux patriotes républicains les plus sincères, dans la faillite de tout ce sur quoi la république a prétendu se fonder : une « liberté » qui est celle de la finance et des voyous, mais qui prive les citoyens de leurs droits fondamentaux : vivre en sécurité, s’exprimer sans crainte du juge, élever dignement ses enfants dans le respect des valeurs fondamentales de notre société ; une « égalité », qui tolère 5 millions de chômeurs, la préférence étrangère, et l’arrogance de l’oligarchie ; une « fraternité » où le gouvernement favorise le communautarisme le plus haineux et cherche à diviser les Français en promouvant un racialisme d’Etat ; la laïcité, enfin, quatrième mousquetaire de la trinité républicaine, pensée comme une arme de destruction massive des racines tant chrétiennes que gréco-romaines de la France.Complicité objective des mondialistes et des terroristes de l’Etat islamisque qui se pense lui aussi comme mondial, dans cette guerre à mort déclarée au christianisme, dont les valeurs s’opposent radicalement tant au règne du consumérisme matérialiste qu’à l’enfer islamiste. D’un côté on massacre les « croisés », de l’autre on s’en prend à l’identité catholique de nos compatriotes en assimilant le prêtre au pédophile et en taisant les centaines d’actes antichrétiens commis en France, comme pour les banaliser.

    FAIRE ÉMERGER UNE PAROLE NATIONALE

    Les calomnies commanditées que ces mêmes media déversent toujours plus fréquemment depuis plusieurs mois sur l’Action française relèvent de la même haine idéologique et prouve que l’oligarchie nous a identifiés avec raison comme l’ennemi irréductible de tout ce qu’elle représente. Nous sommes en effet en France le seul lieu politique de débat véritable, comme le montre encore le riche éventail de nos invités à notre prochain colloque, ce que ne supportent absolument pas ceux qui veulent continuer, surtout à un an de la présidentielle, d’enfermer le débat politique dans ces échanges sans surprise entre politiciens de « gauche » et de « droite » d’accord sur l’essentiel : la France et les Français ont fait leur temps. Parce que notre seul souci est l’intérêt du pays — « Tout ce qui est national est nôtre » —, nous dialoguons avec tous ceux qui ont le courage de partager la même exigence. Certes, ce faisant, nous cherchons bien sûr à promouvoir nos solutions, que résume, sans l’y réduire, le retour du Roi, mais nous nous attelons aussi, en période de crise, à faire émerger une parole nationale riche de la diversité d’élites partageant un seul a priori  : le devoir sacré pour tout politique est de défendre exclusivement les intérêts de la France et des Français. On comprend que seuls les meilleurs acceptent de dialoguer avec nous, quand ils ne sont pas déjà chez nous.

    URGENCE DU COMBAT DE SALUT PUBLIC : PRÉSENT À BÉZIERS

    Actualité de la question institutionnelle, mais aussi urgence du combat de salut public.Robert Ménard, en organisant les rendez-vous de Béziers s’inscrit dans cette démarche de rassemblement, craignant à juste titre qu’un caporalisme étroit, contraire à l’esprit de débat, et qui n’est, bien souvent, que la manifestation d’un manque profond d’assurance, ne finisse par nuire à la victoire du camp national qui peut avoir sa chance en 2017. Cette tentative est nécessaire pour définir une stratégie de salut public : d’où ma présence. Depuis trois ans, dans les différentes couches de la population, même chez certains intellectuels de gauche, les yeux commencent à s’ouvrir. Une jeune génération est plébiscitée par les Français dès lors qu’elle affirme, sans complexe, des valeurs nationales et traditionnelles, faisant apparaître comme ringards des aînés qui en sont encore à courir après les derniers relents de Mai-68. Oui, nous vivons une époque formidable. Tout d’abord, évidemment, au sens étymologique : notre époque est terrifiante. Mais elle est aussi grosse de promesses exceptionnelles, si nous nous en donnons les moyens.

    François Marcilhac - L’ACTION FRANÇAISE 2931

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?EDITORIAL-de-L-Action-Francaise,10514

  • Claude Chollet : Béziers sera le rendez-vous des hommes et des femmes libres de ce pays !

    Claude Chollet, président de l’OJIM, sera présent au Rendez-vous de Béziers. Il participera à la table ronde « Médias : libérer l’information, libérer le réel » et explique pourquoi.

     

    http://www.bvoltaire.fr/claudechollet/beziers-sera-le-rendez-vous-des-hommes-et-des-femmes-libres-de-ce-pays,254790?mc_cid=20865c0b6f&mc_eid=45f36b52ce

  • Eric Zemmour : « Hollande est un cynique qui se marre »

    Hier sur RTL, Eric Zemmour a consacré sa chronique à François Hollande, ce « cynique qui se marre » en partant à la conquête d’un deuxième mandat en se référant au Front populaire : « C’est la tragédie française depuis vingt ans. Tragédie et comédie. Nos hôtes de l’Elysée ne s’épanouissent qu’en campagne électorale. Mauvais président mais bons candidats. Chirac, Sarkozy, Hollande, si différents et pourtant tous pareils. L’odeur de la poudre les ressuscite, leur indécision chronique se mue en audace, leur peur du peuple se change en volonté de le séduire. »

    Hollande, a-t-il expliqué, « se pare du chapeau mou et de l’écharpe rouge de Léon Blum et reprend son imitation pour fin de banquet de François Mitterrand avec ses intonations de voix rauque pour les envolées lyriques » : « Hollande, c’est mini-Blum et mini-Mitterrand mais il distribue le maximum. […] Les calculettes s’affolent et les technocrates de Bercy s’arrachent leurs derniers cheveux. »

    « Hollande est un cynique qui se marre. Il y a quelques mois, il suivait l’opinion droitisée comme jamais par les attentats de 2015 avec la déchéance de nationalité et la loi El Khomri. La résistance inattendue de la gauche a fait basculer le culbuto présidentiel dans l’autre sens. Il est désormais l’héritier de l’histoire séculaire du mouvement ouvrier et le mariage homosexuel vaut bien à ses yeux les congés payés et l’abolition de la peine de mort. Rien ne l’arrêtera, rien ne le dissuadera. Il se souvient de Chirac qui disait à son dernier carré de fidèles au début de sa campagne victorieuse de 1995 : “Je vous étonnerai par ma démagogie.“ François Hollande n’a pas fini de nous étonner. »