Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

santé et médecine - Page 347

  • Le drame des enfants nés vivants durant leur avortement

    Les statistiques officielles pour l’Angleterre et le pays de Galles indiquent qu’en 2005, 66 nouveau-nés ont survécu à leur avortement et ont agonisé pendant parfois plus de dix heures.

    Lorsqu’un enfant naît grand prématuré, tout est mis en œuvre pour le sauver. Si ce n’est pas possible, il reçoit des soins de confort et est entouré jusqu’à son décès.

    Tout autre est la situation de ceux qui naissent vivants après un avortement. Il ne s’agit pas de ceux dont on provoque la naissance parce que la poursuite de la grossesse présente un danger majeur, mais bien de ceux qui naissent vivants accidentellement, suite à un « échec » de l’avortement. Une étude publiée en 2007 a conclu qu’environ une interruption de grossesse sur 30 après 16 semaines résultait en une naissance vivante. À 23 semaines, la proportion atteignait 9,7 %, soit presque 1 sur 10. Or, l’avortement est pratiqué sur simple demande jusqu’à 18 semaines en Suède, 24 semaines en Angleterre et aux Pays-Bas, et sans limite légale au Canada. Il est pratiqué jusqu’à la fin de la grossesse en cas de malformation en France et en Angleterre. Le seuil de viabilité fixé par l’OMS est 22 semaines.

    Lire la suite 

  • Marche pour la Vie : J - 7

    La Famille Missionnaire de Notre-Damequi a annoncé sa participation et son soutien fidèle à la Marche pour la Vie, a décidé d'effectuer un compte à rebours avant ce grand évènement pro-vie en publiant un communiqué par jour. Le premier s'intitule Pourquoi marcher pour la vie dimanche prochain à Paris ?

    "Nous avons déjà donné, dans notre communiqué invitant à marcher pour la vie, les raisons pour lesquelles nous participions à cette marche. Il nous semble important, en cette semaine, de reprendre des passages importants de l’enseignement de l’Eglise qui peuvent être compris par tous les hommes de bonne volonté, quelle que soit leur religion ou leur philosophie. Au numéro 42 de la Charte des personnels de la santé de 1995, promulguée par le Saint-Siège, il est dit au sujet de la dignité absolue de toute vie humaine :

    "Le corps participe, de manière indivisible avec l'esprit, à la dignité propre de la valeur humaine de la personne : corps-sujet et non corps-objet, et, en tant que tel, il est indisponible et inviolable. On ne peut disposer du corps comme d'un objet qui nous appartiendrait. On ne peut en faire une contrefaçon, comme s'il s'agissait d'une chose ou d'un instrument, dont on serait le propriétaire et le maître absolu. Chaque intervention abusive sur le corps est une offense à la dignité de la personne et donc à Dieu qui est le Seigneur absolu et unique : «L'homme n'est pas maître de sa propre vie, il le reçoit en usufruit ; il n'en est pas le propriétaire, mais l'administrateur, car Dieu seul est Seigneur de la vie.» (Charte 42). L'appartenance à Dieu, et non à l'homme, de la vie confère à cette dernière ce caractère sacré qui suscite une attitude de profond respect. Elle est indisponible et intangible parce que sacrée : elle est «sacrée par nature, et toute intelligence droite est capable de le reconnaître, même en faisant abstraction de toute croyance religieuse» (Charte 43).

    Nous continuerons à marcher pour la vie pour défendre ce caractère sacré de la vie. Nous n’acceptons pas l’affirmation de Pierre Simon, dans son livre « de la vie avant toute chose ». La vie n’est pas une production humaine, elle est sacrée parce que don de Dieu ! Elle doit être aimée, servie, protégée de sa conception à son terme naturel !"

    2015_mpv_image

    Philippe Carhon

  • Monsanto: Sa vie, son empire en 3 minutes

    Monsanto, probablement une des compagnies les plus critiquées dans la société actuelle. Pourtant, rien n’arrête ce géant américain qui ne cesse d’augmenter ses profits année après année.

    Monsanto, c’est cette compagnie qui offre du maïs transgénique à la population pour se nourrir et qui demande aux agriculteurs de payer chaque année pour avoir le droit de planter les graines offertes par la firme.

    Le résultat est inquiétant pour tous: les OGM sont de plus en plus utilisés un peu partout dans le monde et les petits agriculteurs ne peuvent poursuivre leurs activités, faute de fond. Et c’est ainsi que le monopole Monsanto est à nos portes.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Euthanasie : Rendez-vous dans la rue le 25 janvier pour stopper le projet funeste de Hollande

    Communiqué de La Marche pour la vie :

    "La Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) examinera, ce mercredi 7 janvier 2015, le sort de Vincent Lambert et la responsabilité de l’Etat français. Soit la France sera condamnée pour violation des principes conventionnels et l’imprécision de sa législation sur la fin de vie, soit la Cour donnera raison à la France et les soins d'alimentation et d'hydratation à Vincent Lambert, abusivement assimilés à des traitements, seront arrêtés.

    Cette décision est d’autant plus attendue que s’ouvrira le 21 janvier prochain un débat à l’Assemblée Nationale sur la fin de vie et notamment sur l’évolution à apporter au cadre légal que constitue depuis 2005 la loi Leonetti.

    La Marche pour la vie entend mettre en garde contre le projet porté par le gouvernement. La priorité aujourd’hui doit être à l'amélioration des soins donnés et non à l'administration de la mort programmée. Le 1er débat parlementaire doit préparer les esprits mais les travaux déjà effectués sont explicites : ils conduisent à la légalisation de l’euthanasie qui juge la valeur de la vie humaine à l'aune de critère d'utilité ou de qualité de la vie.

    Contrairement à l’objectif annoncé, la politique du gouvernement n’est pas au consensus, encore moins à l’apaisement ou l’unité entre les Français.

    Comme le rappelle Julie Graziani, porte-parole de La Marche pour la Vie : "La majorité des Français souhaite la généralisation des soins palliatifs comme réponse prioritaire à la souffrance et l’absence d’acharnement thérapeutique au nom du respect de la volonté du malade. Le gouvernement a choisi de mettre l'accent sur les possibilités d'abréger la vie quand il aurait fallu faire porter l'effort sur le développement d'une culture des soins. On est donc à nouveau dans une logique de division. Rendez-vous dans la rue le 25 janvier pour stopper le projet funeste de François Hollande. »

    Michel Janva

  • Zoom sur les circuits courts

    Les circuits courts s’engagent à supprimer les intermédiaires entre les producteurs et les consommateurs. Meilleur pour la santé, plus équitable, moins polluant et moins cher, le circuit court est tendance. Chefs de file dans le secteur des fruits et légumes, les Amap, associations pour le maintient d’une agriculture paysanne.

    Le circuit court, un marché qui a tellement le vent en poupe, que la grande distribution a à son tour créé une enseigne spécialisée, O’Tera. L’idée : faire cohabiter circuits courts et circuits traditionnels. Antilles, Espagne, Équateur… 28% des produits vendus ici sont loin d’être issus des circuits courts. Objectif : attirer une nouvelle clientèle pas prête à acheter son produit directement dans la ferme, mais qui veut en finir avec la traditionnelle grande surface.

    “Lorsqu’on a semé ces poireaux en mars, on savait déjà qu’on les avait vendus à 150 familles qui sont autour de nous. C’est le principe de l’Amap où les consommateurs s’engagent à l’avance à financer toute la production d’une ferme“, commente Florent Seban, maraîcher en Haute-Saône. Dans le village, les clients reçoivent chaque semaine un panier d’au moins douze fruits et légumes bio.

    Ailleurs, des agriculteurs se sont regroupés pour vendre leurs produits dans un même magasin. Les 27 agriculteurs travaillent chacun un jour par semaine, dans cet espace qui ressemble à une supérette. Tout est récolté à moins de 80 km. Ici, le panier, pas toujours bio, est facturé 16,99 euros.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Médecins contre Touraine : une guerre sans merci

    Les médecins ont raison, ils se battent pour conserver la médecine dont on disait encore il y a quelques années qu’elle était la meilleure du monde. 

    La guerre entre les médecins et le gouvernement dure maintenant depuis assez longtemps pour que la vérité soit enfin écrite sur ce qui motive ce conflit. Jusqu’à ce jour, c’est plutôt la désinformation de la presse d’État qui a primé.

    Non, les médecins ne sont pas des nantis qui défendent leurs intérêts. La loi santé voulue idéologiquement par la gauche de Hollande et Macron, c’est la mort de la liberté de soins. Ce sont les patients qui seront les premiers à trinquer, même si on veut leur faire croire le contraire.

    Lire la suite

  • Grève contre le projet de loi santé : le mouvement des médecins "va durer"

    Les syndicats de médecins, qui accusent le gouvernement d'être "sourd", envisagent de prolonger leur action au-delà du 31 décembre.

    La grève contre le projet de loi santé pourrait "durer" au-delà du 31 décembre, car le gouvernement est "sourd" aux demandes des médecins, a affirmé vendredi la FMF, tandis qu'un autre syndicat de médecins, la CSMF, évoquait un mouvement "particulièrement suivi". "Cette grève normalement s'arrête le 31 décembre. Mais on sait que ça va durer, on sait que ça va être obligé de durer. On est en face d'un ministère qui est particulièrement sourd", a affirmé le président de la Fédération des médecins de France (FMF) Jean-Paul Hamon sur RTL. Le gouvernement "prétend vouloir renégocier", mais lors des négociations qui se sont déroulées "la semaine dernière, on nous a ressorti le même texte qu'au mois de juillet, sans modification d'une virgule", a-t-il dénoncé.

    Dans un communiqué, la Confédération des syndicats de médecins français (CSMF, généralistes et spécialistes) souligne que la grève est "particulièrement suivie" avec plus de "80 % de cabinets médicaux fermés". Pour l'organisation, cela démontre "l'exaspération et la détermination de la profession" contre le projet de loi de santé "qui va détruire l'organisation des soins libéraux de proximité auxquels les Français sont attachés pour en faire une usine à gaz aux mains de l'administration où tout sera plus compliqué et plus long".

    "Il ne faudrait pas que Marisol Touraine pense qu'elle a échappé à une catastrophe sanitaire"

    Du côté de l'impact de la grève pour les patients, Jean-Paul Hamon, dont le syndicat regroupe des spécialistes et généralistes, a reconnu qu'il n'y avait pas d'afflux aux urgences, comme l'avait souligné mercredi Marisol Touraine. La ministre de la Santé "a un peu de chance et les patients aussi", "il y a effectivement moins de patients en ce moment, il n'y a pas d'épidémie, il y a très peu de pathologies", a-t-il relevé. Mais "il ne faudrait pas que Marisol Touraine pense qu'elle a échappé à une catastrophe sanitaire", celle-ci "va arriver avec la mise en oeuvre de cette loi", le projet de loi santé, a-t-il ajouté. "Nous exigeons toujours qu'elle soit retirée", car Marisol Touraine "veut nous noyer sous la paperasse avec un tiers payant généralisé" et "nous mettre sous la coupe des agences régionales de santé" (ARS) qui "vont pouvoir conventionner les médecins à leur guise".

    Plusieurs syndicats de médecins libéraux ont appelé à fermer les cabinets pendant les vacances de Noël. Les spécialistes se sont joints mercredi au mouvement entamé la veille par les généralistes. Les médecins ont des revendications tarifaires : les généralistes demandent une consultation à 25 euros, les spécialistes la revalorisation des actes. Ils demandent aussi la réécriture, voire le retrait du projet de loi santé dont l'examen par le Parlement est prévu en avril. Le député UMP et urologue Bernard Debré, qui avait déjà affiché son soutien aux grévistes, a aussi appelé vendredi sur i>Télé à la suppression de ce projet qu'il juge "mauvais". "Il a déjà été repoussé, il devait passer à l'Assemblée nationale en janvier, maintenant c'est en avril, peut-être en mai. Il faut arrêter", a-t-il dit. "On ne peut pas réformer sans l'accord des médecins."

    source : afp via le Point 

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuEAyplFVyBdaxMUke.shtml

  • Lio renie Mai 68

    Lio récidive :

    "Avec un discours volontairement opposé aux mères porteuses, aux familles monoparentales, à la procréation médicalement assistée, et ses confessions sur le difficile quotidien de sa famille pas si heureuse ("Je suis en psychanalyse lourde trois heures par semaine et toutes les semaines pour essayer d'accompagner mes enfants"), les derniers propos de Lio sur le plateau de France 2 avaient choqué.

    Aujourd'hui, au magazine Gala, la chanteuse pop des années 80 s'explique et revient sur ses critiques. "Ce que je voulais faire, c’était parta­ger mon expé­rience de mère, parta­ger une expé­rience" analyse Lio. Maman de six enfants nés de quatre pères différents, la famille de Lio n'a rien d'un modèle classique. Mais celle qui a toujours revendiqué son "droit de tomber amou­reuse, de faire des enfants avec qui (je) veux, de (me) séparer vingt fois, de vivre plusieurs amours, de vivre plusieurs vies, d’être plusieurs femmes" s'assagit aujourd'hui et fait un lourd bilan de maman :"J'ai telle­ment porté ça en avant que mes enfants, derrière, je ne les ai pas regar­dés. Et leur souf­france m’a forcée à les regar­der. Parce qu’ils m’ont dit qu’ils n’al­laient pas bien".

    Ses erreurs Lio les reconnait ("Je suis longtemps restée Peter Pan. J’ai démarré ce métier à seize ans et, quelque part, ce milieu est abso­lu­ment infan­ti­li­sant, donc oui, je n’avais pas grandi.") mais les "maux" de ses enfants, Lio les assume : "Cela ne retire en rien ma respon­sa­bi­lité qui est pleine et entière".

    Alors qu'elle a toujours "refuser d'interdire", aujourd'hui Lio se rend compte que seul le "discours d'amour" n'est pas suffisant :"Je pensais que ce serait facile pour les enfants, à partir du moment où on était justement dans le dialogue et dans l’amour, d’as­su­mer les frères, les sœurs et les papas diffé­rents. Il s’avère que non. Ça ne suffit pas. Il faut poser des actes construc­teurs. Moi, je suis une enfant de Mai 68, d’une géné­ra­tion pour laquelle les règles juste­ment étaient mal vues. Celle du 'Il faut inter­dire d’in­ter­dire'. Or il faut des inter­dic­tions, des limites, des frus­tra­tions pour se construire."

    Michel Janva

  • Compte pénibilité : pour en finir avec les usines à gaz

    L’écotaxe est le paradigme de toutes ces mesures idéologiques inapplicables. On pourrait y ajouter la loi Duflot et la réforme des rythmes scolaires.

    Le parcours qui a créé et qui va défaire l’écotaxe et le compte pénibilité, avant même qu’ils ne soient mis en œuvre, est révélateur de la faillite de nos élites. Et riche d’enseignements pour ceux qui seraient tentés (et bientôt contraints) de réformer le pays.

    À l’origine, comme toujours, il y a une belle idée : prendre en compte la pénibilité pour accorder des compensations en termes de retraite. Le gouvernement laisse les partenaires sociaux discuter. La CFDT frétille à l’idée d’arriver à un accord avec le patronat. Patronat qui, toujours un œil sur les comptes, s’efforce d’encadrer la mesure. Et de cela naît une nouvelle usine à gaz

    Lire la suite

  • Dr Natasha Campbell-McBride : « L’aliment est le meilleur médicament »

    Le Dr Natasha Campbell-McBride explique l’importance cruciale de l’alimentation sur notre santé, son efficacité sur les maladies dégénératives et les pathologies modernes.

    (NB : si les sous-titres ne se lancent pas automatiquement, cliquer sur le bouton “Sous-titres” en bas à droite)

    http://fortune.fdesouche.com/