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France et politique française - Page 527

  • Emeutes en France : Comment en est-on arrivé là ? Le déni du « gauchisme culturel ».

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    Michel Festivi 

    Il est toujours particulièrement valorisant, dans le cadre du combat des idées, de trouver chez ceux qui peuvent apparaître à des années lumières des convictions du camp dit « patriotique » ou « national » pour faire très court, des arguments forts qui vont dans notre sens et qui donnent de l’eau à notre moulin.

    Je ne rapporterai donc pas, cette fois, les propos solides d’un intellectuel de droite, voire « d’extrême droite », ou d’un chroniqueur régulier d’un périodique de notre famille de pensée, mais celle d’un historien de la Shoah, d’un intellectuel d’origine juive qui avait subi par le passé la vindicte des bien- pensants de l’islamo-gauchisme, pour avoir affirmé que les banlieues promouvaient l’antisémitisme.  

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  • Paris : quatre émeutiers jugés, trois migrants dont un sous OQTF

    Le mardi 3 juillet à Paris, deux jeunes hommes devaient être jugés en comparution immédiate pour le pillage de magasins à Châtelet, dont le magasin Nike™, dans la nuit du 30 juin au 1er juillet, ainsi que deux autres individus pour recel de biens provenant de ces mêmes boutiques, relate CNews.

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  • Jordan Bardella propose à Eric Ciotti (LR) et à Eric Zemmour (R!) de venir travailler aux côtés du RN

    Jordan Bardella propose à Eric Ciotti (LR) et à Eric Zemmour (R!) de venir travailler aux côtés du RN

    Jordan Bardella, président du RN, évoque, dans une interview sur BFM (à partir de 3’55”) la possibilité d’un travail en commun à droite (RN, R!, LR) pour accéder au pouvoir en 2027. Si les émeutes liées à l’immigration permettent de faire progresser l’idée de l’union des droites alors que chacun se mette réellement au travail en oubliant les ego. Espérons que Marine le Pen ne recadre pas la bonne volonté affichée de Jordan Bardella :

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  • A de rares exceptions, ils repartiront libres

    A de rares exceptions, ils repartiront libres

    Un journaliste raconte les comparutions judiciaires immédiates des voyous interpellés ces dernières nuits :

    Dans le box vitré, une dizaine de jeunes garçons, conduits les uns après les autres, menottés, par les policiers. Ils ont passé la nuit dans les cellules au sous-sol du bâtiment. Ils doivent répondre de «dégradations de biens publics» ou de «participation à un groupement en vue de préparer des actions violentes». Ils sont accusés, pêle-mêle, d’avoir renversé des voitures, fracassé des vitrines de magasins, tiré des mortiers de feux d’artifice sur les forces de l’ordre.

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  • Émeutes urbaines : la gauche a-t-elle toujours été du côté de la racaille ?

    Émeutes urbaines : la gauche a-t-elle toujours été du côté de la racaille ?

    Après des nuits de chaos, de pillages et d’incendies, la grande majorité de la gauche (partis, syndicats, personnalités) fait la sourde oreille et refuse de condamner les débordements. Pourtant, longtemps la tradition socialiste a tenu une ligne très dure sur le lumpenprolétariat.

    Présentes en nombre à la marche blanche pour Nahel, beaucoup de personnalités politiques de gauche ont affiché leur soutien à la victime. Dès le lendemain des premières dégradations, le député France insoumise David Guiraud refusait d’en « appeler au calme ». Son chef, Jean-Luc Mélenchon, lui emboîtait le pas en ajoutant : « Les chiens de garde nous ordonnent d’appeler au calme. Nous appelons à la justice. »

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  • Éric Naulleau, un réjouissant sniper braqué contre la gauche NUPES

    Depuis le début des émeutes qui secouent le pays, la NUPES en général et La France insoumise en particulier ont délibérément attaqué les actions des forces de l'ordre et défendu les émeutiers. Si bien qu'un bon nombre de membres de la gauche ne se reconnaissent plus dans leurs déclarations. Parmi eux, Éric Naulleau, le célèbre essayiste, devenu le véritable sniper de la NUPES, manie lui aussi à la perfection le mortier d'artifice... sur Twitter. Parmi ses cibles préférées, Jean-Luc Mélenchon.

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  • Pap Ndiaye annonce que 243 écoles et établissements scolaires ont été dégradés lors des émeutes, certaines sont totalement ou partiellement détruites

    Pap Ndiaye annonce que 243 écoles et établissements scolaires ont été dégradés lors des émeutes, certaines sont totalement ou partiellement détruites

    Le ministre de l'Éducation nationale, Pap Ndiaye, a déclaré ce matin lors d'une interview sur RTL que 243 écoles et établissements scolaires ont été dégradés lors des récentes émeutes. Parmi ces bâtiments, environ 60 ont subi des dégâts importants, tels que des débuts d'incendie, tandis qu'une dizaine ont été totalement ou partiellement détruits. Cette situation compromet l'accueil des élèves pour la semaine à venir.

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  • Aux armes citoyens… Formez vos bataillons…

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    Jarente de Senac

    A l’initiative de l’homme politique et chroniqueur Jean Messiha, a été lancé un compte sur la plateforme Godfundme afin de venir en aide a la famille du policier qui a tiré et tué le jeune Nahel, 17 ans, fils d’immigrés, dans des circonstances qui ne sont pas encore totalement établies. En attendant, le policier a été mis en examen. En a peine trois jours, la cagnotte constituée pour venir en aide à sa famille a déjà recueilli plus de 1,3 million d’euros de la part de plusieurs milliers de donateurs quand celle lancée pour la famille de Nahel, Laetchi,  atteint péniblement les 180 000 €.

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  • [Chronique] Pourrons-nous éviter la guerre civile ?

    Stéphane Buffetaut 2 juillet 2023

    La mort du jeune Nahel lors d’un contrôle de police a embrasé les banlieues, comme le vent ranime les braises qui couvent sous la cendre. 

    L’enquête dira les circonstances de ce drame qui met en scène un policier aux bons états de service et un tout jeune homme qui avait déjà fait l’objet de mesures éducatives pour refus d’obtempérer. 

    Un drame symbolique des « quartiers » et de leurs dérives. Des jeunes gens, parfois très jeunes, en déshérence qui tombent dans une spirale délictueuse, des familles dépassées, une police qui agit dans des conditions dans lesquelles la perte de sang-froid est un risque permanent. Ce qui ne justifie pas le tir mortel mais qui montre les difficultés d’une police à qui il est demandé de pallier les conséquences de l’incurie politique.

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