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Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a annoncé, ce mercredi 27 octobre, l’ouverture d’une grande enquête nationale auprès des établissements de santé afin de faire un point sur la situation et de pouvoir y réagir.
Une enquête nationale a été lancée
« Nous avons lancé une enquête auprès de l’ensemble des établissements de santé pour objectiver la situation et son exploitation est en cours », a annoncé Gabriel Attal, à l’issue d’un Conseil des ministres, ce mercredi, ajoutant que « les chiffres seront communiqués prochainement ».
Même si c’est déjà un peu loin de vos préoccupations, certains se souviennent peut-être de ce que nous écrivions en novembre 2018 à propos de la pénurie de médecins hospitaliers et des problèmes posés par un certain nombre de praticiens remplaçants. En voici l’un de nos articles consacrés à ce douloureux sujet (aggravé depuis par la pandémie au Covid-19) :
Vous y trouverez d’ailleurs un certain nombre d’autres référence qui vous permettront de compléter votre information.
On apprend que le passe sanitaire ne sera pas obligatoire pour les meetings politiques, dont la vocation est d’entasser dans un espace clos toute sorte de braillards. S’il est un lieu de libre circulation et de prolifération des postillons, c’est bien le meeting politique, qu’il soit de droite, de gauche, du centre ou extrémiste.
« Cette crise est un point de départ pour nous permettre d’aller plus loin et de travailler sur ce qui se passe au niveau monétaire, au niveau de l’école, au niveau environnemental. Cette crise est le point d’orgue d’un système entier qui est malade, parce que des multinationales ont décidé de s’en emparer, de nous désemparer de notre capacité à décider de notre destin. Le vrai ennemi ce n’est pas le virus, le vrai ennemi ce n’est pas Laurent Alexandre, Emmanuel Macron, etc., on s’en fiche, ces gens sont des Playmobil dans les mains de multinationales qui, elles, ne se sont jamais cachées de leur projet, c’est-à-dire détruire les peuples, les États, la capacité d’organisation, séparer pour prendre tout le pouvoir, prendre tout l’argent. L’ennemi, il est défini, et à partir du moment où vous l’avez défini vous pouvez commencer à travailler, c’est-à-dire se remettre en lien et recommencer dans tous les champs de l’existant à reprendre le pouvoir sur votre existence ».
Depuis le début de la propagation du Covid, une méfiance s’est progressivement propagée qui a pris des traits de certitude au fil du temps : le pouvoir excessif acquis par les multinationales du médicament, souvent au détriment de la souveraineté des Etats ainsi que de la santé.
Il y a quelques mois le Bureau of Investigative Journalism, une organisation de journalisme d’investigation à but non lucratif a dénoncé, à travers les témoignages de représentants des gouvernements argentin et brésilien, l’existence d’une attitude d’intimidation et de harcèlement de la part de Pfizer envers les États.
Depuis que court cette pandémie de Covid-19, le monde scientifique n’a cessé de se déconsidérer, mettant au ban tous ceux ou presque qui osent remettre en doute la doxa officielle.
Cloués au pilori par les médias, parfois poursuivis par la justice ou le Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM) pour mieux verrouiller la parole officielle, médecins et chercheurs sont priés d’ânonner les vérités du jour, faute de quoi ils risquent d’être démis de leurs fonctions. Sur la liste, les professeurs Raoult et Péronne, pour ne citer que ceux-là, sans parler du professeur Montagnier…
Dans la nuit de mercredi à jeudi, les députés ont voté favorablement à la loi dite de « vigilance sanitaire » afin de prolonger potentiellement le pass-sanitaire jusqu’au 31 juillet prochain. Dans le texte, aucun seuil épidémique, ni critère chiffré, pour conditionner cette permanence du laissez-passer discriminatoire annoncée le 12 juillet dernier par Emmanuel Macron. Avec près de 75% de Français éligibles à la vaccination ayant reçu un schéma complet, le gouvernement veut pourtant encore mettre la pression. Par ailleurs, la prolongation du pass-sanitaire va entraîner en toute logique l’obligation de se soumettre à la troisième dose pour conserver son QR Code. Une logique brutale à laquelle la majorité des Français se sont soumis. Pourtant, en Martinique, le CHU a annoncé qu’il ne respecterait pas les règles du pass-sanitaire sous peine de ne plus pouvoir recevoir de patients. Une démonstration que la résistance peut payer.
L’Assemblée nationale a donné, dans la nuit du mercredi 20 au jeudi 21 octobre, un premier feu vert au projet de loi « vigilance sanitaire », avec la possibilité controversée de recourir au passe sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022. Une centaine d’élus de Haute-Savoie décrivent les conséquences sociales du dispositif dans leur territoire et militent pour son abandon.
Ayons une petite pensée au passage pour Colin Powell (l’homme des preuves des armes de destruction massive en Irak), décédé récemment du Covid, alors qu’il était tout à fait vacciné.