Marine Le Pen a réagi sur France Info à la décision de l’Autriche de confiner les non-vaccinés. La candidate du Rassemblement national supprimera, quoi qu’il arrive, le passe sanitaire si elle est élue à la présidence de la République en mai prochain. Elle a pris cet engagement sur France Info ce lundi 15 novembre.
santé et médecine - Page 58
-
Marine Le Pen supprimera le passe sanitaire si elle est élue à l’Elysée
-
3ÈME DOSE
-
Passe sanitaire et troisième dose : la première victime de la crise sanitaire, c’est la parole de l’État…
« Engagez-vous, rengagez-vous ! » claironnait, jadis, l’armée pour recruter. Vaccinez-vous ! Revaccinez-vous ! exhortait, mardi soir, à la télévision, le généralissime de cette nouvelle drôle de guerre. Pour appuyer ses propos, il a souligné que « des milliards d’individus sur la planète ont déjà eu le vaccin et que nous avons maintenant un certain recul ». Tout est dans le « certain ». Que le Larousse traduit par « relativement important ». Tout est dans le « relativement ». Que le Larousse traduit par le contraire d’absolu, c’est-à-dire « jusqu’à un certain point ».
Emmanuel Macron nous dit donc qu’il y a « jusqu’à un certain point » du recul. Oui, mais quel point ?
-
L’allocution impudente de Macron
Une analyse que nous partageons :« Emmanuel Macron n’a pas pu s’empêcher de démarrer son allocution avec la reprise du sketch éculé de l’énième reprise fantasmée de la pseudo-épidémie de Covid. Se grimant une fois de plus en petit VRP des laboratoires pharmaceutiques, il a annoncé sans surprise la 3e dose obligatoire pour les seniors si ceux-ci veulent conserver leur pass sanitaire. Pour les autres, ce sera sans doute pour bientôt, nous pouvons lui faire confiance. -
L’intervention d’Emmanuel Macron : « Une déclaration de show-biz ! »
Nicolas Dupont-Aignan, qui revient de Colombey-les-Deux-Églises pour l’hommage au général de Gaulle, réagit à l’intervention d’Emmanuel Macron, ce mardi 9 novembre soir. L’occasion d’évoquer avec lui sa campagne présidentielle.
Jean Bexon -
Allocution d’Emmanuel Macron : France, pays merveilleux
Finalement, le covid a des côtés pratiques. Vous annoncez, en guise d’apéritif, qu’il faudra une troisième dose pour les plus de 65 ans et « les plus fragiles », s’ils veulent conserver leur passe sanitaire (on viendra probablement leur parler de la quatrième dans quelques mois) et puis, vite, on passe à la suite, au plat de résistance. Mais arrêtons-nous quand même quelques instants sur cette annonce. « Etre libre, implique d’être responsable, solidaire », explique le Président pour justifier cette décision. Belle formule pour dire que l’on continue sur la pente fatale des restrictions de libertés.
-
Blocages anti-coronafolie : on organise l’Union sacrée !
-
Les effets secondaires graves du vaccin contre le Covid-19
Nous avons relaté hier (dans cet article) les analyses sanguines que devrait faire tout vacciné en raison des effets secondaires gravissimes que connaît la vaccination anti-covid. Le silence sépulcral qui entoure ces effets secondaires n’est pas innocent, il est même la signature que quelque chose ne tourne pas rond.
-
L’hôpital au bord de la rupture
Psychologue clinicienne, spécialisée en psychopathologie, neuropsychologie, psychosomatique et formée en psychologie transgénérationnelle, Marie-Estelle Dupont a été interrogée dans l’émission Les Points sur les i sur CNEws, consacrée à l’hôpital au bord de la rupture, puis le retour des “fachos” :
“Dans les manuels d’histoire, on ne parle jamais des 100 millions de morts du communisme et ça ne choque personne qu’il y ait un parti communiste alors que ça fait référence à des horreurs commises au nom d’une idéologie totalitaire”
«Je constate que les soignants, aussi bien les médecins que les paramédicaux, sont en burn-out. 30% de leur temps est alloué à des tâches administratives […] Quand on est patient on est mal soigné, et quand on est soignant on est maltraité»
-
Trente heures dans une salle d’attente des urgences à 96 ans !
Trente heures d’attente aux urgences : c’est ce qui est arrivé à Gilberte, cette résidente d’EHPAD qui souffrait d’une décompression cardiaque et d’une baisse de saturation en oxygène, arrivée le lundi 18 octobre au Grand Hôpital de l’Est francilien.
Lorsque son petit-fils Alexandre s’est rendu, quelques heures après l’arrivée de la nonagénaire, à l’hôpital, il l’a trouvée dans un état déplorable. Il témoigne au Parisien : « Je l’ai trouvée sur un brancard en salle d’attente où elle n’avait toujours pas été prise en charge. Elle avait la bouche desséchée avec de la mousse autour des lèvres et elle m’a supplié de lui donner un verre d’eau », assurant même que sa grand-mère « baignait dans son urine car sa couche n’avait toujours pas été changée. Vers une heure du matin, j’ai dû partir car je travaillais le lendemain. »