
Les célébrations de l’anniversaire de la libération de Bormes-les-Mimosas allaient permettre de corriger le tir. Des militaires, des drapeaux, un monument aux morts. Le retour du régalien et de la gravité. Il ne restait plus qu’à délivrer les bons éléments de langage aux journalistes : la « guerre qui tonne à nos portes », les « cataclysmes climatiques dévastateurs » et surtout un appel à la mobilisation générale face aux épreuves qui s’annoncent.