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santé et médecine - Page 348

  • Zoom sur les circuits courts

    Les circuits courts s’engagent à supprimer les intermédiaires entre les producteurs et les consommateurs. Meilleur pour la santé, plus équitable, moins polluant et moins cher, le circuit court est tendance. Chefs de file dans le secteur des fruits et légumes, les Amap, associations pour le maintient d’une agriculture paysanne.

    Le circuit court, un marché qui a tellement le vent en poupe, que la grande distribution a à son tour créé une enseigne spécialisée, O’Tera. L’idée : faire cohabiter circuits courts et circuits traditionnels. Antilles, Espagne, Équateur… 28% des produits vendus ici sont loin d’être issus des circuits courts. Objectif : attirer une nouvelle clientèle pas prête à acheter son produit directement dans la ferme, mais qui veut en finir avec la traditionnelle grande surface.

    “Lorsqu’on a semé ces poireaux en mars, on savait déjà qu’on les avait vendus à 150 familles qui sont autour de nous. C’est le principe de l’Amap où les consommateurs s’engagent à l’avance à financer toute la production d’une ferme“, commente Florent Seban, maraîcher en Haute-Saône. Dans le village, les clients reçoivent chaque semaine un panier d’au moins douze fruits et légumes bio.

    Ailleurs, des agriculteurs se sont regroupés pour vendre leurs produits dans un même magasin. Les 27 agriculteurs travaillent chacun un jour par semaine, dans cet espace qui ressemble à une supérette. Tout est récolté à moins de 80 km. Ici, le panier, pas toujours bio, est facturé 16,99 euros.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Médecins contre Touraine : une guerre sans merci

    Les médecins ont raison, ils se battent pour conserver la médecine dont on disait encore il y a quelques années qu’elle était la meilleure du monde. 

    La guerre entre les médecins et le gouvernement dure maintenant depuis assez longtemps pour que la vérité soit enfin écrite sur ce qui motive ce conflit. Jusqu’à ce jour, c’est plutôt la désinformation de la presse d’État qui a primé.

    Non, les médecins ne sont pas des nantis qui défendent leurs intérêts. La loi santé voulue idéologiquement par la gauche de Hollande et Macron, c’est la mort de la liberté de soins. Ce sont les patients qui seront les premiers à trinquer, même si on veut leur faire croire le contraire.

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  • Grève contre le projet de loi santé : le mouvement des médecins "va durer"

    Les syndicats de médecins, qui accusent le gouvernement d'être "sourd", envisagent de prolonger leur action au-delà du 31 décembre.

    La grève contre le projet de loi santé pourrait "durer" au-delà du 31 décembre, car le gouvernement est "sourd" aux demandes des médecins, a affirmé vendredi la FMF, tandis qu'un autre syndicat de médecins, la CSMF, évoquait un mouvement "particulièrement suivi". "Cette grève normalement s'arrête le 31 décembre. Mais on sait que ça va durer, on sait que ça va être obligé de durer. On est en face d'un ministère qui est particulièrement sourd", a affirmé le président de la Fédération des médecins de France (FMF) Jean-Paul Hamon sur RTL. Le gouvernement "prétend vouloir renégocier", mais lors des négociations qui se sont déroulées "la semaine dernière, on nous a ressorti le même texte qu'au mois de juillet, sans modification d'une virgule", a-t-il dénoncé.

    Dans un communiqué, la Confédération des syndicats de médecins français (CSMF, généralistes et spécialistes) souligne que la grève est "particulièrement suivie" avec plus de "80 % de cabinets médicaux fermés". Pour l'organisation, cela démontre "l'exaspération et la détermination de la profession" contre le projet de loi de santé "qui va détruire l'organisation des soins libéraux de proximité auxquels les Français sont attachés pour en faire une usine à gaz aux mains de l'administration où tout sera plus compliqué et plus long".

    "Il ne faudrait pas que Marisol Touraine pense qu'elle a échappé à une catastrophe sanitaire"

    Du côté de l'impact de la grève pour les patients, Jean-Paul Hamon, dont le syndicat regroupe des spécialistes et généralistes, a reconnu qu'il n'y avait pas d'afflux aux urgences, comme l'avait souligné mercredi Marisol Touraine. La ministre de la Santé "a un peu de chance et les patients aussi", "il y a effectivement moins de patients en ce moment, il n'y a pas d'épidémie, il y a très peu de pathologies", a-t-il relevé. Mais "il ne faudrait pas que Marisol Touraine pense qu'elle a échappé à une catastrophe sanitaire", celle-ci "va arriver avec la mise en oeuvre de cette loi", le projet de loi santé, a-t-il ajouté. "Nous exigeons toujours qu'elle soit retirée", car Marisol Touraine "veut nous noyer sous la paperasse avec un tiers payant généralisé" et "nous mettre sous la coupe des agences régionales de santé" (ARS) qui "vont pouvoir conventionner les médecins à leur guise".

    Plusieurs syndicats de médecins libéraux ont appelé à fermer les cabinets pendant les vacances de Noël. Les spécialistes se sont joints mercredi au mouvement entamé la veille par les généralistes. Les médecins ont des revendications tarifaires : les généralistes demandent une consultation à 25 euros, les spécialistes la revalorisation des actes. Ils demandent aussi la réécriture, voire le retrait du projet de loi santé dont l'examen par le Parlement est prévu en avril. Le député UMP et urologue Bernard Debré, qui avait déjà affiché son soutien aux grévistes, a aussi appelé vendredi sur i>Télé à la suppression de ce projet qu'il juge "mauvais". "Il a déjà été repoussé, il devait passer à l'Assemblée nationale en janvier, maintenant c'est en avril, peut-être en mai. Il faut arrêter", a-t-il dit. "On ne peut pas réformer sans l'accord des médecins."

    source : afp via le Point 

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuEAyplFVyBdaxMUke.shtml

  • Lio renie Mai 68

    Lio récidive :

    "Avec un discours volontairement opposé aux mères porteuses, aux familles monoparentales, à la procréation médicalement assistée, et ses confessions sur le difficile quotidien de sa famille pas si heureuse ("Je suis en psychanalyse lourde trois heures par semaine et toutes les semaines pour essayer d'accompagner mes enfants"), les derniers propos de Lio sur le plateau de France 2 avaient choqué.

    Aujourd'hui, au magazine Gala, la chanteuse pop des années 80 s'explique et revient sur ses critiques. "Ce que je voulais faire, c’était parta­ger mon expé­rience de mère, parta­ger une expé­rience" analyse Lio. Maman de six enfants nés de quatre pères différents, la famille de Lio n'a rien d'un modèle classique. Mais celle qui a toujours revendiqué son "droit de tomber amou­reuse, de faire des enfants avec qui (je) veux, de (me) séparer vingt fois, de vivre plusieurs amours, de vivre plusieurs vies, d’être plusieurs femmes" s'assagit aujourd'hui et fait un lourd bilan de maman :"J'ai telle­ment porté ça en avant que mes enfants, derrière, je ne les ai pas regar­dés. Et leur souf­france m’a forcée à les regar­der. Parce qu’ils m’ont dit qu’ils n’al­laient pas bien".

    Ses erreurs Lio les reconnait ("Je suis longtemps restée Peter Pan. J’ai démarré ce métier à seize ans et, quelque part, ce milieu est abso­lu­ment infan­ti­li­sant, donc oui, je n’avais pas grandi.") mais les "maux" de ses enfants, Lio les assume : "Cela ne retire en rien ma respon­sa­bi­lité qui est pleine et entière".

    Alors qu'elle a toujours "refuser d'interdire", aujourd'hui Lio se rend compte que seul le "discours d'amour" n'est pas suffisant :"Je pensais que ce serait facile pour les enfants, à partir du moment où on était justement dans le dialogue et dans l’amour, d’as­su­mer les frères, les sœurs et les papas diffé­rents. Il s’avère que non. Ça ne suffit pas. Il faut poser des actes construc­teurs. Moi, je suis une enfant de Mai 68, d’une géné­ra­tion pour laquelle les règles juste­ment étaient mal vues. Celle du 'Il faut inter­dire d’in­ter­dire'. Or il faut des inter­dic­tions, des limites, des frus­tra­tions pour se construire."

    Michel Janva

  • Compte pénibilité : pour en finir avec les usines à gaz

    L’écotaxe est le paradigme de toutes ces mesures idéologiques inapplicables. On pourrait y ajouter la loi Duflot et la réforme des rythmes scolaires.

    Le parcours qui a créé et qui va défaire l’écotaxe et le compte pénibilité, avant même qu’ils ne soient mis en œuvre, est révélateur de la faillite de nos élites. Et riche d’enseignements pour ceux qui seraient tentés (et bientôt contraints) de réformer le pays.

    À l’origine, comme toujours, il y a une belle idée : prendre en compte la pénibilité pour accorder des compensations en termes de retraite. Le gouvernement laisse les partenaires sociaux discuter. La CFDT frétille à l’idée d’arriver à un accord avec le patronat. Patronat qui, toujours un œil sur les comptes, s’efforce d’encadrer la mesure. Et de cela naît une nouvelle usine à gaz

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  • Dr Natasha Campbell-McBride : « L’aliment est le meilleur médicament »

    Le Dr Natasha Campbell-McBride explique l’importance cruciale de l’alimentation sur notre santé, son efficacité sur les maladies dégénératives et les pathologies modernes.

    (NB : si les sous-titres ne se lancent pas automatiquement, cliquer sur le bouton “Sous-titres” en bas à droite)

    http://fortune.fdesouche.com/

  • La chimie des coups d’état. Les « Printemps arabe » et le putsch de Kiev ont été accomplis grâce aux amphétamines, ces « pilules de l’horreur ».

    Derrière les coupeurs de tête de l’EIIL et ‘’partisans ukrainiens’’ se trouvent les « pilules de l’horreur », la puissante amphétamine Captagon, qui supprime le sentiment de pitié et augmente la résistance physique.

    Le quotidienIl Giornalepublie un article de Gianni Michalessina qui raconte que le premier Captagon fut utilisé au Caire. La « mixture de l’horreur » s’est répandue avec le « printemps arabe » comme l’élixir d’endurance et du renforcement de la révolution, distribuée aux foules prêtes à se sacrifier de Tunis à l’Egypte, de la Lybie à la Syrie.

    L’amphétamine mortelle est devenue un cauchemar pour le Moyen-Orient : dans l’extase les gens égorgent et tuent avec un sourire sur le visage, la tête vide. Les Kurdes témoignent de ce qu’ils ont trouvé ces pilules dans les poches de centaines de combattants liquidés à Kobanî. Les analyses de la bande son effectuées par les services US sur les vidéos où figure Djihadi John, le combattant britannique chargé d’exécuter les otages, indiquent que le bourreau agit sous l’effet d’amphétamines.

    1418242786_706f8d62f64d09620cce207ac2036e61Les premiers récits sur l’utilisation de cette substance proviennent des manifestants tombés aux mains de la police en 2011. Beaucoup d’entre eux reconnaissent avoir reçu des organisateurs ces pilules extraordinaires qui donnent « courage et force ». Les livraisons se faisaient alors aux Frères Musulmans depuis Dubaï et le Qatar.

    Les premières analyses chimiques furent effectuées par les Carabiniers italiens. Lorsqu’ils se rendirent en Libye en 2013, pour tenter de transformer les groupes de combattants en une armée régulière, et sur la base d’analyses de sang, ils comprirent qu’au moins 30% des candidats étaient dépendants aux drogues.

    Aujourd’hui le Captagon transforme le fanatisme des combattants de l’EIIL en férocité animale. Ces pilules, produites désormais dans les territoires qu’ils contrôlent, sont devenues un véritable carburant pour mener guerre et terreur, conclut l’auteur de cet article.

    Toutes les preuves montrent que ce ne sont pas les sourates du Coran mais bien les amphétamines qui occasionnent ces actes criminels, et également la façon dont ces drogues sont arrivées au Qatar et à Dubaï. Les idéologues de leur utilisation sont les oligarques sionistes qui contrôlent les pays occidentaux, et leurs satellites orientaux de l’Europe.

    Mis en production par l’OTAN en 2011 dans les laboratoires bulgares, le Captagon est désormais produit dans tout le Moyen-Orient, en particulier en Syrie. Début avril 2014, l’armée arabe syrienne a intercepté un véhicule empli de tablettes de Captagon et de composants équivalents à une tonne de Captagon (phenidate hydrochloride), l’amphétamine qui provoque l’euphorie et réduit la douleur. Mélangé à d’autres substances, telle que le haschisch, il représente ‘’l’alimentation de base’’ des djihadistes, qui perdent la sensation de leur douleur, de celle des autres, et leur font commettre des horreurs « en rigolant ».

    En février 2014, dans l’article intitulé « préparations psychotropes comme instrument de manipulation de la conscience des foules en général, et celle du Maïdan en particulier », nous avons passé en revue l’utilisation des psychotropes artificiels dans les guerres ; mais nous avions souligné comment le boxeur Klishko-Etinson acheminait au Maïdan, sous l’étiquette d’additifs sportifs, les psychotropes de combat de l’armée américaine qui font partie de la trousse de secours des unités spéciales.

    1418242713_3Ces substances sont des drogues qui non seulement augmentent la confiance en soi, mais réduisent les besoins de repos et de sommeil. A plus hautes doses elles provoquent une intense excitation psychique, dont l’effet peut être prolongé jusqu’à trois jours pleins. De l’utilisation prolongée surviennent des psychoses, qui souvent s’accompagnent de délires et hallucinations, dont découle un niveau extrême d’agression (ce que nous observons jusqu’à présent dans l’Ukraine occupée).

    Nous avions écrit alors que les « combattants du Maïdan » recevaient de l’étranger non seulement de l’argent, mais de la drogue, qui par ailleurs se vendait librement et bon marché sur l’euromaïdan.

    En avril 2014, en qualité de maire de Kiev, V . Bondarenko, a reconnu que dans la mairie occupée pendant l’euromaïdan il y avait un atelier de fabrication de drogue. C’est ainsi que ces substances étaient massivement distribuées aux tueurs d’Odessa le 2 mai.

    Le matériau nécessaire à la fabrication de Captagon fut livré en quantité industrielle, entre autres, le 11 mai, lorsqu’à l’aéroport de Kiev, où dans le plus grand secret, est arrivé un vol dont on déchargea des volumes entiers de chimie, et des emballages avec des pilules d’amphétamines. Ce vol était accompagné d’un collaborateur de la CIA, Richard Michael, et de 70 mercenaires d’une compagnie privée polonaise. Sur ordre des services ukrainiens de sécurité, les mercenaires, le convoi et son contenu chimique n’ont pas fait l’objet de vérifications, et ont quitté les bâtiments de l’aéroport dans des véhicules aux vitres teintées. Ensuite il y eut encore des livraisons, jusqu’à ce que la production soit implantée sur le territoire ukrainien.

    Aujourd’hui, sous l’effet de ces drogues, les forces armées de ce que fut l’Ukraine avec les mercenaires sous l’autorité du régime des oligarques sionistes autochtones, et leurs complices étrangers, accomplissent un véritable génocide des Russes de Novorossia.

    Traduit par Mufasa pour Réseau International

    Source http://reseauinternational.net/la-chimie-des-coups-detat-les-printemps-arabe-et-le-putsch-de-kiev-ont-ete-accomplis-grace-aux-amphetamines-ces-pilules-de-lhorreur/

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Épidémie de grève chez les médecins

    Le gouvernement aurait certainement souhaité une fin d’année plus festive. Malheureusement pour lui, alors que l’épidémie de grippe se fait attendre, le voici confronté à une épidémie de grève des médecins.

    Les urgentistes, tout d’abord. Médecins hospitaliers, leurs motifs de grève sont totalement différents de ceux des médecins libéraux. Il y a longtemps que la colère grondait dans les services d’urgence où les médecins sont confrontés à des horaires de travail que peu de professions accepteraient. Il y eut un petit progrès, il y a quelques années en adoptant le principe du repos compensateur qui devait suivre un jour de garde, car il n’était pas inhabituel de travailler 48 heures non-stop, puis d’enchaîner sur une semaine de travail ordinaire ! J’ai le souvenir de gardes aux urgences, où nous débutions le samedi matin pour ne finir que le lundi après-midi, en espérant pouvoir dormir quelques heures par-ci, par-là.

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  • Il y aurait bien une vie après la mort

    ... d'après une étude scientifique relayée par 20 minutes :

    [...] Selon une étude de l’Université de Southampton, il serait possible d'avoir une sensation de conscience plusieurs minutes après l’arrêt du cœur. [...]

    Selon ces scientifiques qui ont mené pendant quatre ans, une étude sur 2.060 patients ayant subi un arrêt cardiaque, près de 40% des survivants ont décrit une sensation étrange de conscience alors qu’ils étaient en état de mort clinique, avant que leur cœur ne se remette à battre.

    Parmi eux 2% ont même expérimenté un état de «pleine conscience» ou de «sortie de leur corps». Un travailleur social âgé de 57 ans déclaré en état de mort clinique pendant trois minutes, a ainsi expliqué avoir quitté son corps et assisté à sa résurrection depuis le coin de la pièce. Il était capable de raconter de manière assez détaillée les soins qu’il a reçus et le bruit des machines autour de lui. Des affirmations qui ont pu par la suite être vérifiées.[...]

    «Dans ce cas, l’état de conscience semble s’être poursuivi durant les trois minutes où le cœur du patient avait cessé de battre, alors que le cerveau «s’éteint» généralement dans les 20 à 30 secondes après que le cœur a cessé de battre», expliquait au Daily Mail le Dr Sam Parnia, qui a mené cette étude. C'est une avancée importante car jusqu’à présent, les médecins «supposaient que les expériences relatées de vie après la mort étaient en réalité des hallucinations survenant soit avant que le cœur se soit arrêté, soit après que le cœur a été redémarré avec succès», poursuit-il, mais pas une expérience correspondant à des «événements réels lorsque le cœur du patient ne battait plus».  

    «Les preuves suggèrent que, dans les premières minutes après la mort, la conscience n'est pas annihilée. Nous ne savons pas si elle s'estompe ensuite mais directement après la mort, la conscience n’est pas perdue», ajoutait le scientifique. «Alors qu’il n’est pas possible de prouver absolument la réalité ou la signification des expériences de ces patients et de leur prétendue «conscience» (en raison de leur faible incidence -2%), il était impossible de les réfuter et plus de travail est nécessaire dans ce domaine», concluait-il."

    Les scientifiques vont peut-être prouver un jour qu'il y a une vie après la mort et que ceux qui y croient ne sont pas en état d'hallucination !

    Marie Bethanie

  • Grève de médecins : celle de la dernière chance ?

    La France s’apprête à connaître, entre Noël et le jour de l’An, la plus grande grève de médecins depuis quarante ans. Il faut se souvenir que Claude Évin, ministre de la Santé de Mitterrand, avait avec malice introduit la lutte des classes dans cette profession unie, en attisant la jalousie des omnipraticiens vis-à-vis des spécialistes, puis en portant sur les fonts baptismaux un syndicat (MG France) réservé aux généralistes (les « prolétaires »), face aux spécialistes (les affreux « nantis »)… Comme il était prévisible, plutôt que de hausser les premiers au niveau des seconds, cette fine dialectique – qui attire certains grands esprits mais immanquablement les petits – n’a réussi qu’à rabaisser les seconds au niveau des premiers, tout le monde étant maintenant à 23 € la consultation (sauf dépassements autorisés). Et ce, depuis des années, malgré la hausse constante des charges, impôts et obligations, dont la moindre n’est pas la ruineuse mise aux normes d’accessibilité des cabinets aux handicapés, selon des critères ubuesques.

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