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France et politique française - Page 835

  • Avec ou après Macron, le déluge ?

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    Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés. (Propos recueillis par Guirec Sèvres).

    Vous publiez le 20e volume de vos chroniques barbares intitulé La France macronisée ; le sous-titre est explicite : « Le “quoi qu’il en coûte”, de l’arnaque à la crise »… Ne trouvez-vous donc rien de positif dans la politique menée par Emmanuel Macron et ses ministres ?

    Et vous, pourriez-vous me citer une réalisation positive à porter à leur crédit ? Des déclarations d’intentions pour des lendemains qui chantent, certes, ses Ministres et lui en font à la pelle, on y est habitué, mais concrètement ? Un endettement abyssal, une inflation galopante, des services publics à la ramasse, une explosion de la délinquance, un système scolaire qui n’en est plus à s’effondrer, mais à s’enfoncer désormais sous le niveau de la croûte terrestre… Plus anxiogène encore sont les multiples fractures dans la population : certes, quelles que soient les situations dramatiques, certains tirent leur épingle du jeu – et pas forcément tous de façon malhonnête ou immorale – mais la grande majorité de nos compatriotes a désormais le sentiment qu’on était plus heureux dans le passé que de nos jours, malgré des progrès techniques aussi incessants qu’insatisfaisants. Le fil rouge de la politique française, depuis plusieurs présidences, c’est le choix « nous ou pire que nous »… Hier c’était « eux » ou la menace Lepéniste et ses hordes fantasmées de haineuses  chemises brunes ; aujourd’hui, c’est « eux » ou la fureur mélenchoniste et une France transformée en immense ZAD avec miradors et guillotines à chaque coin de rues…

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  • France 5 menace de poursuivre en justice le Rassemblement National

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    Excès de zèle de C dans l’air contre le Rassemblement national.

    RN et France 5 en guerre, la société de production Maximal, productrice notamment de l'émission C dans l'air présentée par Caroline Roux n'a pas apprécié que lors de la "grande fête de la nation" du Rassemblement National au Havre dimanche, des images de l'émission soient montées et diffusées sur un écran géant, avant la prise de parole de Marine Le Pen. Des extraits diffusés dans C dans l'air entre le 8 janvier et le 8 février 2023 

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  • Amiens (80) : deux Marocains, Khalid A. et Mohamed B., un Algérien, Rachid R. et un Espagnol, Khalid C., jugés pour des agressions sexuelles sur mineures diffusées sur Snapchat, dans un logement géré par une structure humanitaire (Màj)

    03/05/2023

    Quatre hommes d’une vingtaine d’années comparaissaient devant le tribunal correctionnel d’Amiens ce mardi pour agressions sexuelles en réunion sur deux adolescentes. Les faits remontent à la nuit du 13 au 14 mars 2021, dans un appartement amiénois, géré par une structure humanitaire et habité par l’un des prévenus, de nationalité marocaine. Deux des quatre prévenus ont filmé les agressions sexuelles sur leur téléphone portable, qui ont été diffusées en direct sur le réseau social Snapchat.

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  • Info : Oliv Oliv a pris une grenade dans la tête lors des manifestations du 1er mai

  • 1er Mai : le pouvoir profite de la violence des antifas

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    Bernard Germain

    Lundi avaient lieu de multiples manifestations, à travers toute la France, contre la réforme des retraites de Macron. Comme d’habitude, les cortèges de manifestants furent calmes et sans incident. À l’exception de quelques accrochages avec les antifas, regroupés en blackblocks, qui entendaient pouvoir rentrer dans les cortèges syndicaux afin de se cacher après avoir agressé les policiers. Pas de chance pour eux, les services d’ordre des syndicats ne l’entendaient pas de cette oreille et les antifas ont vite compris qu’ils n’étaient pas les bienvenus.

    On assista donc à cette situation incroyable : un « pré-cortège » comme disent les journalistes, constitué d’énergumènes ultra-violents qui cassaient tout sur leur passage, mettaient le feux à tout ce qu’ils pouvaient et attaquaient à intervalles réguliers les policiers.

    Et pour ces gens-là, il n’y a pas de limite. Ils sont là pour casser et… tuer !

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  • Impasse Macron

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    Le billet de Patrick Parment

     Qu’importe au final le nombre de participants aux défilés du 1er mai en France. En revanche, ces mobilisations montrent bien que le pays n’est pas démobilisé contre ce gouvernement. Car les manifs de la réforme des retraites (treize à ce jour) ne sont que la partie émergée de l’iceberg. C’est une France des « gilets jaunes » sans gilet qui descend à chaque fois dans la rue. Les syndicats font de cette réforme un gimmick alors qu’ils savent pertinemment que le gouvernement ne reviendra pas en arrière. Par ailleurs, les syndicats ne sont pas représentatifs de l’ensemble des travailleurs, loin s’en faut. Mais ils restent un excellent détonateur. Cependant faire la grève coûte cher aux ménages qui ont un seuil d’acceptation limité.

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  • Réintégration des non-vaccinés : ça grogne chez les médecins vedettes…

     

    Marie Delarue 2 mai 2023 

    En visite dans la Marne, vendredi dernier, chez Axon' Cable à Montmirail, le ministre de la Santé François Braun a annoncé la signature d’un décret permettant la réintégration des soignants non vaccinés pour la mi-mai.

    Officiellement, ce sont 2,7 millions de personnes qui étaient concernées par l’obligation vaccinale : tous les soignants, de même que les personnels des hôpitaux et des maisons de retraite, les ambulanciers, les aides à domicile ou encore les pompiers et gendarmes.

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  • Un procureur sur les casseurs d’extrême gauche : “Impossible de vérifier leur identité dans les délais. Ces procédures mobilisent toute la chaîne judiciaire et engendrent des dégâts collatéraux énormes : des pans entiers de la délinquance sont impactés”

    L’État éprouve des difficultés à judiciariser ses renseignements. Mettre un visage et un nom sur une personne appartenant à un groupe est une chose. Démontrer, pénalement, que cette personne a personnellement commis une infraction en est une autre. Sur le terrain, le problème n°1, c’est l’identification. La plupart des infractions sont commises à l’abri des regards, derrière des parapluies ou des bâches spécialement déployées. Elle rend impossible la capacité de dire avec certitude qui a fait quoi. Sans cela, toute procédure judiciaire est vouée à l’échec. C’est la loi.

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  • AFFAIRES BETANCOURT, SARKOZY, CAHUZAC : LA FEMME QUI EN SAVAIT TROP AVEC STÉPHANIE GIBAUD