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La fin du monde

Sur La Chaîne Parlementaire il y a un reportage nommé "beurgeoisie", une femme dit en l'espace de 5 minutes "Le problème avec ces jeunes de nos banlieues est social, pas ethnique", "Le problème n'est pas un problème d'assimilation, c'est juste de comprendre que nous sommes musulmans et que nous le resterons", "Le problème c'est qu'on est stigmatisé, ghettoïsé sans arrêt". Je zappe. Une émission parle d'un couple de vieux cathos très riches qui ont adopté des enfants de tous les continents. On les voit à table, la dame commente la scène "Vous voyez j'ai mon fils qui est vietnamien, ma fille qui vient d'Inde, etc, j'ai toute la diversité du monde à domicile. Les voyages ça dure un mois normalement, moi je voyage en permanence". Des mots me viennent en tête, "le tourisme est le nouvel humanisme", "le défenseur de la diversité, consommateur du dernier stade", "l'Autre à portée de main", "Regardez mes petits chiens de toutes les couleurs comme ils sont jolis !", "horreur absolue".
 
Je suis allé voir Argo, le film de et avec Ben Affleck. N'étant pas fan du bonhomme, je fus très agréablement surpris. L'histoire vraie d'une poignée d'Américains de l'ambassade des Etats-Unis coincée en Iran pendant la révolution islamique de 1979. Au-delà du fond - car la forme va toujours au-delà du fond - le film est d'une efficacité redoutable. Une réalisation irréprochable, on reste scotché au fauteuil pendant deux heures et demi qui paraissent deux fois moins longues. Ça n'est pas du Kubrick, ça ne révolutionne rien mais c'est du travail bien fait, très bien fait. Avant le film on a eu droit à la bande-annonce d'un film avec Balasko et Jugnot dont je ne me rappelle étrangement plus le nom. Dans cette production française Josiane Balasko joue le rôle d'une femme qui adopte un petit noir qui s'appelle Titoko ou un truc dans le genre. Dans l'extrait on voit la police venir chez elle et dire "Madame cet enfant doit être raccompagné à la frontière avec sa mère", ce à quoi Balasko répond "Il me reste aussi quelques noms de Juifs dans la cave, ça vous intéresse ?!". Pendant que l'Amérique sort régulièrement d'excellents blockbusters, la France se noie dans ses merdes subventionnées adoubées par Télérama à défaut de l'être par le public. Le géant hollywoodien et la société du divertissement seront toujours plus sains pour nos cerveaux et nos âmes que notre cinéma social gerbant et Philippe Torreton.
 
Depardieu. Tant à dire et rien à la fois. Torreton me fait penser à ces types sur twitter qui ont 9852 tweets et 31 followers et qui viennent te faire chier en espérant que tu leur répondes. Je le critiquerais bien sur son jeu d'acteur mais je n'ai pas souvenir d'un seul film de lui. Torreton est un symbole, celui de la gauche, celui des hommes dont le rêve absolu est d'enfermer les autres hommes. Les leçons de patriotisme venant des socialistes, c'est puissant. J'entendais les mêmes dire "Fier d'être français ? Mais quelle connerie ! On aurait pu naître ici ou ailleurs c'est le hasard, pas de quoi être fier, les frontières c'est virtuel". Citoyen du monde oui, l'Europe oui, mais pas en Belgique. Et notre ministre de la culture qui hurlait ne plus vouloir de cette France moisie, cette France de droite, elle déverse aujourd'hui la même haine sur Depardieu qui pourtant l'a prise au mot en quittant ce pays. La nation enracinée oui, mais seulement quand on peut faire les poches des gens. L'argent de Depardieu était utilisé pour financer la "paix sociale" en banlieue, c'est-à-dire la persécution silencieuse des Blancs - ainsi que les films de Torreton et Balasko. Partant, son exil est un acte d'une grande noblesse dont il peut être fier. Puis après tout, qu'est-ce que Depardieu sinon un homme déraciné qui le cœur lourd quitte sa terre d'origine dans l'espoir d'une vie meilleure ? Un immigré comme les autres quoi. Delon au Grand Journal répondant à Denisot sur cette affaire : "Oh, moi vous savez je suis en Suisse depuis 20 ans". Sourires gênés, sublime.
 
Hollande qui critiquait Sarkozy sur la nécessité d'une république irréprochable et qui aujourd'hui écrit à la Justice pour aider sa copine. Un président normal quoi. Qui vient d'ailleurs de dire aux Algériens qu'il faciliterait leur obtention de visas. Tu as raison François, dis leur qu'ils ont toutes les raisons de nous haïr et fais les venir autant que possible, c'est pas comme si notre vie était déjà impossible dans les quartiers où ils sont majoritaires. Merci encore, monsieur le président. Dans un bar une fille parle avec ses copines à la table d'à côté "Ben oui si Le Pen était passé c'est sûr, il aurait expulsé tous ceux qui ont une origine étrangère, genre moi polonaises ou toi italienne, etc". Désespérant. Dans Libération, un article sur le mariage homo, la journaliste écrit "Les homos ça va tant qu'ils sont discrets, mais quand ils parlent, qu'ils réclament des droits, ça en embête certains !". J'imagine qu'elle-même ne tolère les Français de souche que s'ils sont de gauche, à partir du moment où ils vivent dans certains endroits et qu'ils racontent ce qu'ils y voient, Libération se charge de les descendre. Cette journaliste fait mine de ne pas comprendre quels sont les vrais dangers qui guettent les homosexuels en France, qu'ils réclament le mariage ou non. Dans une France devenue musulmane, les associations gays regretteront les cathos, à côté d'une famille de "musulmans modérés" Civitas c'est un groupe hippie.
 
Un père de famille jugé dans le nord de la France pour avoir couché avec ses filles. Le problème : personne n'a porté plainte. Toute la famille était consentante, aujourd'hui le papa est avec sa plus grande fille et ils ont un enfant ensemble. Demain ils voudront se marier. J'aimerais savoir au nom de quoi on pourra le leur refuser. Face à un défenseur du "mariage pour tous" inutile de prôner la tradition, la morale, il suffit de l'amener à sa propre contradiction. "Le mariage pour les gays ? Bien sûr que je suis pour, d'ailleurs je suis aussi pour que 3 ou 7 personnes puissent se marier, ainsi qu'un père avec sa fille, qu'en penses-tu ?". Là, il cherchera à s'enfuir en disant "Comment oses-tu mettre sur le même plan...", mais il ne faut pas le lâcher pour autant. "Ben oui vous dites aux anti-mariage-pour-tous qu'il faut sortir des vieux schémas, que l'amour est universellement partagé, donc que réponds-tu à 3 femmes qui frappent à la porte de ta mairie pour dire qu'elles s'aiment et veulent que l'Etat reconnaisse leur amour ?", là soit il va tenter de s'en sortir avec un "Nan mais tu mélanges tout", c'est-à-dire précisément en tentant de tout mélanger alors que votre logique est limpide, soit il crachera le morceau : "Non mais l'amour c'est à deux quand-même, la polygamie ou l'inceste c'est pas naturel !". Voir un défenseur du mariage gay utiliser les mêmes arguments qu'un catholique traditionnel, c'est assez jubilatoire. Qui dit ce qui est naturel quand il n'y a plus de repères ? Où sont les textes sacrés qui stipulent qu'il est interdit de se marier avec 5 femmes ou avec ses 2 gosses ? Les progressistes d'aujourd'hui sont les réactionnaires de demain.
 
"Les Français sont d'abord intéressés par les problèmes de pouvoir d'achat que d'identité nationale voyons !" nous dit la gauche. Elle en serait presque contente. "L'avenir d'un peuple ? D'une civilisation ? Mais le bon citoyen s'en fout, ce qui compte pour lui c'est son fric !". Je ne comprends pas comment on peut fustiger l'égoïsme de nos sociétés et dans le même temps conspuer ceux qui essaient de dire que l'homme est plus qu'un simple consommateur. Renaud Camus chez Taddéï qui parle du Grand Remplacement que nous vivons, justifié par l'antiracisme dont le point central est la Shoah. Il explique une conséquence ironique de ce changement de population : il est devenu impossible d'enseigner la Shoah dans certaines cités. Camus pointe du doigt un élément crucial, auquel beaucoup d'intellectuels juifs devraient réfléchir : l'immigration massive qu'ils encouragent pour beaucoup ne touche pas que les fils de nazis que nous sommes, elle n'épargnera pas non plus leurs propres enfants. Et Colombe Schneck qui ne trouve rien d'autre à répondre que "Venant d'un homme qui compte les Juifs sur France Culture ça m'étonne", avec un large sourire. En revanche ça ne la dérange pas trop que l'on dise "Il n'y a pas assez de diversité à l'Assemblée, dans les médias...", c'est-à-dire lorsque l'on compte les Blancs. Dans une France maintenant terre d'accueil et donc bientôt terre d'islam, ces gens qui chaque matin se plaisent à rappeler qu'ils sont juifs pour mieux démolir la France de souche la regretteront bientôt, et particulièrement de l'avoir vomie jusqu'au dernier instant.
 
Un jeune Maghrébin de ma promo s'est pris la tête avec un Noir pendant un exposé. Ils parlaient de Mahomet, l'Algérien avait le regard noir d'un fanatique, il s'est cassé en plein milieu du cours. Leur dialogue était hallucinant, l'autre ne comprenait même pas qu'on puisse discuter du Coran. Il y a aussi cette fille africaine sur facebook, convertie au christianisme comme beaucoup de gens dans son pays, elle écrit sans arrêt des statuts comme "Que Dieu me donne le courage de..." ou "Ecoutez Jésus et vous trouverez la Vérité, cessez de douter et voyez...". J'ai déjà essayé de discuter avec elle, elle s'énerve dès qu'on remet en doute la Bible qu'elle lit au pied de la lettre. Ces populations apportent avec elles le pire du fait religieux, c'est-à-dire pas l'aspect spirituel et existentiel mais les superstitions, les rites, la fermeture d'esprit, en leur parlant on croirait être face à des Européens du Moyen-Âge, ils ont leurs signes, leurs croyances et leurs blasphèmes, le rationnel s'efface petit à petit sous les cris et les prières, le bruit de la foule enivrée par Dieu écrase le silence de l'étude, du scientifique, du travail critique et du recul, de ce que notre civilisation a mis des siècles à atteindre. On change le peuple, on change la culture qui va avec. La population redevient bigote, l'immigration massive venue d'Afrique est pour l'Europe un gigantesque retour en arrière, y compris l'immigration chrétienne, car elle est dans le fétichisme et l’idolâtrie.
 
Si on veut connaître l'état d'esprit d'une société il faut éteindre le JT et aller sur twitter. Il y a quelques mois j'avais vu le hashtag #embrouilledecéfran largement diffusé par Mouloud Achoud de Canal+. On se foutait donc de la gueule du "céfran" très tranquillement, en imitant un Blanc en train de se battre, "Comment ça nique ma race ?! Non mais les races n'existent pas est-ce bien clair ??!", ce connard de Blanc qui ne croit pas en l'importance de la race et qui va en crever sous le rire des hyènes. On a aussi eu droit au fameux #UnBonJuif il y a quelques semaines, festival de petites racailles antisémites qui pensent être aussi drôles que Dieudonné, des vannes bien lourdes qui feraient à peine sourire un skinhead bourré écrites par des auteurs s'appelant Krimdu93 ou MomoMuslim avec les photos qui vont avec, bref la nouvelle jeunesse française. Et de vieux gauchistes qui ont quand-même réussi à dire "Festival antisémite, c'est certainement le FN derrière tous ces faux profils de Maghrébins". Ces vieilles merdes collaboraient en 40, ils continuent en 2012. Même chose il y a quelques jours avec #SiMonFilsEstGay. La France devient un pays profondément antisémite et homophobe sous les applaudissements des associations communautaires juives et homosexuelles qui continuent de faire croire que le problème c'est "l'extrême droite". D'ailleurs pour les Juifs ou les gays ces hashtags ont été condamnés fermement, mais pour #SiMaFilleRamèneUnBlanc qui a fait un carton l'autre jour, rien. Le racisme antiblanc a de beaux jours devant lui.
 
Une vidéo sur les tensions religieuses à la RATP, largement relayée par Fdesouche, est en train de faire le buzz. Il faut la regarder. On y voit que l'augmentation du nombre d'employés musulmans cause de gros problèmes à leurs collègues féminines. On ne leur sert plus la main, on ne conduit pas un bus qu'elles ont conduit, sans parler des prières, des insultes, de tout le reste. La direction de l'entreprise demande aux femmes "infidèles", trop françaises, de faire profil bas, de faire un effort pour préserver cette "paix sociale", car pour l'instant les profits sont toujours là. Certains parlent encore de paranoïa, pourtant on y est. Le changement de population n'est pas discutable, ses conséquences non plus. Petit à petit, il sera interdit d'être différent d'eux. Dans beaucoup d'endroits ça l'est déjà. Et le capitalisme s'en accommodera. L'islam ne se diluera pas dans la société de consommation, c'est l'inverse qui se passera, qui se passe déjà. Cette République a choisi qui était sa population et qui ne l'était plus. Elle a trouvé son bouc-émissaire, sa "race" à détester officiellement. Elle construit un nouveau nationalisme. En parallèle elle a choisi de faire fuir les meilleurs et d'attirer les pires, culpabiliser la réussite et valoriser l'échec, elle construit son socialisme. Pour faire de ce pays une terre moisie, coupée du monde et retranchée dans son idéologie, un endroit dans lequel les gens au visage blanc devront bientôt vivre cachés, étrangers dans leur propre rue, dans leur propre boîte.
 
Laetitia Casta dit qu'elle quittera la France si Marine Le Pen arrive au pouvoir. En réalité c'est dans le cas où Marine Le Pen n'y arrive pas qu'elle devra la quitter, comme nous tous. Ce que ce pays devient ne tolérera pas longtemps une jeune femme blanche posant en sous-vêtements sur des abribus pour H&M. Certaines personnes diront que j'exagère, les mêmes disaient en 1930 qu'il était exagéré de dire que l'Allemagne devenait dangereusement antisémite. La fin du monde n'a pas eu lieu le 21 décembre, mais la fin de notre monde a lieu tous les jours.

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