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France et politique française - Page 3414

  • La France accueille les immigrés clandestins … la Somalie les expulse !

    En France, les « réfugiés » et autres « demandeurs d’asile » somaliens défraient régulièrement la chronique : les médias ne manquent jamais d’attendrir le gogo sur ces malheureux qui « fuient la guerre et la misère » dans leur pays. Le week-end dernier, « vingt-sept réfugiés soudanais et somaliens » sont ainsi arrivés à Confolens, en Charente : « le maire de Confolens, ainsi que le Préfet de Charente se sont engagés à les accompagner dans leurs démarches de demande d’asile ». France 3 leur avait consacré un reportage larmoyant à souhait.

    Pendant ce temps, la Somalie expulse les clandestins présents sur son territoire. Il y a quelques jours, « un tribunal somalien a ordonné l’expulsion de 27 Kényans qui se trouvaient illégalement dans le pays », leurs visas ayant expiré. Les clandestins se sont en outre vu infliger une amende de 10 $ pour chaque jour passé en Somalie en situation irrégulière. Le juge Hashi Elmi Noor a déclaré que

    cette condamnation était un avertissement pour les autres immigrés qui sont illégalement dans le pays

    Comme l’explique le correspondant de la BBC, Mohammud Ali, « le retour progressif de la paix en Somalie a créé des possibilités d’emploi pour les étrangers. Un nombre croissant d’étrangers se font embaucher dans les secteurs du bâtiment et de l’hôtellerie, tandis que d’autres sont engagés comme enseignants dans les collèges et les écoles ». Devant cet afflux, la Somalie a récemment adopté une loi rendant un permis de travail obligatoire pour tous les étrangers, et les employeurs sont incités à donner priorité aux ressortissants somaliens.

    Mais rassurons-nous, la France continue imperturbablement à accueillir, loger, nourrir les clandestins somaliens aux frais des Français.
    C’est la moindre des choses, au pays des droits de l’homme.

    http://fr.novopress.info/

  • La vraie nature du populisme / Le « populisme » n'est pas une « extrême droite » qui tournerait le dos au progrès. C'est un acte de révolte politique qui est une ébauche de solution à la crise actuelle.

    Le Club de l’Horloge a tenu sa XXIVe université annuelle les 6 et 7 décembre 2008, avec pour thème :
    « Le populisme une solution pour l’Europe en crise »
    (voir : http://www.polemia.com/article.php?id=1794)

    Polémia a déjà rendu compte d’une partie des travaux de cette université, notamment en publiant une première présentation sous forme de résumé de l’allocution d’ouverture prononcée par Didier Maupas, vice-président du club de l’Horloge, intitulée «  La vraie nature du populisme » (voir http://www.polemia.com/article.php?id=1807) et la contribution de Jean-Yves Le Gallou, ancien député européen, « Europe : le temps joue pour le populisme » (voir :http://www.polemia.com/article.php?id=1806).

    Cette fois, Polémia présente dans son intégralité l’allocution de Didier Maupas, véritable analyse de l’idéologie dominante et de ses ressorts dont les « élites » du pouvoir usent pour la promouvoir.

    Télécharger l’allocution de Didier Maupas (pdf)

    http://archives.polemia.com/article.php?id=1838

  • Les AFC des Pays de Loire interrogent les candidats

    Les questions sont en ligne ici. Extraits :

    "Questions N°1 – Soins Palliatifs

    Au-delà de ses compétences propres, le Conseil Régional s’est investi sur le domaine de la Santé en l’intégrant[1] dans un Schéma Régional « Formations, Santé, Social et Territoires ». Ce dernier intègre le souci de la qualité de vie des personnes âgées et a soutenu la création de Maisons de Santé et d’un Gérontôple[2] visant à soutenir les initiatives en faveur du « bien vieillir ». 

    Sur le sujet connexe du « bien mourir », la France, notamment notre région (voir ici[3]), est très en retard sur le développement des soins palliatifs au point mort depuis 2012.Un Conseil Régional, en lien avec son Agence Régionale de Santé, peut donner une impulsion décisive au développement des soins palliatifs sur son territoire, par exemple en soutenant et accompagnant les acteurs qui œuvrent dans ce domaine.

    1.1Êtes-vous prêts à intégrer le soutien au développement des soins palliatifs dans le cadre des actions de la Région sur le domaine de la Santé?

    1.2 Si oui, quels moyens concrets envisagez-vous de mettre en place pour soutenir et développer les soins palliatifs sur la région ?

    Questions N°2 – Accueil de la Vie / Soutien aux mères en difficulté

    Ce schéma régional Formations, Santé, Social et Territoires intègre notamment le soutien et la promotion du Mouvement du Planning Familial (ici[1] page 69). 

    Au niveau International, ce Mouvement s’est fait connaitre aux Etats Unis par le scandale[2] du trafic d’organes de fœtus avortés. En France des enquêtes[3] ont démontré que les centres de planification confiés au Planning Familial portent souvent une vision militante pro avortement et aident peu ou pas les femmes enceintes faisant le choix de garder leur enfant. 

    2.1 Vous engagez vous à stopper le soutien du Conseil Régional aux associations qui, par leur caractère militant, négligent les alternatives à l’avortement et, de ce fait, ne laissent pas la pleine liberté aux femmes en difficulté de faire un vrai choix ?

    2.2 D’une manière globale êtes-vous prêt à promouvoir une politique de santé respectueuse de la vie à naître  notamment au travers de l’accueil et du soutien aux femmes enceintes en difficulté ?

    Question N°3 – Promotion de l’idéologie du Genre

    Le conseil régional finance des centres d’Information sur les droits des femmes et des familles. 

     En octobre 2014 l’un deux organisait une formation[4] pour les professionnels intervenant auprès des enfants de 0 à 6 ans visant à intégrer « l’approche genre » dans sa pratique professionnelle, approche consistant ni plus ni moins à déconstruire tous les repères fondamentaux nécessaires aux enfants. 

     Par ailleurs en mars 2015 sous le prétexte d’une lutte contre les discriminations, une campagne soutenue par le conseil régional intégrait des ateliers à destination des enfants faisant la promotion de l’idéologie de genre (Ici page 15[5]). 

     Enfin le budget 2014 du conseil régional prévoyait un financement de 467 000€ à une équipe de chercheurs sur le thème du genre. [6]

    1. Vous engagez vous à veiller à ce que le Conseil Régional n’apporte aucun soutien aux structures promouvant explicitement ou implicitement l’idéologie de l’indifférenciation sexuelle (« théorie du genre ») ou tout autre idéologie visant à la déconstruction des repères fondamentaux qui permettent la construction affective des enfants ?

     Questions N°4 – Education Affective

    Le Conseil Régional supervise des programmes d’action éducative dans les lycées notamment sur l’éducation affective [7] et agrée dans ce cadre des associations pour intervenir dans les écoles. Parmi celle-ci on retrouve à nouveau le Planning Familial et d’autres structures qui relayent des messages similaires. A l’inverse des associations promouvant une vision de l’amour respectant toutes les dimensions de la personne ont été refusées[8] par le Conseil Régional sous des prétextes fallacieux. 

    Par ailleurs dans le cadre de ses actions en faveur des jeunes le Conseil Régional a mis en place pour les 15-30 ans un Pass Contraception [9]qui cherche ouvertement à court-circuiter le rôle des parents, premiers et principaux éducateurs de leurs enfants (« Aucun retour n’est fait à vos parents. » sic !). 

    Pour assurer la promotion de celui-ci, le Conseil Régional a détourné les fichiers d’un autre de ses dispositifs (le Pass Culture) pour faire parvenir des messages[10] relayant une vision d’une sexualité de divertissement déconnectée de sa dimension affective, faisant fi de la notion de respect et d’engagement qu’implique une telle relation.

    4.1 Vous engagez vous à ce que les politiques de santé publique à destination des jeunes ne contournent pas les parents qui, en tant que premiers éducateurs de leurs enfants, ne doivent pas être coupés et spoliés de la relation essentielle de confiance qu’ils bâtissent avec leurs enfants?

     4.2 De même, vous engagez vous à refuser l’intervention dans les lycées des associations dont les interventions au titre des programmes d’éducation affective se limitent à des questions techniques ordonnées à l’absolu du plaisir, c’est à dire qui ne concernent ni l’éducation ni l’affection? [Lire la suite]

    Synthèse des résultats prévus 30 novembre.

    Michel Janva

  • Régionales : discours de Barbara Mazières, secrétaire départementale du FN49, au meeting d’Andard

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    Barbara Mazieres

    Merci d’être venus si nombreux accueillir notre présidente, Marine Le Pen, ici, en Maine-et-Loire.

    Je suis très heureuse, justement parce qu’accueille ici, en votre nom à tous, Marine Le Pen.

    Marine Le Pen, c’est vous qui m’avez donné envie de continuer en politique. Vous incarnez le dynamisme sans la démesure, une résistance tournée vers l’avenir.

    Vous avez porté le Front national à des niveaux historiques. Vous incarnez pour tous l’espoir de la victoire.

    Vous êtes l’espoir de la France. Vous êtes le rempart à la mort programmée de notre pays et des valeurs de notre civilisation.

    Vous nous donnerez la victoire, je l’espère, bientôt au plan national.

    Mais cette victoire de 2017 passe par l’implantation de terrain notamment ici, dans cette terre angevine qui fut si longtemps rétive à notre mouvement. Je suis très attachée à ce terroir, un terroir agricole, mais aussi industriel. Je sais que beaucoup de nos concitoyens souffrent, et je souhaite que nos candidats les défendent. Je souhaite que nos candidats prennent la défense de nos familles attaquées, de nos entreprises, qui seules produisent des richesses, et sont trop souvent matraquées, de nos viticulteurs et de nos agriculteurs, qui façonnent notre territoire, et portent le nom de l’Anjou à travers le monde.

    Le Front national est proche de nos concitoyens, proche du terrain. Tous ensemble, nous gagnerons. Nous nous employons à cela avec tous nos responsables de circonscriptions et tous nos militants.

    Pascal Gannat, qui conduit la liste pour une région Bleu Marine, travaille depuis des mois à rencontrer nos concitoyens, trop souvent ignorés de la presse et des bobos parisiens !

    Pascal, avec Aymeric Merlaud, le Maine-et-Loire est derrière toi. Tu sais que tu peux compter sur le soutien de notre fédération.

    Vive la France, vive l’Anjou et vive Marine !

    http://fn-49.fr/?p=514

  • Etre (ou ne pas être) républicain : quand Frédéric Rouvillois jette un pavé dans la mare de nos consensus mous et paresseux

    Depuis les débats qui ont suivi les attentats de Charlie Hebdo, la sur-utilisation des termes "républicains" et "République" semble avoir désactivé leurs contenus. Mais leur définition n’a-t-elle jamais été fixe depuis la révolution française ? 

    Des républicains antimondialistes aux républicains européistes, des républicains souverainistes aux républicains libéraux, du FN au Front de Gauche, de Hollande à Sarkozy, tout le monde se revendique républicain, alors qu’en réalité personne ne le serait vraiment. La République a beau se retrouver sur toutes les langues des politiques et sous toutes les plumes, la belle est portée disparue. La litanie des "valeurs républicaines", religieusement psalmodiée, à chaque sermon politique depuis les attentats du 11 janvier, sonnerait complètement creux.

    Tel est le pavé que Frédéric Rouvillois jette dans la mare du consensus mou en démontrant, dans son nouvel essai, "Etre (ou ne pas être) républicain", qu’il est impossible de déterminer ce qu’est la République, et que par conséquent celle-ci serait indéfinissable et insaisissable.

    Le parti pris est audacieux, le constat déconcerte, l’analyse déroute et la conclusion met mal à l’aise. Sous le poids d’une argumentation historique bien étayée, Frédéric Rouvillois s’amuse à faire vaciller cette République que l’on croyait indéboulonnable, bien installée sur son sacro-saint triptyque Liberté-égalité-fraternité, auquel s’est ajoutée l’incontournable laïcité et fait voler en éclat nos préjugés de citoyens engagés.

    Isabelle Marchandier : Dans sa chronique du Figaro de la semaine dernière, Éric Zemmour vous accuse de vouloir "déconstruire une République qui n’existe plus" et ce faisant de "mettre une claque à votre grand-mère"…Que lui répondez-vous ?

    Frédéric Rouvillois : J’ai infiniment d’estime pour Éric Zemmour et pour les combats qu’il mène tambour battant, à la hussarde, ou plutôt, à la façon des soldats de l’an II, qui sont à la base de sa mythologie personnelle. Mais là je crois qu’il se trompe de cible. Le propos de mon petit essai n’est pas de déconstruire une République qui n’existe plus, mais de constater que "La République", en tant qu’essence, n’a jamais existé. Il y a eu, à toutes les époques, des Républiques aux innombrables visages, parfois démocratiques ou despotiques voir totalitaires, parfois libérales ou nationales, parfois universalistes ou particularistes. C’est pourquoi, dire de quelqu’un qu’il est républicains, ou qu’il ne l’est pas, n’a pas beaucoup de sens, comme le disait déjà Proudhon au XIXe siècle. Ce que je dénonce ici, ce n’est donc pas la République, d’hier ou d’aujourd’hui, c’est plutôt l’usage de ce mot, "républicain", et l’effet de sidération, d’hypnose, et d’occultation qui en résulte. Il suffit de prononcer ce mot sacré ou bien l’une de ses déclinaisons - comme les fameuses "valeurs républicaines" - pour que chacun se taise et s’incline. [....]

    La suite sur Antlantico

     

  • Émeute à Calais

    FRANCE (Présent 8480)

    8480-Une.jpgSeize : c’est le nombre de policiers blessés qu’a déploré officiellement la Préfecture du Pas-de-Calais, au lendemain des violents affrontements qui ont opposé plusieurs centaines de clandestins de la « jungle » aux forces de l’ordre dans la nuit de dimanche à lundi. Des heurts d’une gravité sans précédent, qui font craindre aujourd’hui le pire aux syndicats de police, témoins depuis des semaines de la dégradation de la situation à Calais.

    « On est inquiets »

    À l’origine de ces affrontements, les tentatives répétées par plusieurs centaines de clandestins de ralentir le trafic sur la rocade portuaire de Calais pour prendre d’assaut les véhicules y circulant. Une situation qui a contraint les CRS, victimes d’abondants caillassages, à recourir à de nombreux tirs de flash-balls et à employer « presque 300 grenades » lacrymogènes pour réussir, après plusieurs heures de lutte et l’arrivée de renforts, à repousser ces hordes de migrants.
    Rappelons que, la semaine dernière déjà, des groupes de clandestins s’en étaient pris violemment aux agents postés sur la rocade, contraignant ainsi les policiers à tirer des dizaines de grenades pour ramener le calme dans la zone.
    Mais avec 16 policiers blessés, l’affaire est cette fois bien plus grave, et inquiète beaucoup les syndicats de police qui redoutent des émeutes massives à Calais. En effet, rapportait au Figaro un agent présent samedi sur le terrain, « le plus surprenant, c’est que, lorsque les CRS en renfort ont mis pied à terre, ce sont les migrants qui ont chargé ! Et ça, c’est totalement inédit à Calais ». De son côté, Gilles Debove, du syndicat SGP Police-FO, expliquait : « C’est la première fois que c’est aussi violent et qu’on a malheureusement autant de collègues blessés (…). On est inquiet, si un jour on a une révolte au sein du camp, ça va être la folie »…

    Bientôt l’armée ?

    Il faut dire qu’avec ses 6 000 clandestins venus d’Afrique de l’Est, du Moyen-Orient ou encore d’Afghanistan, la « jungle » de Calais est devenue une véritable bombe à retardement. Les heurts sanglants entre groupes ethniques y sont quotidiens, sans parler des trafics et agressions de toutes sortes. Une situation devenue tellement ingérable que le maire LR de Calais, Natacha Bouchart, a demandé, en octobre dernier, le renfort de l’armée. En effet, a-t-elle expliqué sur RMC, « à partir du moment où nous avons une ville de 6 000 personnes à côté de chez nous, dans laquelle nous ne savons pas ce qui se passe, il ne serait pas inopportun (…) que l’armée puisse venir surveiller, rassurer, peut-être aussi démanteler certains réseaux qui peuvent exister ».

    Franck Delétraz

    http://fr.novopress.info/194804/emeute-calais/

  • La France n’est pas un refuge pour migrants, c’est un pays millénaire devant protéger ses frontières | Par Adrien Abauzit.

    Le peuple français est en train vivre ce qu’on pourrait appeler un pétard mouillé médiatique.

    Depuis plusieurs semaines déjà, nos « élites » politiques, « artistiques » et même économiques, si l’on s’en réfère aux dernières déclarations de Pierre Gattaz, rivalisent, de bouffonnerie pour plaider en faveur de l’invasion de la France par les « migrants ».

    Pour le parti socialiste « l’accueil, pour moi, c’est oui ». Pour les Républicains, il faut « plus de réfugiés, moins d’immigrés ». Pour Francis Huster, il y a peut-être des « futurs Montaigne » parmi les envahisseurs. Enfin, selon Sacha Reingewirtz, « La France est un refuge ».

    Nous ne commenterons pas la liste des 66 tocards artistes, qui vraisemblablement ont du mal à faire parler d’eux par leur « talent » et qui se sont engagés à « donner leur cachet pour les migrants ».

    Nous nous bornerons simplement à constater qu’une véritable avalanche de niaiseries s’abat sur le peuple français, sans doute sous l’influence de l’Union européenne.

    Ceci étant, et il faut s’en réjouir, les effets de cette propagande semblent assez limités. C’est avec dépit que Libération constate aujourd’hui que « les Français ne sont pas plus favorables à l’accueil des migrants depuis la photo choc du jeune enfant syrien », contrairement aux prédictions d’un toujours comique BHL.

    Il fallait d’ailleurs s’y attendre. Le peuple français, lentement certes, trop lentement, mais sûrement, commence à comprendre que le multiculturalisme est une forme de colonialisme à domicile.

    A trop défranciser, notre classe dirigeante mondialisto-charlie a engendré comme une overdose d’immigration. A vouloir poursuivre à tout prix l’arabo-africanisation de la France, nos politocards sabordent aux yeux du pays réel le peu de légitimité qu’il leur reste, si bien que le fossé qui les sépare est plus grand que jamais.

    Les Français ne veulent plus que la France soit un « refuge ».

    Ils veulent une France enracinée, fidèle à son héritage spirituel et gardienne jalouse de ses frontières.

    Gageons que cet abandon du peuple français par la classe politique se traduira dans les urnes dès les élections régionales.

    Adrien Abauzit, 12 septembre 2015.

    http://www.scriptoblog.com/index.php/archives/billets-d-auteurs/45-politique9/1815-la-france-n-est-pas-un-refuge-pour-migrants-c-est-un-pays-millenaire-devant-proteger-ses-frontieres-par-adrien-abauzit

  • Fusion PS/LR dans le Sud-Ouest ?

    L'hebdomadaire Les 4 vérités analyse la gauchisation de la liste LR menée par Dominique Reynié :

    Unknown-57"[...] Mais, d’ores et déjà, il se murmure que la région pourrait être un laboratoire du « front républicain » nouvelle vague. Anticipant une possible troisième place pour la liste LR dans la région (derrière le PS et le FN), quelques ténors LR envisagent, paraît-il, de demander le désistement de la liste en faveur du PS pour « faire barrage » au FN. En échange, le PS en ferait autant en faveur des « Républicains » en PACA et en Nord-Pas-de-Calais Picardie.

    J’ose encore croire qu’il ne s’agit que d’une rumeur sans fondement. Mais je peux déjà annoncer que, si elle s’avérait vraie, l’ex-UMP volerait en éclats et ne serait plus que l’aile centriste de la majorité socialo-communiste, abandonnant l’opposition réelle au FN. Et je doute que les électeurs de droite suivent longtemps leurs « représentants » dans cette dérive...

    Michel Janva

  • Le Front National n’effraie plus les électeurs

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    Malgré les tentatives désespérées de certains pour nous le faire croire, l’idée de voir le Front National diriger des administrations ne fait plus peur aux Français
    C’est ce qu’un sondage réalisé par l’agence TNS Sofres pour RTL et Le Figaro a permis de déduire. 52 % des Français ne seraient pas gênés si jamais le Front National parvenait à la tête de certaines régions en décembre. Ce sondage confirme une dynamique présente depuis quelques années déjà et qui ne fait que s’amplifier. Dans l’esprit d’une majorité de Français, le Front National est légitime pour exercer le pouvoir.

    Encore une fois, l’exécutif semble complètement déconnecté de cette réalité
    Manuel Valls en premier lieu. Lui qui s’était personnellement engagé dans la campagne départementale il y a moins d’un an avec un résultat plus que mitigé en remet une couche. Voici ce que disait le Premier ministre aux micros d’Europe 1, I-Télé et Le Monde dimanche soir « Bien sûr que ce serait un drame que le Front National gagne 1, 2 ou 3 régions ».
    Il a rajouté qu’il faudra « Tout faire » pour empêcher que cela arrive.

    Ce sondage tombe au bon moment pour le Front National
    Depuis le début de la campagne, le parti de Marine Le Pen est donné vainqueur dans la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie. De nombreuses enquêtes d’opinion donnent le FN au coude à coude ou devant Les Républicain en Provence-Alpes-Côte-d’Azur.
    Depuis dimanche, la région Alsace-Lorraine, Champagne-Ardenne est aussi annoncée gagnable par le Front selon un sondage Odoxa pour BFMTV.
    Des enquêtes à prendre avec des pincettes bien évidemment, mais qui font état d’une dynamique certaine.

    http://fr.novopress.info/