Au moment où notre allié chrétien historique russe livre une bataille décisive pour défaire le potentiel militaire de l’Ukraine et sécuriser ses frontières face à la poussée expansionniste des pays membres de l’OTAN, quelle est la capacité réelle de nos forces à être engagées sous bannière otanienne dans cette « guerre » ? Emmanuel Macron, le chef de la « province France » depuis son élection de 2017, attise les braises de l’incendie qu’il a contribué à entretenir en soutenant la révolution sanglante du Maïdan initiée en 2014 sous la Présidence de François Hollande. Enfin, sommes-nous en capacité de mener une offensive de cette envergure, sommes-nous du bon côté du conflit ?
France et politique française - Page 835
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Ukraine : la grenouille française face au bœuf russe
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ALLO MANU, A QUAND UN PROCHAIN CHEQUE POUR L’ENERGIE ?
Pieter Kerstens
Parce que vu la hausse importante du prix du baril de pétrole et les prix des carburants, faire le plein devient impayable !
Certes, le yo-yo du pétrole, ce n’est pas nouveau, comme les cours de l’Euro par rapport au Dollar.
On se souviendra que début janvier 1999, le taux de change de l’Euro était de 1,18 Dollar. Quand le 15 juillet 2008, le baril de pétrole de la mer du Nord coûtait 146 USD, l’Euro valait 1,60 USD, soit 91,25 euros le baril.
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La cause nationale reste une idée neuve
La cause nationale serait-elle devenue indéfendable ? C’est ce qu’assure le progressisme macronien. Pour ce courant de pensée, reconnaissable à son indifférence pour les enracinements et les frontières, Vladimir Poutine aurait délégitimé la fierté patriotique. Pourtant, ce même camp du Bien se retrouve, le chef de l’État en première ligne, derrière le drapeau ukrainien brandi en tous lieux. Or cet emblème de résistance au despote est justement le symptôme de la naissance d’un peuple, d’une nation, d’une identité propre.
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Une campagne trafiquée
C'est seulement de façon furtive que j'ai visionné le débat supposé déchirant ce 10 mars entre deux candidats de droite, dont je crois connaître les programmes. À lire froidement leurs textes écrits on les découvre d'ailleurs plus convergents sur le fond qu'on veut bien le dire et qu'ils le prétendent eux-mêmes. Et si leurs styles s'opposent leurs électeurs du premier tour devraient pouvoir s'additionner au second puis aux législatives. Du moins normalement.
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Pour la Cour des comptes, le plan de relance post-Covid du gouvernement est un couteux fiasco.
Alors qu’il ose se représenter aux suffrages des Français, vous aurez remarqué qu’Emmanuel Macron se garde bien d’évoquer le bilan de son quinquennat tant il est calamiteux. Il préfère, à un honnête état des lieux, les entourloupes et les petites combines politiciennes.
Heureusement, un certain nombre d’institutions veillent à l’honnêteté du débat. Il en est ainsi de la dernière communication du président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici, devant la commission des finances du Sénat qui a épinglé le contenu hétéroclite du fameux plan « France Relance« , sa gestion souvent erratique et son efficacité encore à démontrer : ce plan, d’un montant de 100 milliards d’euros et lancé dans le cadre du « quoi qu’il en coûte » d’Emmanuel Macron pour doper l’économie après la première vague de Covid-19, est jugé «touffu», «complexe», coûteux, sans coordination, peu efficace…
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Naufrage dans la médiocratie, par Maxime Tandonnet
La France dite d’en haut entre en extase depuis trois jours parce que selon des sondages, le président Macron atteindrait le seuil magique, emblématique de 30% au premier tour. Derrière, les 18% de la fille de M. le Pen, au deuxième rang, rendent quasi certaine sa réélection. Des photos largement diffusées de l’Elysée le montrant en posture virile suscitent l’émerveillement, l’éblouissement. Le président ne participera donc pas au débat de premier tour.
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[Lecture] L’islamo-gauchisme ne m’a pas tué : un enseignant défend la liberté d’expression, de Klaus Kinzler
Retour en France loin des grands conflits géopolitiques du moment avec la publication de cet ouvrage de Klaus Kinzler, ce professeur de langue et civilisation allemande qui, en quelques mois, au gré d'échanges de mails et d'une campagne extraordinairement violente sur les réseaux sociaux, a vu sa tête mise à prix pour « islamophobie » au sein même de l'IEP de Grenoble.
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Emmanuel Macron verrouille le débat pour se préserver du devoir d’inventaire auquel doit se plier tout président sortant
Dans un entretien à Valeurs Actuelles, Marion Maréchal estime qu’Eric Zemmour a les meilleures cartes en main pour s’imposer :
L’élection n’est pas jouée, souvenons-nous d’Édouard Balladur, en 1995, dont toute la presse présentait l’élection comme une formalité… et finalement c’est Jacques Chirac qui l’a emporté.
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Patriotisme, souveraineté, nation
Natacha Polony, dans la dernière livraison de Marianne, pose la question de savoir que ce qui vaut pour l’Ukraine vaut-il également pour la France ? Histoire de nous préciser avec justesse ce qu’implique les notions de patriotisme, de souveraineté et le recours nécessaire à la nation. En ces temps de confusion politique et mentale, une petite explication de texte ne fait pas de mal.
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Maxime Thiebaut "ça suffit de se faire insulter pour défendre des libertés"