C'est, mine de rien, une petite bombe que vient de lâcher Christian Cambon, patron de la commission de Défense du Sénat, interrogé, ce mercredi, sur RFI. Dans un contexte de guerre aux portes de l'Europe, de retour aux conflits dits « de haute intensité » et aux affrontements entre puissances de poids égal, le sénateur LR a expliqué que la France serait à court de munitions au bout de « quatre jours au maximum ». « Je ne force pas le trait, a-t-il ajouté. Je pense même que mes informations sont optimistes par rapport à la réalité sur un certain nombre de points. »
France et politique française - Page 832
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L’armée française n’a-t-elle que quatre jours de munitions ?
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Campagne présidentielle : face à Emmanuel Macron et sa stratégie de la “tacite reconduction”, plusieurs personnalités lancent le hashtag #PasDeDébatPasDeMandat
Face à Emmanuel Macron et sa stratégie de la «tacite reconduction» qui n’a pas caché sa volonté de poursuivre sur sa lancée mais en pire, un collectif dont Ariane Ascaride, Laurent Binet ou Alice Zeniter… riposte avec le hashtag #PasDeDébatPasDeMandat.
Oui, il y a la guerre. Mais il se trouve qu’il y a aussi une campagne présidentielle. De qui cette situation fait les affaires, la chose est assez claire pour tout le monde. Une réélection sans campagne, quelle riche idée. Une campagne annulée par cas de force majeure, quelle providence. Nous avions compris que Macron avait pour idéal le renouvellement de son mandat par tacite reconduction.
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Paul Sugy : Antispécisme, la haine de l'homme
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Le Samedi Politique avec François Asselineau – Macron : La guerre permanente
Deux ans d’épidémie de Covid-19, deux semaines de guerre de la Russie en Ukraine et bientôt une crise économique multisectorielle… la présidentielle de 2022 s’annonce comme une échéance cruciale. Pourtant, depuis l’arrivée du Sars Cov2, la gestion autoritaire du gouvernement conjuguée à l’unanimisme obligatoire distillé dans les médias du Système ont enfermé une bonne partie des Français dans une camisole mentale.
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NOTRE AGRICULTEUR EN COLÈRE !
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Insécurité et délinquance : Nantes au bord de la crise de nerfs
Jadis, la Cité des ducs était l’un des villes les plus attractives de France. L’agglomération bénéficiait en effet de nombreux atouts. Outre sa situation géographique, elle accueillait un important pôle universitaire, de nombreuses entreprises nourrissaient le marché de l’emploi et l’activité culturelle y était florissante. C’était alors la destination rêvée pour de nombreux Parisiens ne supportant plus les difficultés et les vicissitudes de la vie dans la capitale.
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“Dans les années qui viennent et pas à la fin du siècle, nous risquons d’être minoritaires dans notre territoire”
Jean-Marie Le Pen a été interrogé dans l’Incorrect. Extrait :
L’expression de Grand Remplacement est au cœur de la campagne. Est-ce une victoire pour vous qu’on en parle autant ?
Bien sûr ! C’est un avertissement solennel aux Français et aux Européens du danger de submersion migratoire qui les menace. Le Grand Remplacement est en cours. Nous avons 400 000 immigrés légaux chaque année, sans compter les clandestins. On le sait, ces gens font beaucoup plus d’enfants que nous de surcroît. L’équilibre entre les populations de terrain et celles de l’extérieur ne cesse de se modifier au détriment des gens du pays. Dans les années qui viennent et pas à la fin du siècle, nous risquons d’être minoritaires dans notre territoire.
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Énergie, Russie, retraites, immigration : en France, quarante ans d’inaction. Et Macron
Les jeunes générations qui atteignent, en 2022, leur majorité découvrent peut-être comme des problèmes nouveaux notre dépendance énergétique, le problème du financement des retraites, la question géopolitique de notre rapport à la Russie ou encore les crises migratoires. C'est, en tout cas, ainsi qu'on leur présente les choses. Sous la pression des événements et de la guerre en Ukraine, les dirigeants français et européens - et nous avec eux - semblent découvrir tout cela. Et on nous annonce des plans dit « de résilience ».
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David Belliard, adjoint EELV à la mairie de Paris, accusé de “magouilles” pour faire avancer sa carrière
Un conseiller d’arrondissement du parti animaliste du XIe accuse l’adjoint EELV chargé des transports à la mairie de Paris d’avoir bidouillé les listes lors du dépôt entre les deux tours des dernières municipales pour faire avancer sa carrière et celle d’un écologiste proche de lui. Des critiques que balaie le secrétaire départemental d’EELV.
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Florian Philippot soutient Nicolas Dupont-Aignan
Faute de parrainages pour se présenter, Florian Philippot avait consulté ses adhérents, qui avaient voté à 40.46 % en faveur d’un soutien à Zemmour, 28,65 % à Nicolas Dupont-Aignan, 15,81 % à aucun candidat et 6.57 % à Marine Le Pen.